Le président du Front de la justice et du développement t (FJD) s'est, une fois de plus, montré confiant s'agissant du succès de son parti lors des élections législatives de jeudi prochain. Le président du Front de la justice et du développement t (FJD) s'est, une fois de plus, montré confiant s'agissant du succès de son parti lors des élections législatives de jeudi prochain. «Nous serons vainqueurs et nous allons remporter ces élections avec, sinon une majorité absolue du moins une majorité relative», a, en effet, indiqué hier Abdallah Djaballah lors d'une conférence de presse animée au siège de son parti. Djaballah a aussi précisé que seule la fraude est à même d'empêcher le FJD de gagner ce scrutin législatif et ce même, a-t-il estimé toutefois, s'il sera difficile de frauder cette fois-ci. Car, pour lui la présence des observateurs étrangers et ceux des partis politiques dans les bureaux de vote est un facteur dissuasif. Le leader du FJD a affirmé que son parti ne compte pas gouverner seul puisqu'il s'est dit favorable à un gouvernement de coalition. «Ce gouvernement de coalition sera composé des plus importants partis qui ont enregistré de bons scores aux législatives», a-t-il souligné avant d'ajouter que cet optimisme quant à la victoire du FJD vient du fait que «notre campagne électorale a suscité un grand enthousiasme populaire comme l'atteste bien la présence d'un nombre important de citoyens à nos différents meetings». Djaballah a aussi répondu aux attaques des laïcs qui ont accusé les islamistes de n'avoir aucun programme politique. «C'est eux qui n'ont ni un programme politique, ni un ancrage populaire et c'est pourquoi ils invoquent à chaque fois le spectre des islamistes pour faire peur aux gens», a-t-il martelé ajoutant que «nous disposons d'un programme élaboré par nos experts». Sur sa lancée Abdallah Djaballah dira aussi «qu'il est contre un Etat théocratique par ce que tout simplement cela n'existe pas en Islam» et, à ce titre, il fera référence à la «constitution élaboré à Medine par le prophète»,QSSSL. Il n'a pas aussi manqué de fustiger l'ENTV qu'il a accusée d'avoir été partiale lors de la couverture des meetings du FJD en considérant que son parti est «la cible d'une conspiration» . Il a mis en avant la présence massive des citoyens aux meetings qu'il a animés durant la campagne électorale. Il a indiqué avoir sillonné pas moins de 37 wilayas du pays et animé 118 rencontres, avec les citoyens. Aussi, il dira que, contrairement aux affirmations mises en avant par la presse nationale, la campagne électorale n'a pas été morose puisque "j'ai eu à constater lors des meetings et rencontres de proximité une présence massive des citoyens" . Il s'en est pris aux ministres candidats qu'il a accusés d'avoir utilisé les moyens de l'Etat durant la campagne électorale. Croyant dur comme fer en la possibilité du changement, Djaballah a, enfin, appelé les citoyens à aller voter massivement le 10 mai. «Nous serons vainqueurs et nous allons remporter ces élections avec, sinon une majorité absolue du moins une majorité relative», a, en effet, indiqué hier Abdallah Djaballah lors d'une conférence de presse animée au siège de son parti. Djaballah a aussi précisé que seule la fraude est à même d'empêcher le FJD de gagner ce scrutin législatif et ce même, a-t-il estimé toutefois, s'il sera difficile de frauder cette fois-ci. Car, pour lui la présence des observateurs étrangers et ceux des partis politiques dans les bureaux de vote est un facteur dissuasif. Le leader du FJD a affirmé que son parti ne compte pas gouverner seul puisqu'il s'est dit favorable à un gouvernement de coalition. «Ce gouvernement de coalition sera composé des plus importants partis qui ont enregistré de bons scores aux législatives», a-t-il souligné avant d'ajouter que cet optimisme quant à la victoire du FJD vient du fait que «notre campagne électorale a suscité un grand enthousiasme populaire comme l'atteste bien la présence d'un nombre important de citoyens à nos différents meetings». Djaballah a aussi répondu aux attaques des laïcs qui ont accusé les islamistes de n'avoir aucun programme politique. «C'est eux qui n'ont ni un programme politique, ni un ancrage populaire et c'est pourquoi ils invoquent à chaque fois le spectre des islamistes pour faire peur aux gens», a-t-il martelé ajoutant que «nous disposons d'un programme élaboré par nos experts». Sur sa lancée Abdallah Djaballah dira aussi «qu'il est contre un Etat théocratique par ce que tout simplement cela n'existe pas en Islam» et, à ce titre, il fera référence à la «constitution élaboré à Medine par le prophète»,QSSSL. Il n'a pas aussi manqué de fustiger l'ENTV qu'il a accusée d'avoir été partiale lors de la couverture des meetings du FJD en considérant que son parti est «la cible d'une conspiration» . Il a mis en avant la présence massive des citoyens aux meetings qu'il a animés durant la campagne électorale. Il a indiqué avoir sillonné pas moins de 37 wilayas du pays et animé 118 rencontres, avec les citoyens. Aussi, il dira que, contrairement aux affirmations mises en avant par la presse nationale, la campagne électorale n'a pas été morose puisque "j'ai eu à constater lors des meetings et rencontres de proximité une présence massive des citoyens" . Il s'en est pris aux ministres candidats qu'il a accusés d'avoir utilisé les moyens de l'Etat durant la campagne électorale. Croyant dur comme fer en la possibilité du changement, Djaballah a, enfin, appelé les citoyens à aller voter massivement le 10 mai.