Le nombre d'infractions enregistrées durant la journée du scrutin, jeudi, a été de 113, a indiqué la Commission nationale de supervision des élections. La commission a indiqué avoir tranché ces infractions dont elle a été saisie et dont la plupart concernent des infractions matérielles simples n'ayant pas eu d'incidence sur le bon déroulement du processus électoral, a affirmé le président de la Commission, M. Slimane Boudi. Il soulignera, de ce fait, que toutes les infractions ont été traitées en temps réel, avant d'ajouter que les wilayas de Constantine et de Tissemsilt ont enregistré le plus grand nombre d'infractions. Ces cas rapportés à la commission portent sur «la non-conformité des urnes aux caractéristiques définies par la loi, le mauvais classement des bulletins de vote et un nombre d'enveloppes insuffisant par rapport à celui des bulletins de vote», a-t-il précisé. Pour rappel, la commission avait déjà tranché 12 infractions enregistrées lors du déroulement du scrutin pour la communauté nationale établie à l'étranger et pour les habitants des régions éloignées à travers des bureaux itinérants. Créée en vertu de la loi organique 01-12 portant régime électoral, la Commission nationale de supervision des élections législatives, forte de 316 magistrats, est habilitée à prendre les décisions qui s'imposent pour parer à tout dépassement lors du processus électoral et à intervenir dans toutes les étapes de l'opération électorale. Le nombre d'infractions enregistrées durant la journée du scrutin, jeudi, a été de 113, a indiqué la Commission nationale de supervision des élections. La commission a indiqué avoir tranché ces infractions dont elle a été saisie et dont la plupart concernent des infractions matérielles simples n'ayant pas eu d'incidence sur le bon déroulement du processus électoral, a affirmé le président de la Commission, M. Slimane Boudi. Il soulignera, de ce fait, que toutes les infractions ont été traitées en temps réel, avant d'ajouter que les wilayas de Constantine et de Tissemsilt ont enregistré le plus grand nombre d'infractions. Ces cas rapportés à la commission portent sur «la non-conformité des urnes aux caractéristiques définies par la loi, le mauvais classement des bulletins de vote et un nombre d'enveloppes insuffisant par rapport à celui des bulletins de vote», a-t-il précisé. Pour rappel, la commission avait déjà tranché 12 infractions enregistrées lors du déroulement du scrutin pour la communauté nationale établie à l'étranger et pour les habitants des régions éloignées à travers des bureaux itinérants. Créée en vertu de la loi organique 01-12 portant régime électoral, la Commission nationale de supervision des élections législatives, forte de 316 magistrats, est habilitée à prendre les décisions qui s'imposent pour parer à tout dépassement lors du processus électoral et à intervenir dans toutes les étapes de l'opération électorale.