Le FMI a classé l'Algérie au titre du pays le moins endetté des 20 pays de la région MENA pour l'année 2012, et de deuxième plus gros détenteur de réserves officielles de change après l'Arabie saoudite, avec des prévisions de clôture de l'année 2012 de 205,2 milliards de dollars. Dans un rapport spécial réactualisé sur les perspectives économiques de la région du Moyen-Orient et l'Afrique du nord rendu public samedi à Washington, à l'occasion de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale, le Fonds indique que la dette extérieure brute de l'Algérie ne représentera que 2,4% du PIB en 2012 et devra se maintenir au même taux en 2013 (contre 2,8% en 2011). La moyenne de la dette extérieure dans les pays exportateurs de pétrole de la région MENA est de 22,2% du PIB, les plus fortement endettés étant le Bahreïn et le Soudan avec respectivement 135,2% et 77,8% du PIB. Concernant la dette publique de l'Algérie, elle devra baisser à 8,9% du PIB en 2012 et à 8,6% en 2013 (contre 9,9% en 2011). Par ailleurs, le Fonds estime que l'Algérie clôturera l'année 2012 avec des réserves de change officielles de 205,2 milliards de dollars, et pronostique un matelas de devises de 224,1 milliards de dollars en 2013 (contre 183,1 milliards de dollars en 2011). Selon les évaluations du FMI sur les réserves de change officielles 2012 (hors fonds de souveraineté) des pays pétroliers de la région, les trois plus gros détenteurs de ces réserves sont l'Arabie saoudite (683,5 milliards de dollars), l'Algérie (205,2 milliards de dollars) et l'Iran (113,1 milliards de dollars). Les trois pays maintiendront le même rang en 2013, selon les prédictions de l'institution de Bretton Woods. Quant au PIB nominal du pays, le FMI l'évalue à 206,5 milliards de dollars en 2012 et à 213,1 milliards de dollars en 2013 (contre 190,7 milliards de dollars en 2011). Abordant le commerce extérieur, le FMI table sur des exportations algériennes de 81 milliards de dollars en 2012 et de 78 milliards de dollars en 2013 (contre 76,8 milliards de dollars en 2011), tandis que les importations devraient se chiffrer à 57,4 milliards de dollars en 2012 et à 58,1 milliards de dollars en 2013 (contre 56,6 milliards de dollars en 2011). Quant à la balance des comptes courants du pays, l'institution de Bretton Woods évalue ce solde à 20,6 milliards de dollars en 2012 et à 16,8 milliards de dollars en 2013 (contre 19,6 milliards de dollars en 2011). Dans son analyse sur la conjoncture et les perspectives des pays exportateurs pétroliers de la région MENA, le FMI indique dans ce rapport spécial que ces derniers ‘‘ont profité du niveau élevé des cours de pétrole et, de manière générale, ont échappé à l'impact du ralentissement de l'économie mondiale induit par la crise de la zone euro''. Ce groupe de pays se compose de l'Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Iran, Irak, Koweït, Libye, Oman, Qatar, Soudan et Yémen. Soulignant que leurs perspectives de croissance sont ''globalement positives'', le FMI indique qu'en 2012, la croissance du PIB devrait se situer en moyenne à près de 5 % pour cette catégorie de pays et se répartir de façon homogène entre les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et les autres exportateurs de la région MENA. Quant aux cours du pétrole, ils devraient se situer en moyenne aux alentours de 115 dollars le baril en 2012. La croissance du PIB non pétrolier devrait s'inscrire en hausse dans la majorité de ces pays pétroliers, avance encore le FMI. Elle devrait en moyenne s'accélérer à près de 4,5 % en 2012, en grande partie en raison de l'intensification de l'activité du BTP, alimentée par l'augmentation des dépenses publiques. Le FMI a classé l'Algérie au titre du pays le moins endetté des 20 pays de la région MENA pour l'année 2012, et de deuxième plus gros détenteur de réserves officielles de change après l'Arabie saoudite, avec des prévisions de clôture de l'année 2012 de 205,2 milliards de dollars. Dans un rapport spécial réactualisé sur les perspectives économiques de la région du Moyen-Orient et l'Afrique du nord rendu public samedi à Washington, à l'occasion de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale, le Fonds indique que la dette extérieure brute de l'Algérie ne représentera que 2,4% du PIB en 2012 et devra se maintenir au même taux en 2013 (contre 2,8% en 2011). La moyenne de la dette extérieure dans les pays exportateurs de pétrole de la région MENA est de 22,2% du PIB, les plus fortement endettés étant le Bahreïn et le Soudan avec respectivement 135,2% et 77,8% du PIB. Concernant la dette publique de l'Algérie, elle devra baisser à 8,9% du PIB en 2012 et à 8,6% en 2013 (contre 9,9% en 2011). Par ailleurs, le Fonds estime que l'Algérie clôturera l'année 2012 avec des réserves de change officielles de 205,2 milliards de dollars, et pronostique un matelas de devises de 224,1 milliards de dollars en 2013 (contre 183,1 milliards de dollars en 2011). Selon les évaluations du FMI sur les réserves de change officielles 2012 (hors fonds de souveraineté) des pays pétroliers de la région, les trois plus gros détenteurs de ces réserves sont l'Arabie saoudite (683,5 milliards de dollars), l'Algérie (205,2 milliards de dollars) et l'Iran (113,1 milliards de dollars). Les trois pays maintiendront le même rang en 2013, selon les prédictions de l'institution de Bretton Woods. Quant au PIB nominal du pays, le FMI l'évalue à 206,5 milliards de dollars en 2012 et à 213,1 milliards de dollars en 2013 (contre 190,7 milliards de dollars en 2011). Abordant le commerce extérieur, le FMI table sur des exportations algériennes de 81 milliards de dollars en 2012 et de 78 milliards de dollars en 2013 (contre 76,8 milliards de dollars en 2011), tandis que les importations devraient se chiffrer à 57,4 milliards de dollars en 2012 et à 58,1 milliards de dollars en 2013 (contre 56,6 milliards de dollars en 2011). Quant à la balance des comptes courants du pays, l'institution de Bretton Woods évalue ce solde à 20,6 milliards de dollars en 2012 et à 16,8 milliards de dollars en 2013 (contre 19,6 milliards de dollars en 2011). Dans son analyse sur la conjoncture et les perspectives des pays exportateurs pétroliers de la région MENA, le FMI indique dans ce rapport spécial que ces derniers ‘‘ont profité du niveau élevé des cours de pétrole et, de manière générale, ont échappé à l'impact du ralentissement de l'économie mondiale induit par la crise de la zone euro''. Ce groupe de pays se compose de l'Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Iran, Irak, Koweït, Libye, Oman, Qatar, Soudan et Yémen. Soulignant que leurs perspectives de croissance sont ''globalement positives'', le FMI indique qu'en 2012, la croissance du PIB devrait se situer en moyenne à près de 5 % pour cette catégorie de pays et se répartir de façon homogène entre les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et les autres exportateurs de la région MENA. Quant aux cours du pétrole, ils devraient se situer en moyenne aux alentours de 115 dollars le baril en 2012. La croissance du PIB non pétrolier devrait s'inscrire en hausse dans la majorité de ces pays pétroliers, avance encore le FMI. Elle devrait en moyenne s'accélérer à près de 4,5 % en 2012, en grande partie en raison de l'intensification de l'activité du BTP, alimentée par l'augmentation des dépenses publiques.