«Maintenir la pression sur le dossier du statut spécifique des travailleurs de l'éducation dans sa mouture contenant de graves dysfonctionnements», c'est là le point essentiel de la plateforme de revendications de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef), qui a reconduit depuis hier son mouvement de grève pour une semaine renouvelable. «Maintenir la pression sur le dossier du statut spécifique des travailleurs de l'éducation dans sa mouture contenant de graves dysfonctionnements», c'est là le point essentiel de la plateforme de revendications de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef), qui a reconduit depuis hier son mouvement de grève pour une semaine renouvelable. Après la réunion de son bureau national et des responsables des bureaux de wilayas de l'Unpef le jeudi passé, la décision d'aller vers une grève illimitée semble la seule issue pour se faire entendre de la tutelle. Le mouvement de protestation se durcit de jour en jour vu que la réunion avec les responsables du ministère de l'Education a abouti a un fiasco. Pour se faire entendre, la grève n'est pas seulement la seule stratégie de lutte et de revendication de ce syndicat autonome puisque aujourd'hui, à partir de 10 heures, un sit-in est organisé devant les directions de l'éducation dans l'ensemble des wilayas. D'après les chiffres avancés par le syndicat, la grève a été suivie dans une fourchette de 40 à 80%, selon les wilayas et cela reste une réussite pour une première journée de protestation. Choisir ce moment, reste pour l'Unpef un rapport de force qui est en leur faveur, puisque la grève est reconduite à a veille des examens de la 6e et du BEM. Le syndicat reste néanmoins à l'écoute des préoccupations des parents d'élèves et rejette la responsabilité sur le ministère de l'Education nationale, car c'est lui qui «persiste dans sa politique de mutisme concernant les revendications des travailleurs du secteur», précisent dans leur communiqué les membres du bureau national de l'Unpef. Le syndicat réitère sa position et son «soutien inconditionnel» aux revendications des corps communs du secteur. Ces derniers renouent au même moment avec la grève pour une semaine renouvelable en exigeant aussi leur insertion dans le secteur, la révision des primes et des indemnités (dont le relèvement de la prime de rendement à hauteur de 40%) ainsi que la révison des statuts. Parmi leurs revendications, notons également celle relative à leurs missions puisque les corps commun demandent une précision pour que les agents «ne soient pas employés à d'autres tâches» et la «réduction du volume horaire ». D'après l'UNPEF, les grévistes sont déterminés à aller au bout de leur action pour faire valoir leurs droits et appliquer leurs revendications. Celles-ci portent essentiellement sur l'intégration de certaines catégories d'enseignants à des postes supérieurs ou encore le rejet de régulariser certains «dysfonctionnements» touchant les corps communs de l'éducation et de la formation professionnelle. «La réalisation des revendications de la famille de l'éducation dépend de l'ampleur de la mobilisation de l'ensemble des travailleurs du secteur», a indiqué l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle dans cet appel à la grève. Par ce nouveau mouvement de protestation, L'Unpef, réitère dans son communiqué ses principales revendications a savoir : l'adhésion de toutes les catégories de la famille de l'éducation à la grève, dénonce aussi les contrevérités énoncées dans la correspondance du ministère datée du 19 avril et adressée aux directions de l'éducation des wilayas. Après la réunion de son bureau national et des responsables des bureaux de wilayas de l'Unpef le jeudi passé, la décision d'aller vers une grève illimitée semble la seule issue pour se faire entendre de la tutelle. Le mouvement de protestation se durcit de jour en jour vu que la réunion avec les responsables du ministère de l'Education a abouti a un fiasco. Pour se faire entendre, la grève n'est pas seulement la seule stratégie de lutte et de revendication de ce syndicat autonome puisque aujourd'hui, à partir de 10 heures, un sit-in est organisé devant les directions de l'éducation dans l'ensemble des wilayas. D'après les chiffres avancés par le syndicat, la grève a été suivie dans une fourchette de 40 à 80%, selon les wilayas et cela reste une réussite pour une première journée de protestation. Choisir ce moment, reste pour l'Unpef un rapport de force qui est en leur faveur, puisque la grève est reconduite à a veille des examens de la 6e et du BEM. Le syndicat reste néanmoins à l'écoute des préoccupations des parents d'élèves et rejette la responsabilité sur le ministère de l'Education nationale, car c'est lui qui «persiste dans sa politique de mutisme concernant les revendications des travailleurs du secteur», précisent dans leur communiqué les membres du bureau national de l'Unpef. Le syndicat réitère sa position et son «soutien inconditionnel» aux revendications des corps communs du secteur. Ces derniers renouent au même moment avec la grève pour une semaine renouvelable en exigeant aussi leur insertion dans le secteur, la révision des primes et des indemnités (dont le relèvement de la prime de rendement à hauteur de 40%) ainsi que la révison des statuts. Parmi leurs revendications, notons également celle relative à leurs missions puisque les corps commun demandent une précision pour que les agents «ne soient pas employés à d'autres tâches» et la «réduction du volume horaire ». D'après l'UNPEF, les grévistes sont déterminés à aller au bout de leur action pour faire valoir leurs droits et appliquer leurs revendications. Celles-ci portent essentiellement sur l'intégration de certaines catégories d'enseignants à des postes supérieurs ou encore le rejet de régulariser certains «dysfonctionnements» touchant les corps communs de l'éducation et de la formation professionnelle. «La réalisation des revendications de la famille de l'éducation dépend de l'ampleur de la mobilisation de l'ensemble des travailleurs du secteur», a indiqué l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle dans cet appel à la grève. Par ce nouveau mouvement de protestation, L'Unpef, réitère dans son communiqué ses principales revendications a savoir : l'adhésion de toutes les catégories de la famille de l'éducation à la grève, dénonce aussi les contrevérités énoncées dans la correspondance du ministère datée du 19 avril et adressée aux directions de l'éducation des wilayas.