Il semble que le jour de la libération soit proche pour les 7 Algériens otages détenus par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), mouvement armé ayant revendiqué leur enlèvement le en début du mois. Les fortes pressions exercées sur le Mouvement ont donné des résultats. Les diplomates algériens sont en effet près d'être libérés. Il semble que le jour de la libération soit proche pour les 7 Algériens otages détenus par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), mouvement armé ayant revendiqué leur enlèvement le en début du mois. Les fortes pressions exercées sur le Mouvement ont donné des résultats. Les diplomates algériens sont en effet près d'être libérés. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a affirmé lundi à Alger qu'il y a de "réelles perspectives" de libération des sept diplomates algériens enlevés le 5 avril dernier à Gao, au nord du Mali. "Je voudrais d'abord vous rassurer et, à travers vous, le peuple algérien que nos diplomates enlevés à Gao sont en bonne santé et qu'il y a de réelles perspectives quant à leur libération", a indiqué Mourad Medelci dans une conférence de presse animée conjointement avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil El-Arabi. "Le peuple algérien est en droit de s'inquiéter quant à leur sort et, de notre côté, nous avons le devoir de lui fournir des informations en s'arrêtant là où il faut pour préserver le secret de notre démarche", a-t-il précisé, soulignant que les efforts se poursuivront pour "trouver le plus rapidement possible, une issue heureuse à cette question". Le chef de la diplomatie algérienne exprime d'autant plus son optimiste que les relations qui lient l'Algérie avec les touregs et le Mali sont au beau fixe. "Nous avons la foi en la qualité de nos relations avec nos frères maliens, car l'Algérie a toujours accompagné les efforts des uns et des autres pour permettre aux touaregs de vivre dignement dans leur pays, le Mali", a-t-il soutenu. Comme en écho aux déclaration du ministre des Affaires étrangères, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), fait savoir, lundi, à une agence de presse française, qu'il a "donné (son) accord", pour leur libération. "Nous avons donné notre accord pour la libération de sept personnes arrêtées sur le territoire algérien à Gao", a déclaré sans précision de date un membre du Mujao qui a joint un journaliste de cette agence à Bamako, en précisant que cet accord a été donné à Ansar Dine, un groupe islamiste dirigé par un chef touareg malien. Une source sécuritaire malienne avait indiqué à l'agence de presse que Ansar Dine était engagé dans des négociations avec le Mujao pour la libération des otages algériens. Rappelons que le 5 avril dernier, des inconnus ont enlevé le consul d'Algérie à Gao, Boualem Sias, dans le nord-est du Mali, ainsi que six autres membres du consulat, avait annoncé le ministre algérien des Affaires étrangères. "Le consul d'Algérie à Gao et les six agents du consulat ont été forcés à sortir du siège de la représentation diplomatique. Ils sont actuellement sous la responsabilité de parties que nous ne connaissons pas", a déclaré à la presse le ministre, Mourad Medelci. Le ministre des Affaires étrangères, a affirmé le 23 avril que le consul d'Algérie à Gao, au Mali et ses six collaborateurs enlevés le 5 avril, "se portent bien". "Les informations que nous avons reçues démontrent que les otages algériens se portent bien", a déclaré Mourad Medelci, cité par l'agence APS. Les autorités compétentes en Algérie "suivent en permanence (leur) état de santé (et) les contacts sont toujours en cours et nous nous attendons à ce qu'ils portent leurs fruits dans les plus brefs délais", a ajouté le ministre algérien. Il semble que "les contact" ont réussi à persuader le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) à remettre en liberté les 7 diplomates algériens qu'ils détiennent depuis 20 jours. Les dirigeants du MNLA, qui ont proclamé récemment la naissance de l'Etat de l'Azawad sur toute la partie nord du Mali, territoire où serait détenus les otages, auraient adressé un signal "très fort" aux preneurs d'otages "Un délai leur a été donné pour libérer les otages et quitter l'Azawad. Dans le cas contraire, ils seront délogés par la force des armes", a déclaré un membre du MNLA. Un délai qui devrait selon toute vraisemblance prendre fin très bientôt, si l'on se fie aux déclarations des uns et des autres. Les 7 otages devraient, dans un avenir très proche, retrouver leur liberté et leurs familles. