Le secrétaire général du Comité olympique algérien (COA), Hassan Chikh, a été démis de ses fonctions par le président de l'instance olympique, Rachid Hanifi, "conformément aux prérogatives" que lui confèrent les statuts, a t-on appris mardi auprès du COA. "J'ai mis fin aux fonctions de Mr Hassan Chikh, en sa qualité du secrétaire général du COA. A ce titre, il n'est plus autorisé à s'exprimer, à quelque niveau qu'il soit, national et international, en cette qualité et au nom du COA", lit-on dans un communiqué. Lors d'une réunion tenue le 28 avril dernier, dix des treize membres du Comité exécutif du comité exécutif du COA, dont Hassan Chikh, ont exprimé, leur "totale" désapprobation du mode de gestion du président du COA, Rachid Hanifi, se démarquant des "dérives" et des "dysfonctionnements" qui sévissent dans la plus haute instance du sport algérien. Les dix membres ont animé lundi un point de presse à Alger, réitérant leurs positions vis à vis du mode de gestion de Rachid Hanifi, appelant au passage à la tenue d'une assemblée générale extraordinaire "seule habilitée à juger" cette démarche. Le secrétaire général du Comité olympique algérien (COA), Hassan Chikh, a été démis de ses fonctions par le président de l'instance olympique, Rachid Hanifi, "conformément aux prérogatives" que lui confèrent les statuts, a t-on appris mardi auprès du COA. "J'ai mis fin aux fonctions de Mr Hassan Chikh, en sa qualité du secrétaire général du COA. A ce titre, il n'est plus autorisé à s'exprimer, à quelque niveau qu'il soit, national et international, en cette qualité et au nom du COA", lit-on dans un communiqué. Lors d'une réunion tenue le 28 avril dernier, dix des treize membres du Comité exécutif du comité exécutif du COA, dont Hassan Chikh, ont exprimé, leur "totale" désapprobation du mode de gestion du président du COA, Rachid Hanifi, se démarquant des "dérives" et des "dysfonctionnements" qui sévissent dans la plus haute instance du sport algérien. Les dix membres ont animé lundi un point de presse à Alger, réitérant leurs positions vis à vis du mode de gestion de Rachid Hanifi, appelant au passage à la tenue d'une assemblée générale extraordinaire "seule habilitée à juger" cette démarche.