Pour cette année, les festivités commémoratives du Printemps berbère sont organisées sous le slogan de tamazight langue nationale et officielle et pour une Algérie une et indivisible. Pour cette année, les festivités commémoratives du Printemps berbère sont organisées sous le slogan de tamazight langue nationale et officielle et pour une Algérie une et indivisible. La célébration de l'anniversaire des événements du Printemps berbère donne lieu chaque année à une grande mobilisation du mouvement associatif local. Plusieurs activités culturelles et artistiques ont lieu aux quatre coins de la Kabylie afin de se remémorer cette date historique du 20 avril 1980 qui a permis des années plus tard à la langue et culture amazighes de recouvrer la place qui devait être la sienne depuis toujours. C'est donc avant-hier lundi que le coup d'envoi de la quinzaine de l'amazighité a eu lieu au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. Les activités du trente-deuxième anniversaire du Printemps berbère sont organisées par la Direction de la culture de la wilaya de Tizi- Ouzou, le Comité des activités culturelles et artistiques de la région, le mouvement associatif et le théâtre régional Kateb-Yacine. Le programme s'étalera sur quinze jours. C'est au niveau de la maison de la culture que la première conférence s'inscrivant dans l'optique de cette commémoration a eu lieu lundi passée. En même temps que les expositions toutes inhérentes à la culture et au patrimoine amazighs de l'Algérie. Un récital poétique avec le cercle des poètes de la maison de la culture de Tizi-Ouzou a été la première activité donnée à l'occasion, suivie d'une communication animée par Samia Dahmani, docteur dans le domaine amazighe qui est intervenue sur les stèles et inscriptions libyques de la Grande Kabylie. Une journée d'étude sur tamazight dans le système éducatif a eu lieu lundi dernier et a permis aux intervenants d'établir leur bilan concernant l'introduction de tamazight dans le système éducatif depuis 1995, suite à l'année de la grève du cartable. La première conférence dans le cadre de cette journée d'études a été animée par le docteur Abderezak Dourari, directeur du Centre national linguistique et pédagogique pour l'enseignement de tamazight. Dourari a développé le thème de l'incidence de l'aménagement de tamazight sur l'attractivité de son enseignement. Cet intervenant a été suivi de Brahim Bentaleb au sujet de l'apport du livre dans le système scolaire. Hier, la journée a été réservée à l'édition et à la production dans le domaine de la littérature amazighe. Dans l'après-midi d'hier, mardi, l'auteur Abdennour Abdesselam devait animer une conférence sur l'apport des Amrouche à la littérature kabyle. Une table ronde devait être également animée par les universitaires venus d'Alger et de Béjaïa sur l'identité et les valeurs de la société. Les universitaires et chercheurs qui devaient être à de rendez-vous sont : Boualem Djouhari (université de Béjaïa), Salah Belaid (Université de Tizi-Ouzou), Saïd Maoule (Directeur central des affaires religieuses) et Arezki Ferrad (Université d'Alger). Le programme de la quinzaine de l'amazighité pour aujourd'hui mercredi prévoit une journée d'étude sur les us et coutumes kabyles. A cet effet, le professeur Mohand Akli Haddadou auteur de plus de quinze livres sur l'amazighité sera l'hôte de la ville de Tizi-Ouzou pour développer ce thème. Le cinéma ne sera pas en reste puisque la journée de demain sera consacrée au septième art. Plusieurs films seront ainsi projetés comme D'un conte à l'autre de Rabie Benmokhtar, La colline oubliée de Abderrahmane Bouguermouh et Mon nom est lumière de Slimane Belharet. Ce dernier animera en outre un récital poétique. Le programme de la quinzaine de l'amazighité se poursuivra jusqu'à la fin du mois d'avril, nous a indiqué la chargée de communication de la Direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou. La célébration de l'anniversaire des événements du Printemps berbère donne lieu chaque année à une grande mobilisation du mouvement associatif local. Plusieurs activités culturelles et artistiques ont lieu aux quatre coins de la Kabylie afin de se remémorer cette date historique du 20 avril 1980 qui a permis des années plus tard à la langue et culture amazighes de recouvrer la place qui devait être la sienne depuis toujours. C'est donc avant-hier lundi que le coup d'envoi de la quinzaine de l'amazighité a eu lieu au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. Les activités du trente-deuxième anniversaire du Printemps berbère sont organisées par la Direction de la culture de la wilaya de Tizi- Ouzou, le Comité des activités culturelles et artistiques de la région, le mouvement associatif et le théâtre régional Kateb-Yacine. Le programme s'étalera sur quinze jours. C'est au niveau de la maison de la culture que la première conférence s'inscrivant dans l'optique de cette commémoration a eu lieu lundi passée. En même temps que les expositions toutes inhérentes à la culture et au patrimoine amazighs de l'Algérie. Un récital poétique avec le cercle des poètes de la maison de la culture de Tizi-Ouzou a été la première activité donnée à l'occasion, suivie d'une communication animée par Samia Dahmani, docteur dans le domaine amazighe qui est intervenue sur les stèles et inscriptions libyques de la Grande Kabylie. Une journée d'étude sur tamazight dans le système éducatif a eu lieu lundi dernier et a permis aux intervenants d'établir leur bilan concernant l'introduction de tamazight dans le système éducatif depuis 1995, suite à l'année de la grève du cartable. La première conférence dans le cadre de cette journée d'études a été animée par le docteur Abderezak Dourari, directeur du Centre national linguistique et pédagogique pour l'enseignement de tamazight. Dourari a développé le thème de l'incidence de l'aménagement de tamazight sur l'attractivité de son enseignement. Cet intervenant a été suivi de Brahim Bentaleb au sujet de l'apport du livre dans le système scolaire. Hier, la journée a été réservée à l'édition et à la production dans le domaine de la littérature amazighe. Dans l'après-midi d'hier, mardi, l'auteur Abdennour Abdesselam devait animer une conférence sur l'apport des Amrouche à la littérature kabyle. Une table ronde devait être également animée par les universitaires venus d'Alger et de Béjaïa sur l'identité et les valeurs de la société. Les universitaires et chercheurs qui devaient être à de rendez-vous sont : Boualem Djouhari (université de Béjaïa), Salah Belaid (Université de Tizi-Ouzou), Saïd Maoule (Directeur central des affaires religieuses) et Arezki Ferrad (Université d'Alger). Le programme de la quinzaine de l'amazighité pour aujourd'hui mercredi prévoit une journée d'étude sur les us et coutumes kabyles. A cet effet, le professeur Mohand Akli Haddadou auteur de plus de quinze livres sur l'amazighité sera l'hôte de la ville de Tizi-Ouzou pour développer ce thème. Le cinéma ne sera pas en reste puisque la journée de demain sera consacrée au septième art. Plusieurs films seront ainsi projetés comme D'un conte à l'autre de Rabie Benmokhtar, La colline oubliée de Abderrahmane Bouguermouh et Mon nom est lumière de Slimane Belharet. Ce dernier animera en outre un récital poétique. Le programme de la quinzaine de l'amazighité se poursuivra jusqu'à la fin du mois d'avril, nous a indiqué la chargée de communication de la Direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou.