Les partis politiques engagés dans la course aux législatives du 10 mai 2012, ont réitéré jeudi, à trois jours de la fin de la campagne électorale, leur appel à investir dans la jeunesse algérienne pour l'émergence d'un "Etat fort" dans le futur, garantissant l'égalité des chances entre citoyens. Jeudi, au 19e jour de campagne, coïncidant avec la Journée internationale de la liberté de la presse, les journalistes algériens étaient également au centre des discours des candidats au scrutin législatif. A Mostaganem, la présidente du Mouvement de la jeunesse et de la démocratie (MJD), Mme Chalabia Mahdjoubi, a insisté sur l'importance de faire participer les jeunes à l'œuvre d'édification du pays et aux différents plans gouvernementaux pour leur permettre de contribuer à la construction d'une Algérie "nouvelle". Mme Mahdjoubi a précisé que "le fait d'écarter les jeunes de la participation à la vie politique était source de prolifération de beaucoup de phénomènes sociaux", citant à titre d'exemple le trafic de drogue. Concernant la pratique journalistique, la présidente du MJD a appelé à "accélérer" l'ouverture du champ audiovisuel devant le privé par la création de chaînes spécialisées pour répondre à "ceux qui veulent mettre l'Algérie à genoux". De son côté, le président du Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem, a mis en exergue, lors d'une tournée à travers des communes du sud-est de Médéa, les capacités de la jeunesse dans la construction du pays. «Notre jeunesse est capable de relever tous les défis que rencontre le pays, pour peu qu'elle soit associée et impliquée dans la prise de décisions et la gestion directe des affaires du pays", a-t-il dit. A Tébessa, plus précisément à Ouenza, le président du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), Mohamed-Cherif Taleb, a plaidé pour l'émergence d'un Etat "fort" et "moderne", garantissant l'égalité des chances entre citoyens et une répartition équitable des richesses nationales, "loin de toute pression politique ou partisane". A Aflou (Laghouat), le président du Mouvement des citoyens libres (MCL), Mustapha Boudina, a appelé à "passer le flambeau aux jeunes'' qui, a-t-il dit, ont les compétences et la capacité nécessaires pour poursuivre la marche vers le développement. Quant au président du Mouvement El-Infitah, Omar Bouacha, il a appelé les jeunes à intégrer sa formation politique pour participer à l'édification d'une Algérie "nouvelle", d'autant, a-t-il dit, que le pays dispose de grandes potentialités en mesure d'assurer solidement son développement socio-économique et culturel. De son côté, le président du Front national des libertés (FNL), Mohamed Zerrouki, a mis la lumière, à Tlemcen, sur les solutions offertes par sa formation politique dans son programme électoral, citant l'intérêt pour la catégorie de jeunes, la réhabilitation des travailleurs et des fonctionnaires ainsi que la révision du système éducatif et universitaire, notamment le système LMD (Licence-master-doctorat). Toujours dans l'ouest du pays, le président du parti El-Fadjr El-Djadid, Tahar Benbaibèche, a défendu à Oran le principe de l'instauration d'un pouvoir "fort", capable de prendre des décisions pour sortir le pays de ses difficultés. Pour sa part, le président du parti du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud, a appelé, à Relizane, à l'élection des jeunes pour "porter le flambeau", soulignant que la jeunesse, dont les aînés se sont sacrifiés et ont tout donné à la Révolution, est capable aujourd'hui d'être à la hauteur des attentes. Même son de cloche chez le secrétaire général du Front de la bonne gouvernance (FBG), Aïssa Belhadi, qui s'est adressé aux jeunes à Aïn Azel (Sétif) en estimant, à leur intention, que le prochain rendez-vous électoral constituait "un tournant historique pour une Algérie nouvelle, meilleure, à même de leur ouvrir la voie pour qu'ils reprennent le flambeau", alors que le président du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a affirmé à Khemis Miliana (Aïn Defla) que les jeunes "devaient décider de leur avenir". Enfin à M'sila, le président du parti El-Karama, Mohamed Benhamou, a mis en valeur le rôle joué par la presse algérienne depuis 20 ans, notant que le nombre de quotidiens qui a atteint les 80 titres "prouvait que la liberté d'expression était bien enracinée dans le pays et n'avait besoin des orientations d'aucune partie dans ce domaine". Les