Les électeurs issus de la communauté algérienne établie à l'étranger étaient nombreux à se rendre dimanche, au deuxième jour des élections législatives, dans les bureaux de vote installés au siège des différents consulats d'Algérie pour exercer leur devoir électoral. Les électeurs issus de la communauté algérienne établie à l'étranger étaient nombreux à se rendre dimanche, au deuxième jour des élections législatives, dans les bureaux de vote installés au siège des différents consulats d'Algérie pour exercer leur devoir électoral. Ainsi, en Belgique, les électeurs, vieux et moins vieux, accompagnés souvent de leurs enfants, se sont succédé tout au long de la matinée du dimanche dans les bureaux de vote pour accomplir leur devoir électoral, confirmant ainsi les prévisions des employés du consulat qui avaient indiqué la veille à l'APS s'attendre à un nombre important d'électeurs pour cette journée de week-end en Belgique. Deux contrôleurs de partis politiques du Front des forces socialistes (FFS) et du Front national algérien (FNA), respectivement, MM. Ahcene Lamri et Hassen Bouazza, rencontrés sur place, ont indiqué que le vote pour l'élection des deux représentants de la communauté algérienne de la zone 4 (Europe en dehors de la France et les deux Amériques) en Belgique ''se déroule dans de bonnes conditions''. M. Bouazza, qui a relevé qu'au premier jour du scrutin, samedi, ''il y avait une affluence plutôt modeste'', a expliqué que la grande partie des électeurs de la communauté installée à Bruxelles ''va se rendre, comme à l'accoutumée, aux urnes ce dimanche''. Un constat partagé par M. Amiri, qui a cependant déploré, dans les autres bureaux installés en Belgique, l'absence d'affichage des listes des candidats. A Madrid, les Algériens résidant rencontrés, hier, rapporte l'APS, ont qualifié les élections législatives d'"exceptionnelles", auxquelles il faudra prendre part. Pour eux, ces législatives pourraient être un tournant "important dans la vie politique, économique et sociale pour le peuple algérien en général et pour la communauté algérienne résidant à l'étranger en particulier". Les membres de la communauté expliquent que leurs préoccupations n'"ont jamais été prises au sérieux par les députés et encore moins par ceux pour qui ils ont voté". L'espoir pour ces Algériens est venu, ont-ils déclaré, non seulement après avoir lu le discours du chef de l'Etat dans lequel il avait qualifié ces élections d'"historiques" mais également avec la naissance de nouveaux partis politiques. «Je n'ai jamais voté mais aujourd'hui, je trouve que ce vote est important. Il constitue une occasion propice pour un changement radical, d'où l'importance pour tout Algérien d'y prendre part", a déclaré Hacène, un jeune commerçant résidant depuis des années en Espagne. Course contre la montre en France A quelques heures de la clôture officielle de la campagne électorale pour les législatives 2012, les candidats en lice pour les quatre sièges réservés à la communauté nationale établie en France ont mis les bouchées doubles pour convaincre les indécis de la "nécessité" de participer à partir de mardi prochain au scrutin. Ils ont ainsi exploité, entre autres, les espaces mis à leur disposition par les missions diplomatiques et consulaires algériennes pour afficher leurs listes, portraits et programmes. A Lille, où réside la plus ancienne communauté algérienne à l'étranger, certains candidats à la députation ont mis à profit le week-end pour animer leurs dernières actions d'information et de sensibilisation en vue de cette consultation électorale. Sous un ciel gris, certains candidats issus de la communauté algérienne établie à Lille sont allés à la rencontre des membres de la communauté pour expliquer leurs programmes, comprendre leurs attentes et susciter leur intérêt pour ces législatives. Une course contre la montre est ainsi engagée par les candidats qui tentent tant bien que mal de toucher le maximum d'Algériens établis dans cette circonscription électorale. A Toulouse, l'intérêt pour les élections législatives du 10 mai est diversement apprécié par les Algériens établis à Toulouse (Sud-ouest de la France), dont certains regrettent le fait de ne pas ''connaître le profil'' des candidats des partis politiques engagés dans ces élections. Rencontré