Le calvaire de la population de la commune de Boudjima n'a pas cessé. Le problème d'alimentation en eau potable n'a pas encore été réglé et les citoyens de cette commune de plus de 20.000 habitants ne cessent d'endurer le martyre. Les maintes démarches entreprises auprès des autorités concernées ont fini par éreinter les représentants des comités des villages de cette commune dont aucun n'est épargné par le manque de ce liquide vital qui tend à s'exacerber à la veille de l'été. Pourtant, mille et une promesses ont été données aux représentants de la population. On a même rassuré ces derniers que le problème serait définitivement pris en charge avec la mise en service du barrage de Taksebt situé à un jet de pierre de cette localité. Mais quand il s'agit du problème d'eau potable à Boudjima, une chose promise par les autorités n'est pas forcément une choise due. Le paradoxe, c'est qu'en dépit du fait que l'eau ne coule des robinets qu'une fois tous les mois dans les meilleurs des cas, les ménages reçoivent régulièrement des factures pour procéder au règlement de leurs consommations imaginaires. Certains foyers ont reçu de la part de l'Algérienne des eaux une facture de pas moins de huit mille dinars contre aucune goutte d'eau. Une vieille femme, avec sa naïveté naturelle, a dit au représentant de l'Algérienne des eaux qui lui remettait la facture : « Cette fois-ci, la facture est arrivée avant l'eau ! ». Cette réaction d'une femme qui ignore tout du fonctionnement bureaucratique algérien illustre on ne peut mieux la situation guère reluisante qui prévaut dans la commune de Boudjima. Tous les villages, sans exception aucune, sont touchés par ce problème crucial, à l'instar de Afir, Isseradjen,Yafadjène, Tarihant, Agouni Oufekkous, Yaskrene, Agouni Hamiche et Tikaatine. Tigzirt La route dans un piteux état La Route nationale reliant le chef-lieu de la daïra de Tigzirt vers le chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, via Makouda est dans un piteux état, avons-nous constaté de visu. L'état de cette route très fréquentée est dégradé dans plusieurs endroits. Cette situation a été générée par les pluies diluviennes et les neiges du mois de février dernier. Les citoyens et les usagers s'étonnent en revanche pourquoi tout ce retard mis dans le lancement des travaux de réfection des tronçons routiers touchés. La conduite dans de telles conditions expose les chauffeurs à des dangers réels particulièrement la nuit où l'on est surpris à plus d'une reprise par des endroits où la chaussée très dégradés. Le même constat est à établir concernant la route reliant Tigzirt à la commune de Boudjima par le village d'El Kelâa. Il faut vraiment beaucoup d'efforts aux automobilistes pour pouvoir rallier leur destination dans de telles conditions. Cette situation est déplorée au moment où les prix des transports public des voyageurs ont connu des hausses considérables. Le calvaire de la population de la commune de Boudjima n'a pas cessé. Le problème d'alimentation en eau potable n'a pas encore été réglé et les citoyens de cette commune de plus de 20.000 habitants ne cessent d'endurer le martyre. Les maintes démarches entreprises auprès des autorités concernées ont fini par éreinter les représentants des comités des villages de cette commune dont aucun n'est épargné par le manque de ce liquide vital qui tend à s'exacerber à la veille de l'été. Pourtant, mille et une promesses ont été données aux représentants de la population. On a même rassuré ces derniers que le problème serait définitivement pris en charge avec la mise en service du barrage de Taksebt situé à un jet de pierre de cette localité. Mais quand il s'agit du problème d'eau potable à Boudjima, une chose promise par les autorités n'est pas forcément une choise due. Le paradoxe, c'est qu'en dépit du fait que l'eau ne coule des robinets qu'une fois tous les mois dans les meilleurs des cas, les ménages reçoivent régulièrement des factures pour procéder au règlement de leurs consommations imaginaires. Certains foyers ont reçu de la part de l'Algérienne des eaux une facture de pas moins de huit mille dinars contre aucune goutte d'eau. Une vieille femme, avec sa naïveté naturelle, a dit au représentant de l'Algérienne des eaux qui lui remettait la facture : « Cette fois-ci, la facture est arrivée avant l'eau ! ». Cette réaction d'une femme qui ignore tout du fonctionnement bureaucratique algérien illustre on ne peut mieux la situation guère reluisante qui prévaut dans la commune de Boudjima. Tous les villages, sans exception aucune, sont touchés par ce problème crucial, à l'instar de Afir, Isseradjen,Yafadjène, Tarihant, Agouni Oufekkous, Yaskrene, Agouni Hamiche et Tikaatine. Tigzirt La route dans un piteux état La Route nationale reliant le chef-lieu de la daïra de Tigzirt vers le chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, via Makouda est dans un piteux état, avons-nous constaté de visu. L'état de cette route très fréquentée est dégradé dans plusieurs endroits. Cette situation a été générée par les pluies diluviennes et les neiges du mois de février dernier. Les citoyens et les usagers s'étonnent en revanche pourquoi tout ce retard mis dans le lancement des travaux de réfection des tronçons routiers touchés. La conduite dans de telles conditions expose les chauffeurs à des dangers réels particulièrement la nuit où l'on est surpris à plus d'une reprise par des endroits où la chaussée très dégradés. Le même constat est à établir concernant la route reliant Tigzirt à la commune de Boudjima par le village d'El Kelâa. Il faut vraiment beaucoup d'efforts aux automobilistes pour pouvoir rallier leur destination dans de telles conditions. Cette situation est déplorée au moment où les prix des transports public des voyageurs ont connu des hausses considérables.