L'Entente de Sétif a remporté hier sa 8e coupe d'Algérie en battant en finale le CR Belouizdad et s'installe, de ce fait, sur la plus haute des marches du tableau des vainqueurs de cette prestigieuse compétition nationale. L'Entente de Sétif a remporté hier sa 8e coupe d'Algérie en battant en finale le CR Belouizdad et s'installe, de ce fait, sur la plus haute des marches du tableau des vainqueurs de cette prestigieuse compétition nationale. L'ES Sétif qui n'a jamais raté une finale, confirme avec cette victoire qu'elle reste invincible. Le but pour l'Aigle noir est arrivé assez tôt dans la partie. Il est signé Hachoud sur un coup franc des 20 mètres, d'un tir puissant, l'international algérien, trouve la lucarne d'Ousserir à la 21e minute. L'initiative fut l'œuvre de Djabou qui déboule du milieu, se fait faucher par derrière par Rebih, l'auteur du but de la victoire du CRB face au CS Constantine en demi-finale. Plusieurs autres actions sont à signaler d'un côté comme d'autre, mais sans aucune efficacité. La formation de Belouizdad qui, surprise par ce but marqué, tente de remettre les pendules à l'heure notamment par Rebih et Slimani mais sans changement dans le tableau d'affichage. A la 25e minute, le même Rebih tente un tir des 25 mètres, mais dans les airs. L'autre dangereuse action du côté belouizdadi est venue également de Rebih qui, d'un tir puissant, oblige le portier sétifien Benhammou, des deux poings, à dégager le cuir qui rebondit devant Slimani signalé par l'arbitre en position de hors-jeu. Du côté de la formation de la capitale des Hauts-Plateaux, les tentatives sont venues notamment par Djabou, Aoudia ou Hachoud. Malgré leur retour en fin de première mi-temps, les poulains de Djamel Menad ne parviendront pas au changement du score. De retour des vestiaires, ce sont les coéquipiers d'Islam Slimani qui exercent le pressing. C'était évident, le club algérois veut revenir au score, l'Entente de son côté veut préserver le score. Plusieurs occasions ont été offertes au Chabab, pendant le premier quart d'heure. La plus dangereuse occasion est venue par Aksas à la 8e minute de la seconde période : il efface trois joueurs et centre au second poteau,mais Slimani, de la tête, rate de peu le cadre. Les Belouizdadis commencent à mettre le pied sur le ballon, devant une formation d'Ain El Fouara qui veut préserver le score tout en procédant par des contres rapides toujours par Hachoud. En dépit des changements effectués par Menad, entrée de Kerbache à la place de Naili, et la sortie d'Aouad remplacé par Benaldjia rien n'est à signaler. Il a fallu attendre la 82e pour que les Belouizdadis remettent les pendules à l'heure par Amar Ammour qui, d'un tir puissant en pleine surface de réparation, égalise pour les siens. Dès lors, les Sétifiens, par Djabou et Benmoussa, poussent pour en finir avant la fin du temps additionnel, mais l'homme en noir Amalou siffle la fin du temps réglementaire, l'Entente et le Chabab quittent la pelouse dos à dos. Lors des prolongations, l'ES Sétif n'a pas pris beaucoup de temps pour mettre la balle dans les filets d' Ousserir. But signé de Benmoussa qui, d'une frappe somptueuse à la limite de la surface de réparation, trompe la vigilance du portier du Chabab, et offre la huitième coupe pour les siens et brise le rêve du Chabab. L'ES Sétif qui n'a jamais raté une finale, confirme avec cette victoire qu'elle reste invincible. Le but pour l'Aigle noir est arrivé assez tôt dans la partie. Il est signé Hachoud sur un coup franc des 20 mètres, d'un tir puissant, l'international algérien, trouve la lucarne d'Ousserir à la 21e minute. L'initiative fut l'œuvre de Djabou qui déboule du milieu, se fait faucher par derrière par Rebih, l'auteur du but de la victoire du CRB face au CS Constantine en demi-finale. Plusieurs autres actions sont à signaler d'un côté comme d'autre, mais sans aucune efficacité. La formation de Belouizdad qui, surprise par ce but marqué, tente de remettre les pendules à l'heure notamment par Rebih et Slimani mais sans changement dans le tableau d'affichage. A la 25e minute, le même Rebih tente un tir des 25 mètres, mais dans les airs. L'autre dangereuse action du côté belouizdadi est venue également de Rebih qui, d'un tir puissant, oblige le portier sétifien Benhammou, des deux poings, à dégager le cuir qui rebondit devant Slimani signalé par l'arbitre en position de hors-jeu. Du côté de la formation de la capitale des Hauts-Plateaux, les tentatives sont venues notamment par Djabou, Aoudia ou Hachoud. Malgré leur retour en fin de première mi-temps, les poulains de Djamel Menad ne parviendront pas au changement du score. De retour des vestiaires, ce sont les coéquipiers d'Islam Slimani qui exercent le pressing. C'était évident, le club algérois veut revenir au score, l'Entente de son côté veut préserver le score. Plusieurs occasions ont été offertes au Chabab, pendant le premier quart d'heure. La plus dangereuse occasion est venue par Aksas à la 8e minute de la seconde période : il efface trois joueurs et centre au second poteau,mais Slimani, de la tête, rate de peu le cadre. Les Belouizdadis commencent à mettre le pied sur le ballon, devant une formation d'Ain El Fouara qui veut préserver le score tout en procédant par des contres rapides toujours par Hachoud. En dépit des changements effectués par Menad, entrée de Kerbache à la place de Naili, et la sortie d'Aouad remplacé par Benaldjia rien n'est à signaler. Il a fallu attendre la 82e pour que les Belouizdadis remettent les pendules à l'heure par Amar Ammour qui, d'un tir puissant en pleine surface de réparation, égalise pour les siens. Dès lors, les Sétifiens, par Djabou et Benmoussa, poussent pour en finir avant la fin du temps additionnel, mais l'homme en noir Amalou siffle la fin du temps réglementaire, l'Entente et le Chabab quittent la pelouse dos à dos. Lors des prolongations, l'ES Sétif n'a pas pris beaucoup de temps pour mettre la balle dans les filets d' Ousserir. But signé de Benmoussa qui, d'une frappe somptueuse à la limite de la surface de réparation, trompe la vigilance du portier du Chabab, et offre la huitième coupe pour les siens et brise le rêve du Chabab.