par l'envoyé spécial de l'APS près du marché hebdomadaire de la place Saint Sernin, dans le Vieux-Toulouse, Mohamed Saidi, 24 ans, s'est dit ''conscient'' de l'importance des législatives, mais reste ''indécis à cause de l'anonymat'' des candidats. ''Je réalise l'importance de ce rendez-vous électoral. Mais, j'avoue que le fait de ne pas connaître les candidats me laisse perplexe et indécis'', avoue ce jeune vendeur d'articles de sport, qui a collé une affiche comportant la date de ce scrutin sur la vitrine de son magasin. Hamid Ougarid, un jeune coiffeur tenant boutique à la Place Arnaud Bernard, au centre ville, regrette quant à lui qu'''aucun des candidats des partis politiques en lice n'a eu l'idée de rencontrer les jeunes Algériens vivant à Toulouse pour s'enquérir de leurs préoccupations''. «Je ne pense pas que je vais voter, car je ne connais aucun des candidats en lice'', a-t-il déploré. Six partis en lice en Libye Par ailleurs, plusieurs ressortissants algériens établis en Libye se sont exprimés dimanche sur les élections législatives du 10 mai en mettant l'accent sur l'importance de ce rendez-vous et en soulignant leur profond attachement à l'Algérie. Rencontrés à l'issue de l'accomplissement de leur devoir électoral aux niveaux des deux bureaux de vote ouverts au siège du consulat général d'Algérie à Tripoli, ces derniers ont, également, signifié, à l'APS, leurs attentes et espoirs concernant les retombées positives de cette échéance. «Je vote pour la première fois et pour l'Algérie", a précisé le jeune Benslimane Mokhtar Khechab, étudiant en informatique, résidant en Libye depuis l'âge de six ans. Une autre citoyenne dépassant les soixante-dix ans, et qui a préféré garder l'anonymat, a précisé que le vote est "un devoir pour moi et je dois répondre à l'appel de mon pays". Journalière, établie depuis 18 ans en Libye, elle se dit "fière de ce rendez-vous" qui ,espère-t-elle "apportera un changement radical aussi bien en matière de déroulement du scrutin qu' en matière de gestion des affaires du pays". Les membres de la communauté algérienne établis en Libye doivent, rappelle-t-on, choisir leurs deux représentants à la prochaine Assemblée populaire nationale (APN) parmi les candidats en lice pour la Zone 3 qui regroupe le monde arabe, l'Afrique, l'Asie et l'Océanie. Six partis et une liste indépendante sont en lice pour ces deux sièges à la future APN, signale-t-on. Ainsi, en Belgique, les électeurs, vieux et moins vieux, accompagnés souvent de leurs enfants, se sont succédé tout au long de la matinée du dimanche dans les bureaux de vote pour accomplir leur devoir électoral, confirmant ainsi les prévisions des employés du consulat qui avaient indiqué la veille à l'APS s'attendre à un nombre important d'électeurs pour cette journée de week-end en Belgique. Deux contrôleurs de partis politiques du Front des forces socialistes (FFS) et du Front national algérien (FNA), respectivement, MM. Ahcene Lamri et Hassen Bouazza, rencontrés sur place, ont indiqué que le vote pour l'élection des deux représentants de la communauté algérienne de la zone 4 (Europe en dehors de la France et les deux Amériques) en Belgique ''se déroule dans de bonnes conditions''. M. Bouazza, qui a relevé qu'au premier jour du scrutin, samedi, ''il y avait une affluence plutôt modeste'', a expliqué que la grande partie des électeurs de la communauté installée à Bruxelles ''va se rendre, comme à l'accoutumée, aux urnes ce dimanche''. Un constat partagé par M. Amiri, qui a cependant déploré, dans les autres bureaux installés en Belgique, l'absence d'affichage des listes des candidats. A Madrid, les Algériens résidant rencontrés, hier, rapporte l'APS, ont qualifié les élections législatives d'"exceptionnelles", auxquelles il faudra prendre part. Pour eux, ces législatives pourraient être un tournant "important dans la vie politique, économique et sociale pour le peuple algérien en général et pour la communauté algérienne résidant à l'étranger en particulier". Les membres de la communauté expliquent que leurs préoccupations n'"ont jamais été prises au sérieux par les députés et encore moins par ceux pour qui ils ont voté". L'espoir pour ces Algériens est venu, ont-ils déclaré, non seulement après avoir lu le discours du chef de l'Etat dans lequel il