L'Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) a conclu jeudi trois conventions permettant la création officielle de trois Centres d'appui à la technologie et à l'innovation (CATI) au niveau de deux universités et un groupe industriel privé. Les conventions ont été signées entre le directeur général de l'INAPI, Abdelhafid Belmehdi, et les représentants de l'Université d'El-Oued de Chlef et le P-DG du groupe industriel Condor, basé à Bordj Bou-Arréridj, en présence du ministre de l'Industrie, de la PME et de l'Investissement, Mohamed Benmeradi. Le projet de création de ces centres a été lancé en mars dernier en application d'un accord entre l'INAPI et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) qui s'est engagée à apporter son assistance technique et matérielle pour la création de ces centres. Ces derniers auront pour rôle principal de rapprocher l'université de l'entreprise économique et permettre un échange d'informations et de formation et suivre les brevets d'innovation des chercheurs. "Ces CATI vont permettre aux entreprises de mieux exploiter toutes les recherches et toutes le inventions qui se trouvent au niveau des universités", a expliqué à la presse Belmehdi. "Malheureusement, nous avons aujourd'hui des recherches et des innovations qui ne sont pas exploitées en raison du manque de coordination entre l'université et l'entreprise", a regretté le même responsable. "Ces centres vont permettre aussi d'encourager l'innovation et de défendre les intérêts des investisseurs, de lutter contre la contrefaçon pour protéger la santé du consommateur", selon Benmeradi. Le nombre de CATI devrait passer, d'ici octobre prochain, à 12 puisque d'autres universités, institutions et sociétés industrielles avaient exprimé un intérêt d'installer des centres pareils. Parmi eux, le ministre a cité les universités de Béjaïa, Boumerdès, Blida, Khemis Meliana, l'Agence nationale d'appui aux résultats de recherche et le développement technologique et d'autres sociétés comme Saidal, Naftal et Sonatrach. "Nous allons multiplier ces centres au niveau de l'ensemble des institutions pour permettre aux universités et aux entreprises, notamment, de trouver un lieu où ils peuvent accéder à l'information économique utile en vue de compléter leur compétitivité", a indiqué Benmeradi. La signature des conventions pour la création des trois premiers CATI coïncide avec la Journée mondiale de la propriété intellectuelle célébrée le 26 avril. L'Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) a conclu jeudi trois conventions permettant la création officielle de trois Centres d'appui à la technologie et à l'innovation (CATI) au niveau de deux universités et un groupe industriel privé. Les conventions ont été signées entre le directeur général de l'INAPI, Abdelhafid Belmehdi, et les représentants de l'Université d'El-Oued de Chlef et le P-DG du groupe industriel Condor, basé à Bordj Bou-Arréridj, en présence du ministre de l'Industrie, de la PME et de l'Investissement, Mohamed Benmeradi. Le projet de création de ces centres a été lancé en mars dernier en application d'un accord entre l'INAPI et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) qui s'est engagée à apporter son assistance technique et matérielle pour la création de ces centres. Ces derniers auront pour rôle principal de rapprocher l'université de l'entreprise économique et permettre un échange d'informations et de formation et suivre les brevets d'innovation des chercheurs. "Ces CATI vont permettre aux entreprises de mieux exploiter toutes les recherches et toutes le inventions qui se trouvent au niveau des universités", a expliqué à la presse Belmehdi. "Malheureusement, nous avons aujourd'hui des recherches et des innovations qui ne sont pas exploitées en raison du manque de coordination entre l'université et l'entreprise", a regretté le même responsable. "Ces centres vont permettre aussi d'encourager l'innovation et de défendre les intérêts des investisseurs, de lutter contre la contrefaçon pour protéger la santé du consommateur", selon Benmeradi. Le nombre de CATI devrait passer, d'ici octobre prochain, à 12 puisque d'autres universités, institutions et sociétés industrielles avaient exprimé un intérêt d'installer des centres pareils. Parmi eux, le ministre a cité les universités de Béjaïa, Boumerdès, Blida, Khemis Meliana, l'Agence nationale d'appui aux résultats de recherche et le développement technologique et d'autres sociétés comme Saidal, Naftal et Sonatrach. "Nous allons multiplier ces centres au niveau de l'ensemble des institutions pour permettre aux universités et aux entreprises, notamment, de trouver un lieu où ils peuvent accéder à l'information économique utile en vue de compléter leur compétitivité", a indiqué Benmeradi. La signature des conventions pour la création des trois premiers CATI coïncide avec la Journée mondiale de la propriété intellectuelle célébrée le 26 avril.