On s'attendait à un nouveau Parlement à majorité islamiste, mais le scrutin du 10 mai dernier en a décidé autrement. Pire, les partis incarnant cette mouvance ont subi une vraie débâcle, perdant du terrain au sein de l'Assemblée. On s'attendait à un nouveau Parlement à majorité islamiste, mais le scrutin du 10 mai dernier en a décidé autrement. Pire, les partis incarnant cette mouvance ont subi une vraie débâcle, perdant du terrain au sein de l'Assemblée. En effet, les résultats du scrutin législatif ont réaffirmé l' «exception algérienne» aux yeux de l'opinion internationale qui a suivi de très près le processus électoral. D'ailleurs, ce sont toutes les capitales occidentales qui se sont félicitées du bon déroulement des échéances électorales. Notamment Washington et Paris, les deux principaux alliés de l'Algérie. En effet, les Etats-Unis et la France, dont on disait qu'elle soutenait l'avancée des mouvements islamistes dans les pays arabes se sont empressés de féliciter l'Algérie pour la propreté du scrutin, suivant les rapports favorables dressés par les innombrables observateurs étrangers présents dans le pays. Idem pour le Qatar qui avait pourtant soutenu les mouvements révolutionnaires dans les pays arabes et assisté matériellement à la chute du régime Kadhafi en Libye. Doha n'a pas manqué dans ce sens de se féliciter du succès des législatives algériennes. C'est le même son de cloche chez d'autres pays, dont la Tunisie qui avait pourtant donné le coup d'envoi à l'ascension des islamistes au pouvoir. C'est dire que l'Algérie a choisi la continuité, le changement étant effectué il y a déjà plus de vingt ans avec l'ouverture politique, syndicale et médiatique, pour paraphraser les arguments des autorités algériennes pour convaincre l'opinion internationale de la véracité de l'exception algérienne. Autrement dit, le scrutin du 10 mai dernier a confirmé cette exception en optant plutôt pour le courant nationaliste, incarné par le vieux parti, au détriment d'un islamisme rampant, mais de surcroît discrédité par l'opinion nationale. D'ailleurs, le président de l'association France-Algérie, Jean-Pierre Chevènement n'a pas manqué de saluer la réussite du scrutin du 10 mai dernier. "Les chiffres de la participation, significativement supérieurs à ceux des élections législatives précédentes, l'importance et le soin apporté par les observateurs étrangers à la surveillance du scrutin, les résultats diversifiés obtenus, tous ces signes sont positifs pour l'avancée de la démocratie en Algérie", a-t-il estimé, lui qui est très au fait du développements des relations algéro-françaises. C'est un sentiment partagé par la quasi-totalité de l'opinion internationale, synonyme d'une réussite d'un scrutin historique attendu par tout le monde, en ce sens qu'il est survenu à la lumière des réformes politiques engagées par le président de la République mais aussi et surtout au lendemain des révolutions arabes enclenchées dans plusieurs pays de la région, à l'instar de la Tunisie, l'Egypte et la Libye. La victoire écrasante du courant nationaliste incarné par le vieux parti est un message destiné au monde entier. Finalement, les appels des hautes autorités du pays et des différentes formations politiques et autres personnalités culturelles, historiques et sportives ont porté leurs fruits. Ce qui constitue un rempart contre les «forces du mal» qui guettent le pays, l'immunisant de la sorte d'une ingérence étrangère. Les résultats du dernier scrutin justement sont à même de tarir toutes les sources d'ingérence, tel que souhaité et ressassé sans cesse par les pouvoirs publics. En effet, les résultats du scrutin législatif ont réaffirmé l' «exception algérienne» aux yeux de l'opinion internationale qui a suivi de très près le processus électoral. D'ailleurs, ce sont toutes les capitales occidentales qui se sont félicitées du bon déroulement des échéances électorales. Notamment Washington et Paris, les deux principaux alliés de l'Algérie. En effet, les Etats-Unis et la France, dont on disait qu'elle soutenait l'avancée des mouvements islamistes dans les pays arabes se sont empressés de féliciter l'Algérie pour la propreté du scrutin, suivant les rapports favorables dressés par les innombrables observateurs étrangers présents dans le pays. Idem pour le Qatar qui avait pourtant soutenu les mouvements révolutionnaires dans les pays arabes et assisté matériellement à la chute du régime Kadhafi en Libye. Doha n'a pas manqué dans ce sens de se féliciter du succès des législatives algériennes. C'est le même son de cloche chez d'autres pays, dont la Tunisie qui avait pourtant donné le coup d'envoi à l'ascension des islamistes au pouvoir. C'est dire que l'Algérie a choisi la continuité, le changement étant effectué il y a déjà plus de vingt ans avec l'ouverture politique, syndicale et médiatique, pour paraphraser les arguments des autorités algériennes pour convaincre l'opinion internationale de la véracité de l'exception algérienne. Autrement dit, le scrutin du 10 mai dernier a confirmé cette exception en optant plutôt pour le courant nationaliste, incarné par le vieux parti, au détriment d'un islamisme rampant, mais de surcroît discrédité par l'opinion nationale. D'ailleurs, le président de l'association France-Algérie, Jean-Pierre Chevènement n'a pas manqué de saluer la réussite du scrutin du 10 mai dernier. "Les chiffres de la participation, significativement supérieurs à ceux des élections législatives précédentes, l'importance et le soin apporté par les observateurs étrangers à la surveillance du scrutin, les résultats diversifiés obtenus, tous ces signes sont positifs pour l'avancée de la démocratie en Algérie", a-t-il estimé, lui qui est très au fait du développements des relations algéro-françaises. C'est un sentiment partagé par la quasi-totalité de l'opinion internationale, synonyme d'une réussite d'un scrutin historique attendu par tout le monde, en ce sens qu'il est survenu à la lumière des réformes politiques engagées par le président de la République mais aussi et surtout au lendemain des révolutions arabes enclenchées dans plusieurs pays de la région, à l'instar de la Tunisie, l'Egypte et la Libye. La victoire écrasante du courant nationaliste incarné par le vieux parti est un message destiné au monde entier. Finalement, les appels des hautes autorités du pays et des différentes formations politiques et autres personnalités culturelles, historiques et sportives ont porté leurs fruits. Ce qui constitue un rempart contre les «forces du mal» qui guettent le pays, l'immunisant de la sorte d'une ingérence étrangère. Les résultats du dernier scrutin justement sont à même de tarir toutes les sources d'ingérence, tel que souhaité et ressassé sans cesse par les pouvoirs publics.