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a affirmé lundi à Alger qu'il y a de "réelles perspectives" de libération des sept diplomates algériens enlevés le 5 avril dernier à Gao, au nord du Mali. "Je voudrais d'abord vous rassurer et, à travers vous, le peuple algérien que nos diplomates enlevés à Gao sont en bonne santé et qu'il y a de réelles perspectives quant à leur libération", a indiqué Mourad Medelci dans une conférence de presse animée conjointement avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil El-Arabi. "Le peuple algérien est en droit de s'inquiéter quant à leur sort et, de notre côté, nous avons le devoir de lui fournir des informations en s'arrêtant là où il faut pour préserver le secret de notre démarche", a-t-il précisé, soulignant que les efforts se poursuivront pour "trouver le plus rapidement possible, une issue heureuse à cette question". Le chef de la diplomatie algérienne exprime d'autant plus son optimiste que les relations qui lient l'Algérie avec les touregs et le Mali sont au beau fixe. "Nous avons la foi en la qualité de nos relations avec nos frères maliens, car l'Algérie a toujours accompagné les efforts des uns et des autres pour permettre aux touaregs de vivre dignement dans leur pays, le Mali", a-t-il soutenu. Comme en écho aux déclaration du ministre des Affaires étrangères, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), fait savoir, lundi, à une agence de presse française, qu'il a "donné (son) accord", pour leur libération. "Nous avons donné notre accord pour la libération de sept personnes arrêtées sur le territoire algérien à Gao", a déclaré sans précision de date un membre du Mujao qui a joint un journaliste de cette agence à Bamako, en précisant que cet accord a été donné à Ansar Dine, un groupe islamiste dirigé par un chef touareg malien. Une source sécuritaire malienne avait indiqué à l'agence de presse que Ansar Dine était engagé dans des négociations avec le Mujao pour la libération des otages algériens. Rappelons que le 5 avril dernier, des inconnus ont enlevé le consul d'Algérie à Gao, Boualem Sias, dans le nord-est du Mali, ainsi que six autres membres du consulat, avait annoncé le ministre algérien des Affaires étrangères. "Le consul d'Algérie à Gao et les six agents du consulat ont été forcés à sortir du siège de la représentation diplomatique. Ils sont actuellement sous la responsabilité de parties que nous ne connaissons pas", a déclaré à la presse le ministre, Mourad Medelci. Le ministre des Affaires étrangères, a affirmé le 23 avril que le consul d'Algérie à Gao, au Mali et ses six collaborateurs enlevés le 5 avril, "se portent bien". "Les informations que nous avons reçues démontrent que les otages algériens se portent bien", a déclaré Mourad Medelci, cité par l'agence APS. Les autorités compétentes en Algérie "suivent en permanence (leur) état de santé (et) les contacts sont toujours en cours et nous nous attendons à ce qu'ils portent leurs fruits dans les plus brefs délais", a ajouté le ministre algérien. Il semble que "les contact" ont réussi à persuader le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) à remettre en liberté les 7 diplomates algériens qu'ils détiennent depuis 20 jours. Les dirigeants du MNLA, qui ont proclamé récemment la naissance de l'Etat de l'Azawad sur toute la partie nord du Mali, territoire où serait détenus les otages, auraient adressé un signal "très fort" aux preneurs d'otages "Un délai leur a été donné pour libérer les otages et quitter l'Azawad. Dans le cas contraire, ils seront délogés par la force des armes", a déclaré un membre du MNLA. Un délai qui devrait selon toute vraisemblance prendre fin très bientôt, si l'on se fie aux déclarations des uns et des autres. Les 7 otages devraient, dans un avenir très proche, retrouver leur liberté et leurs familles.
