Un entrepreneur a été assassiné par deux personnes qui travaillaient pour lui, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, avons-nous appris hier. La victime, K. Karim, était âgée de 29 ans. Originaire du village Aït Khelifa, dans la commune d'Abi Youcef (Ain El Hammam), il habitait à la Nouvelle-Ville de Tizi-Ouzou. Tout a commencé par la disparition de K. Karim le premier mai dernier. Une disparition qui été signalée aux services de la Gendarmerie nationale. Ces derniers ont ouvert sur place une enquête. A l'issue des investigations qui ont pris moins d'une semaine, l'affaire a été élucidée en grande partie. Il s'agissait d'un assassinat. Deux travailleurs, employés chez la famille de la victime ont tué le jeune entrepreneur avant de l'enterrer à l'intérieur même du dépôt de ciment et de parpaing dudit entrepreneur, situé à Oued Aïssi, sur la route reliant Tizi-Ouzou à la commune d'Irdjen (Larbâa Nath Irathen). Les mêmes sources ont précisé que ce n'est qu'hier que tout a été découvert. La victime, après avoir été tuée, a été enterrée. Puis, sans doute pour mieux dissimuler leur crime, les assassins présumés ont construit une plate-forme en ciment sur le lieu de l'enterrement. Les motifs de ce crime restent inconnus. Un entrepreneur a été assassiné par deux personnes qui travaillaient pour lui, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, avons-nous appris hier. La victime, K. Karim, était âgée de 29 ans. Originaire du village Aït Khelifa, dans la commune d'Abi Youcef (Ain El Hammam), il habitait à la Nouvelle-Ville de Tizi-Ouzou. Tout a commencé par la disparition de K. Karim le premier mai dernier. Une disparition qui été signalée aux services de la Gendarmerie nationale. Ces derniers ont ouvert sur place une enquête. A l'issue des investigations qui ont pris moins d'une semaine, l'affaire a été élucidée en grande partie. Il s'agissait d'un assassinat. Deux travailleurs, employés chez la famille de la victime ont tué le jeune entrepreneur avant de l'enterrer à l'intérieur même du dépôt de ciment et de parpaing dudit entrepreneur, situé à Oued Aïssi, sur la route reliant Tizi-Ouzou à la commune d'Irdjen (Larbâa Nath Irathen). Les mêmes sources ont précisé que ce n'est qu'hier que tout a été découvert. La victime, après avoir été tuée, a été enterrée. Puis, sans doute pour mieux dissimuler leur crime, les assassins présumés ont construit une plate-forme en ciment sur le lieu de l'enterrement. Les motifs de ce crime restent inconnus.