Le président du Parti des jeunes démocrates (PJD), M. Salim Khelfa, a appelé les électeurs lundi à Taher (Jijel) à se rendre aux urnes le 10 mai prochain ‘‘même pour se prononcer pour d'autres candidats'' que ceux de sa formation politique''. S'exprimant lors d'un meeting électoral en présence d'environ 200 personnes, en majorité des jeunes, M. Khelfa a estimé que le fait de ‘‘bouder les urnes'' ne ‘‘ferait pas avancer les choses'' dans le pays. ‘‘Vous êtes libres de choisir en toute âme et conscience qui vous voulez, mais le plus important est de ne pas rater cette échéance électorale historique, cruciale pour l'Algérie'', a-t-il martelé. Evoquant le profil des candidats du PJD, le responsable de cette formation politique a soutenu qu'ils sont ‘‘jeunes, compétents et intègres''. Les jeunes, a-t-il ajouté dans ce contexte, ‘‘sont en droit d'occuper la place qui leur revient dans les institutions de la République''. M. Khelfa a par ailleurs écarté l'idée d'une ‘‘rupture'' contrairement à ce qu'ont préconisé certaines formations politiques en lice pour dans ces législatives : ‘‘Nous sommes contre la rupture avec le passé, mais pour la continuité entre les générations afin que la jeunesse puisse s'imprégner de l'expérience des anciens et prendre le relais pour assurer une continuité dans la conduite des affaires du pays''. Le président du Parti des jeunes démocrates (PJD), M. Salim Khelfa, a appelé les électeurs lundi à Taher (Jijel) à se rendre aux urnes le 10 mai prochain ‘‘même pour se prononcer pour d'autres candidats'' que ceux de sa formation politique''. S'exprimant lors d'un meeting électoral en présence d'environ 200 personnes, en majorité des jeunes, M. Khelfa a estimé que le fait de ‘‘bouder les urnes'' ne ‘‘ferait pas avancer les choses'' dans le pays. ‘‘Vous êtes libres de choisir en toute âme et conscience qui vous voulez, mais le plus important est de ne pas rater cette échéance électorale historique, cruciale pour l'Algérie'', a-t-il martelé. Evoquant le profil des candidats du PJD, le responsable de cette formation politique a soutenu qu'ils sont ‘‘jeunes, compétents et intègres''. Les jeunes, a-t-il ajouté dans ce contexte, ‘‘sont en droit d'occuper la place qui leur revient dans les institutions de la République''. M. Khelfa a par ailleurs écarté l'idée d'une ‘‘rupture'' contrairement à ce qu'ont préconisé certaines formations politiques en lice pour dans ces législatives : ‘‘Nous sommes contre la rupture avec le passé, mais pour la continuité entre les générations afin que la jeunesse puisse s'imprégner de l'expérience des anciens et prendre le relais pour assurer une continuité dans la conduite des affaires du pays''.
