Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a estimé, hier, à Djendel (Aïn Defla), que les prochaines élections législatives constituent une "opportunité" pour les Algériens à prendre "leur destin en main". Animant un meeting électoral à la salle omnisports de la ville, M. Touati a également soutenu qu'une participation massive est à même d'"instaurer le changement". Il a par ailleurs indiqué que son parti est porteur, au plan socio-économique, de "plusieurs projets", concernant notamment l'agriculture, "qui nécessite réhabilitation et intérêt particulier" a-t-il estimé. Le président du FNA a, en outre, mis l'accent sur l'importance d'investir dans "l'être humain", particulièrement les jeunes dont les doléances, a-t-il soutenu "doivent être prises en charge". Il a, en conclusion de son intervention, appelé ses militants et sympathisants à une grande "mobilisation" le jour du scrutin pour se rendre en masse aux urnes et plaidé pour l'instauration d'un "régime parlementaire" pour que le gouvernement soit "comptable" devant l'Assemblée nationale populaire Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a estimé, hier, à Djendel (Aïn Defla), que les prochaines élections législatives constituent une "opportunité" pour les Algériens à prendre "leur destin en main". Animant un meeting électoral à la salle omnisports de la ville, M. Touati a également soutenu qu'une participation massive est à même d'"instaurer le changement". Il a par ailleurs indiqué que son parti est porteur, au plan socio-économique, de "plusieurs projets", concernant notamment l'agriculture, "qui nécessite réhabilitation et intérêt particulier" a-t-il estimé. Le président du FNA a, en outre, mis l'accent sur l'importance d'investir dans "l'être humain", particulièrement les jeunes dont les doléances, a-t-il soutenu "doivent être prises en charge". Il a, en conclusion de son intervention, appelé ses militants et sympathisants à une grande "mobilisation" le jour du scrutin pour se rendre en masse aux urnes et plaidé pour l'instauration d'un "régime parlementaire" pour que le gouvernement soit "comptable" devant l'Assemblée nationale populaire