Créées dans les années 90 avec des "investissements importants", la wilaya de Boumerdès compte quelque 22 zones d'activités, dont l'inexploitation de toutes leurs potentialités a engendré, au fil du temps, un besoin pressant de leur revalorisation et réhabilitation, a indiqué le Directeur local de la petite et moyenne entreprise (PME). Créées dans les années 90 avec des "investissements importants", la wilaya de Boumerdès compte quelque 22 zones d'activités, dont l'inexploitation de toutes leurs potentialités a engendré, au fil du temps, un besoin pressant de leur revalorisation et réhabilitation, a indiqué le Directeur local de la petite et moyenne entreprise (PME). Ces zones d'activités, implantées au sein de 18 communes de la région et d'une superficie globale estimée à plus de 1,6 million m2, n'ont reçu, à ce jour, que 422 projets d'investissements multiples, a indiqué M. Hamadi Madani, estimant que leur revalorisation et réhabilitation "leur permettront de jouer pleinement le rôle qui leur était dévolu à l'origine". Etant la plus grande commune de la wilaya en termes de population et superficie avec une surface de 300.000 m2 et abritant 58 projets, la zone d'activité de Khemiss El-Khechna vient en tête de liste de ces zones en quête de valorisation, a déclaré à l'APS ce responsable, citant également la zone de Bordj Ménaïel qui abrite actuellement 153 projets d'investissement sur une surface globale estimée à 240.000 m2, ainsi que celle de Dellys, qui a accueilli seulement 42 projets, en dépit d'une importante surface estimée à près de 200.000 m2. Deux zones d'activités, implantées respectivement à Taouarga (53.000 m2) et Souk El-Had (55.000 m2) n'ont reçu, à ce jour, aucun projet d'investissement, a déploré, par ailleurs, M. Hamadi. Parmi les contraintes majeures à l'installation d'investisseurs potentiels dans ces zones, on relève l'absence d'aménagement et d'infrastructures de base, conjuguée au "détournement" de la vocation initiale de ces zones, dont de grandes surfaces ont été exploitées pour la construction de logements luxueux ou de biens immobiliers à but lucratif, à l'instar des salles de fête. Implantés depuis plusieurs années dans ces zones, des promoteurs de projets ont exprimé, à cet égard à l'APS, leur "ras-le-bol" face à ces problèmes générés par certains "faux investisseurs" ayant bénéficié d'un foncier industriel qu'ils ont transformé en habitations ou en fonds commerciaux, en l'absence totale de contrôle des services concernés. Afin de revaloriser ces zones, le directeur de la PME de la wilaya a fait part de la mobilisation d'une enveloppe de plus de 600 millions de dinars pour la réhabilitation des zones d'activités de Khemis El- Khechna, Ouled Moussa et Naciria, en attendant l'inscription, progressivement, d'opérations similaires au profit des autres zones d'activités. Ces zones d'activités, implantées au sein de 18 communes de la région et d'une superficie globale estimée à plus de 1,6 million m2, n'ont reçu, à ce jour, que 422 projets d'investissements multiples, a indiqué M. Hamadi Madani, estimant que leur revalorisation et réhabilitation "leur permettront de jouer pleinement le rôle qui leur était dévolu à l'origine". Etant la plus grande commune de la wilaya en termes de population et superficie avec une surface de 300.000 m2 et abritant 58 projets, la zone d'activité de Khemiss El-Khechna vient en tête de liste de ces zones en quête de valorisation, a déclaré à l'APS ce responsable, citant également la zone de Bordj Ménaïel qui abrite actuellement 153 projets d'investissement sur une surface globale estimée à 240.000 m2, ainsi que celle de Dellys, qui a accueilli seulement 42 projets, en dépit d'une importante surface estimée à près de 200.000 m2. Deux zones d'activités, implantées respectivement à Taouarga (53.000 m2) et Souk El-Had (55.000 m2) n'ont reçu, à ce jour, aucun projet d'investissement, a déploré, par ailleurs, M. Hamadi. Parmi les contraintes majeures à l'installation d'investisseurs potentiels dans ces zones, on relève l'absence d'aménagement et d'infrastructures de base, conjuguée au "détournement" de la vocation initiale de ces zones, dont de grandes surfaces ont été exploitées pour la construction de logements luxueux ou de biens immobiliers à but lucratif, à l'instar des salles de fête. Implantés depuis plusieurs années dans ces zones, des promoteurs de projets ont exprimé, à cet égard à l'APS, leur "ras-le-bol" face à ces problèmes générés par certains "faux investisseurs" ayant bénéficié d'un foncier industriel qu'ils ont transformé en habitations ou en fonds commerciaux, en l'absence totale de contrôle des services concernés. Afin de revaloriser ces zones, le directeur de la PME de la wilaya a fait part de la mobilisation d'une enveloppe de plus de 600 millions de dinars pour la réhabilitation des zones d'activités de Khemis El- Khechna, Ouled Moussa et Naciria, en attendant l'inscription, progressivement, d'opérations similaires au profit des autres zones d'activités.