Après une grève de deux jours, les 24 et 25 avril passé, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle (Unpef) appelle l'ensemble des travailleurs du secteur à participer à reconduire une nouvelle grève à partir d'aujourd'hui pour une semaine renouvelable. Après une grève de deux jours, les 24 et 25 avril passé, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle (Unpef) appelle l'ensemble des travailleurs du secteur à participer à reconduire une nouvelle grève à partir d'aujourd'hui pour une semaine renouvelable. La décision de ce nouveau mouvement de grève vient à l'issue de la deuxième journée du débrayage entamée avant-hier, vendredi, pour évaluer les deux jours de protestations de la semaine passée. D'après le communiqué publié par le syndicat, «cette grève a été une très grande réussite à l'échelle nationale grâce au degré élevé de la conscience de tous les travailleurs de l'éducation». Le syndicat fait état de blocage total et appelle ses adhérents à «aller plus loin dans leur mouvement de protestations» d'autant plus que la rencontre avec les représentants du ministère de l'Education portant sur les mesures contenues dans le statut des travailleurs de l'éducation à été un véritable échec. En annonçant cette grève renouvelable, l'UNPEF fait assumer aux pouvoirs publics «la responsabilité de n'avoir pas répondu positivement aux revendications légitimes». Dans ce communiqué de presse rendu public, l'UNPEF dresse la liste des revendications qui ont été rejetées. Elles portent essentiellement sur l'intégration de certaines catégories d'enseignants à des postes supérieurs ou encore le rejet de régulariser certains «dysfonctionnements » touchant les corps communs de l'éducation et de la formation professionnelle. «La réalisation des revendications de la famille de l'éducation dépend de l'ampleur de la mobilisation de l'ensemble des travailleurs du secteur», a indiqué l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle dans cet appel à la grève. Par ce nouveau mouvement de protestation, L'Unpef, réitère dans son communiqué ses principales revendications a savoir : l'adhésion de toutes les catégories de la famille de l'éducation à la grève, dénonce aussi les contrevérités énoncées dans la correspondance du ministère datée du 19 avril et adressée aux directions de l'éducation des wilayas. Une correspondance à travers laquelle le ministère a fourni des statistiques relatives au nombre des personnels intégrés, mais que le syndicat trouve exagéré. Et c'est à propos de cette question que divergent le syndicat et le ministère. L'Unpef demande non seulement l'intégration de ces personnels, mais aussi leur classification dans des échelles précises. Sans oublier la création d'une prime spéciale pour les dangers encourus, une prime de permanence et de confirmation de poste et la suppression de l'article 87 de la loi 90-11. Enfin, il est évident que cette grève s'avère être une nécessité pour les travailleurs de l'éducation, mais ce divorce, qui semble éternel, entre les deux pôles divergents (L'UNPEF et la tutelle) n'a pour résultat que de créer une seule victime : nos enfants. La décision de ce nouveau mouvement de grève vient à l'issue de la deuxième journée du débrayage entamée avant-hier, vendredi, pour évaluer les deux jours de protestations de la semaine passée. D'après le communiqué publié par le syndicat, «cette grève a été une très grande réussite à l'échelle nationale grâce au degré élevé de la conscience de tous les travailleurs de l'éducation». Le syndicat fait état de blocage total et appelle ses adhérents à «aller plus loin dans leur mouvement de protestations» d'autant plus que la rencontre avec les représentants du ministère de l'Education portant sur les mesures contenues dans le statut des travailleurs de l'éducation à été un véritable échec. En annonçant cette grève renouvelable, l'UNPEF fait assumer aux pouvoirs publics «la responsabilité de n'avoir pas répondu positivement aux revendications légitimes». Dans ce communiqué de presse rendu public, l'UNPEF dresse la liste des revendications qui ont été rejetées. Elles portent essentiellement sur l'intégration de certaines catégories d'enseignants à des postes supérieurs ou encore le rejet de régulariser certains «dysfonctionnements » touchant les corps communs de l'éducation et de la formation professionnelle. «La réalisation des revendications de la famille de l'éducation dépend de l'ampleur de la mobilisation de l'ensemble des travailleurs du secteur», a indiqué l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation professionnelle dans cet appel à la grève. Par ce nouveau mouvement de protestation, L'Unpef, réitère dans son communiqué ses principales revendications a savoir : l'adhésion de toutes les catégories de la famille de l'éducation à la grève, dénonce aussi les contrevérités énoncées dans la correspondance du ministère datée du 19 avril et adressée aux directions de l'éducation des wilayas. Une correspondance à travers laquelle le ministère a fourni des statistiques relatives au nombre des personnels intégrés, mais que le syndicat trouve exagéré. Et c'est à propos de cette question que divergent le syndicat et le ministère. L'Unpef demande non seulement l'intégration de ces personnels, mais aussi leur classification dans des échelles précises. Sans oublier la création d'une prime spéciale pour les dangers encourus, une prime de permanence et de confirmation de poste et la suppression de l'article 87 de la loi 90-11. Enfin, il est évident que cette grève s'avère être une nécessité pour les travailleurs de l'éducation, mais ce divorce, qui semble éternel, entre les deux pôles divergents (L'UNPEF et la tutelle) n'a pour résultat que de créer une seule victime : nos enfants.