partis politiques engagés dans la course aux législatives du 10 mai 2012, ont réitéré jeudi, à trois jours de la fin de la campagne électorale, leur appel à investir dans la jeunesse algérienne pour l'émergence d'un "Etat fort" dans le futur, garantissant l'égalité des chances entre citoyens. Jeudi, au 19e jour de campagne, coïncidant avec la Journée internationale de la liberté de la presse, les journalistes algériens étaient également au centre des discours des candidats au scrutin législatif. A Mostaganem, la présidente du Mouvement de la jeunesse et de la démocratie (MJD), Mme Chalabia Mahdjoubi, a insisté sur l'importance de faire participer les jeunes à l'œuvre d'édification du pays et aux différents plans gouvernementaux pour leur permettre de contribuer à la construction d'une Algérie "nouvelle". Mme Mahdjoubi a précisé que "le fait d'écarter les jeunes de la participation à la vie politique était source de prolifération de beaucoup de phénomènes sociaux", citant à titre d'exemple le trafic de drogue. Concernant la pratique journalistique, la présidente du MJD a appelé à "accélérer" l'ouverture du champ audiovisuel devant le privé par la création de chaînes spécialisées pour répondre à "ceux qui veulent mettre l'Algérie à genoux". De son côté, le président du Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem, a mis en exergue, lors d'une tournée à travers des communes du sud-est de Médéa, les capacités de la jeunesse dans la construction du pays. «Notre jeunesse est capable de relever tous les défis que rencontre le pays, pour peu qu'elle soit associée et impliquée dans la prise de décisions et la gestion directe des affaires du pays", a-t-il dit. A Tébessa, plus précisément à Ouenza, le président du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), Mohamed-Cherif Taleb, a plaidé pour l'émergence d'un Etat "fort" et "moderne", garantissant l'égalité des chances entre citoyens et une répartition équitable des richesses nationales, "loin de toute pression politique ou partisane". A Aflou (Laghouat), le président du Mouvement des citoyens libres (MCL), Mustapha Boudina, a appelé à "passer le flambeau aux jeunes'' qui, a-t-il dit, ont les compétences et la capacité nécessaires pour poursuivre la marche vers le développement. Quant au président du Mouvement El-Infitah, Omar Bouacha, il a appelé les jeunes à intégrer sa formation politique pour participer à l'édification d'une Algérie "nouvelle", d'autant, a-t-il dit, que le pays dispose de grandes potentialités en mesure d'assurer solidement son développement socio-économique et culturel. De son côté, le président du Front national des libertés (FNL), Mohamed Zerrouki, a mis la lumière, à Tlemcen, sur les solutions offertes par sa formation politique dans son programme électoral, citant l'intérêt pour la catégorie de jeunes, la réhabilitation des travailleurs et des fonctionnaires ainsi que la révision du système éducatif et universitaire, notamment le système LMD (Licence-master-doctorat). Toujours dans l'ouest du pays, le président du parti El-Fadjr El-Djadid, Tahar Benbaibèche, a défendu à Oran le principe de l'instauration d'un pouvoir "fort", capable de prendre des décisions pour sortir le pays de ses difficultés. Pour sa part, le président du parti du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud, a appelé, à Relizane, à l'élection des jeunes pour "porter le flambeau", soulignant que la jeunesse, dont les aînés se sont sacrifiés et ont tout donné à la Révolution, est capable aujourd'hui d'être à la hauteur des attentes. Même son de cloche chez le secrétaire général du Front de la bonne gouvernance (FBG), Aïssa Belhadi, qui s'est adressé aux jeunes à Aïn Azel (Sétif) en estimant, à leur intention, que le prochain rendez-vous électoral constituait "un tournant historique pour une Algérie nouvelle, meilleure, à même de leur ouvrir la voie pour qu'ils reprennent le flambeau", alors que le président du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a affirmé à Khemis Miliana (Aïn Defla) que les jeunes "devaient décider de leur avenir". Enfin à M'sila, le président du parti El-Karama, Mohamed Benhamou, a mis en valeur le rôle joué par la presse algérienne depuis 20 ans, notant que le nombre de quotidiens qui a atteint les 80 titres "prouvait que la liberté d'expression était bien enracinée dans le pays et n'avait besoin des orientations d'aucune partie dans ce domaine".