avait qualifié ces élections d'"historiques" mais également avec la naissance de nouveaux partis politiques. «Je n'ai jamais voté mais aujourd'hui, je trouve que ce vote est important. Il constitue une occasion propice pour un changement radical, d'où l'importance pour tout Algérien d'y prendre part", a déclaré Hacène, un jeune commerçant résidant depuis des années en Espagne. Course contre la montre en France A quelques heures de la clôture officielle de la campagne électorale pour les législatives 2012, les candidats en lice pour les quatre sièges réservés à la communauté nationale établie en France ont mis les bouchées doubles pour convaincre les indécis de la "nécessité" de participer à partir de mardi prochain au scrutin. Ils ont ainsi exploité, entre autres, les espaces mis à leur disposition par les missions diplomatiques et consulaires algériennes pour afficher leurs listes, portraits et programmes. A Lille, où réside la plus ancienne communauté algérienne à l'étranger, certains candidats à la députation ont mis à profit le week-end pour animer leurs dernières actions d'information et de sensibilisation en vue de cette consultation électorale. Sous un ciel gris, certains candidats issus de la communauté algérienne établie à Lille sont allés à la rencontre des membres de la communauté pour expliquer leurs programmes, comprendre leurs attentes et susciter leur intérêt pour ces législatives. Une course contre la montre est ainsi engagée par les candidats qui tentent tant bien que mal de toucher le maximum d'Algériens établis dans cette circonscription électorale. A Toulouse, l'intérêt pour les élections législatives du 10 mai est diversement apprécié par les Algériens établis à Toulouse (Sud-ouest de la France), dont certains regrettent le fait de ne pas ''connaître le profil'' des candidats des partis politiques engagés dans ces élections. Rencontré par l'envoyé spécial de l'APS près du marché hebdomadaire de la place Saint Sernin, dans le Vieux-Toulouse, Mohamed Saidi, 24 ans, s'est dit ''conscient'' de l'importance des législatives, mais reste ''indécis à cause de l'anonymat'' des candidats. ''Je réalise l'importance de ce rendez-vous électoral. Mais, j'avoue que le fait de ne pas connaître les candidats me laisse perplexe et indécis'', avoue ce jeune vendeur d'articles de sport, qui a collé une affiche comportant la date de ce scrutin sur la vitrine de son magasin. Hamid Ougarid, un jeune coiffeur tenant boutique à la Place Arnaud Bernard, au centre ville, regrette quant à lui qu'''aucun des candidats des partis politiques en lice n'a eu l'idée de rencontrer les jeunes Algériens vivant à Toulouse pour s'enquérir de leurs préoccupations''. «Je ne pense pas que je vais voter, car je ne connais aucun des candidats en lice'', a-t-il déploré. Six partis en lice en Libye Par ailleurs, plusieurs ressortissants algériens établis en Libye se sont exprimés dimanche sur les élections législatives du 10 mai en mettant l'accent sur l'importance de ce rendez-vous et en soulignant leur profond attachement à l'Algérie. Rencontrés à l'issue de l'accomplissement de leur devoir électoral aux niveaux des deux bureaux de vote ouverts au siège du consulat général d'Algérie à Tripoli, ces derniers ont, également, signifié, à l'APS, leurs attentes et espoirs concernant les retombées positives de cette échéance. «Je vote pour la première fois et pour l'Algérie", a précisé le jeune Benslimane Mokhtar Khechab, étudiant en informatique, résidant en Libye depuis l'âge de six ans. Une autre citoyenne dépassant les soixante-dix ans, et qui a préféré garder l'anonymat, a précisé que le vote est "un devoir pour moi et je dois répondre à l'appel de mon pays". Journalière, établie depuis 18 ans en Libye, elle se dit "fière de ce rendez-vous" qui ,espère-t-elle "apportera un changement radical aussi bien en matière de déroulement du scrutin qu' en matière de gestion des affaires du pays". Les membres de la communauté algérienne établis en Libye doivent, rappelle-t-on, choisir leurs deux représentants à la prochaine Assemblée populaire nationale (APN) parmi les candidats en lice pour la Zone 3 qui regroupe le monde arabe, l'Afrique, l'Asie et l'Océanie. Six partis et une liste indépendante sont en lice pour ces deux sièges à la future APN, signale-t-on.