Les affrontements entre l'armée congolaise et des mutins ex-rebelles se poursuivaient vendredi matin dans la province instable du Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, près de la frontière avec le Rwanda et l'Ouganda, selon les agences de presse citant des sources concordantes. Les combats ont éclaté dans la nuit de jeudi et ils se poursuivaient vendredi matin au Nord-Kivu, dans l'est du pays, près de la frontière avec le Rwanda et l'Ouganda, ont précisé les mêmes sources. "La situation est mauvaise. Les mutins sont près de la cité de Bunagana. Les habitants qui avaient passé la nuit à Bunagana son partis ce matin en Ouganda", a indiqué un agent des services de renseignements du gouvernement congolais, basé dans cette localité proche de la frontière ougandaise. Cités par les agences, les mutins se réclament du Mouvement du 23 mars (M23), un nouveau groupe militaire d'ex-CNDP revendiquant la pleine application des accords de 2009 et dirigé par le colonel Sultani Makenga, qui a déserté le 4 mai avec plusieurs dizaines d'hommes et regagné le territoire de Rutshuru, frontalier de l'Ouganda et du Rwanda. Dans la nuit de jeudi, des combats à l'arme lourde ont opposé forces loyalistes et mutins à Runyiony, près de Bunagana ainsi que de Kibumba, une localité à la lisière du parc des Virunga où serait retranché avec ses hommes le général Bosco Ntaganda, ex-chef d'état-major du CNDP. Le général Ntaganda est recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour enrôlement d'enfants soldats, et par le gouvernement congolais qui le juge "responsable" des récents combats entre armée et mutins dans l'est. Guinée 24 manifestants blessés dans des heurts 24 manifestants et 17 gendarmes ont été blessés lors de heurts jeudi à Conakry (Guinée) lors d'une manifestation ayant rassemblé des milliers de personnes, selon un nouveau bilan de sources hospitalières citées par la télévision nationale. Des manifestants, dont l'un grièvement par balle, ont été blessés dans des heurts avec les forces de l'ordre alors qu'ils se rendaient à un rassemblement de l'opposition. Un précédent bilan a fait état de 19 blessé. Plusieurs leaders d'opposition, dont le principal d'entre eux, Cellou Dalein Diallo, ont participé au rassemblement sur une grande esplanade de Conakry pour réclamer des législatives "libres et transparentes". Les affrontements entre l'armée congolaise et des mutins ex-rebelles se poursuivaient vendredi matin dans la province instable du Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, près de la frontière avec le Rwanda et l'Ouganda, selon les agences de presse citant des sources concordantes. Les combats ont éclaté dans la nuit de jeudi et ils se poursuivaient vendredi matin au Nord-Kivu, dans l'est du pays, près de la frontière avec le Rwanda et l'Ouganda, ont précisé les mêmes sources. "La situation est mauvaise. Les mutins sont près de la cité de Bunagana. Les habitants qui avaient passé la nuit à Bunagana son partis ce matin en Ouganda", a indiqué un agent des services de renseignements du gouvernement congolais, basé dans cette localité proche de la frontière ougandaise. Cités par les agences, les mutins se réclament du Mouvement du 23 mars (M23), un nouveau groupe militaire d'ex-CNDP revendiquant la pleine application des accords de 2009 et dirigé par le colonel Sultani Makenga, qui a déserté le 4 mai avec plusieurs dizaines d'hommes et regagné le territoire de Rutshuru, frontalier de l'Ouganda et du Rwanda. Dans la nuit de jeudi, des combats à l'arme lourde ont opposé forces loyalistes et mutins à Runyiony, près de Bunagana ainsi que de Kibumba, une localité à la lisière du parc des Virunga où serait retranché avec ses hommes le général Bosco Ntaganda, ex-chef d'état-major du CNDP. Le général Ntaganda est recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour enrôlement d'enfants soldats, et par le gouvernement congolais qui le juge "responsable" des récents combats entre armée et mutins dans l'est. Guinée 24 manifestants blessés dans des heurts 24 manifestants et 17 gendarmes ont été blessés lors de heurts jeudi à Conakry (Guinée) lors d'une manifestation ayant rassemblé des milliers de personnes, selon un nouveau bilan de sources hospitalières citées par la télévision nationale. Des manifestants, dont l'un grièvement par balle, ont été blessés dans des heurts avec les forces de l'ordre alors qu'ils se rendaient à un rassemblement de l'opposition. Un précédent bilan a fait état de 19 blessé. Plusieurs leaders d'opposition, dont le principal d'entre eux, Cellou Dalein Diallo, ont participé au rassemblement sur une grande esplanade de Conakry pour réclamer des législatives "libres et transparentes".