Vingt partis déçus par les résultats des élections législatives issus du scrutin du 10 mai dernier tenteront aujourd'hui de dégager une action commune quant à leur avenir dans la nouvelle Assemblée populaire nationale (APN). Les leaders de ces formations politiques se rencontreront en effet aujourd'hui, au siège du Front de la justice et du développement (FJD El Adala) de Abdallah Djaballah, à Alger, dans la perspective de statuer définitivement sur l'attitude à adopter concernant le nouveau Parlement. Cette initiative ,sous la houlette des partis islamistes du Front du changement (FC) de Abdelmadjid Menasra, du Front de l'Algérie nouvelle (FAN) de Djamel Benabdeslam en plus du parti de Djaballah, est également cautionnée par le Front national algérien (FNA) de Moussa Touati, le Mouvement El-Infitah (ME), le Parti Jil Jadid (PJJ) de Sofiane Djillali, le Parti El-Fedjr El-Jadid (PFJ) de Tahar Benbaibèche et le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd pour ne citer que ceux-là. Cependant, l'option de boycott de la présente législature, brandie par ces partis contestataires, ne risque pas de perturber le déroulement des travaux de la nouvelle Assemblée, en ce sens que tous ces partis réunis ne représentent qu'une infime partie des sièges obtenus par le Front de libération nationale (FLN) auxquels s'ajoutent ceux du Rassemblement national démocratique (RND), le Parti des travailleurs (PT), le Front des forces socialistes (FFS) qui n'adhérent pas à l'initiative du groupe des 20. Donc, quelle que soit l'option dégagée par ces contestataires, leur action ne sera qu'une tempête dans un verre d'eau. La démarcation du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et ses compères de l'Alliance de l'Algérie Verte (AAV) de cette initiative, en décidant finalement de siéger au nouveau Parlement désavantage encore plus le groupe des contestataires. En attendant que le Conseil constitutionnel statue définitivement sur les 165 recours formulés par plusieurs formations politiques, l'installation officielle de la nouvelle Assemblée a été reportée d'une semaine. Une façon de refroidir un peu la scène politique née de la proclamation des résultats des élections législatives, trancher tous les recours et amorcer une nouvelle législature dans de meilleures conditions. Un nouveau Parlement largement dominé par le courant nationaliste incarné par le FLN et son partenaire historique, le RND, ne laissant aucune place à la contestation pour les partis déçus de leur prestation électorale. Toutefois, si les partis formant le groupe des 20 venaient à entériner l'option de bouder la nouvelle Assemblée, ce sera un fait inédit dans les annales politiques du pays. En dépit de leur nombre de sièges insignifiant, cette protestation risque de perturber l'ouverture officielle de l'APN prévue dimanche prochain. Vingt partis déçus par les résultats des élections législatives issus du scrutin du 10 mai dernier tenteront aujourd'hui de dégager une action commune quant à leur avenir dans la nouvelle Assemblée populaire nationale (APN). Les leaders de ces formations politiques se rencontreront en effet aujourd'hui, au siège du Front de la justice et du développement (FJD El Adala) de Abdallah Djaballah, à Alger, dans la perspective de statuer définitivement sur l'attitude à adopter concernant le nouveau Parlement. Cette initiative ,sous la houlette des partis islamistes du Front du changement (FC) de Abdelmadjid Menasra, du Front de l'Algérie nouvelle (FAN) de Djamel Benabdeslam en plus du parti de Djaballah, est également cautionnée par le Front national algérien (FNA) de Moussa Touati, le Mouvement El-Infitah (ME), le Parti Jil Jadid (PJJ) de Sofiane Djillali, le Parti El-Fedjr El-Jadid (PFJ) de Tahar Benbaibèche et le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd pour ne citer que ceux-là. Cependant, l'option de boycott de la présente législature, brandie par ces partis contestataires, ne risque pas de perturber le déroulement des travaux de la nouvelle Assemblée, en ce sens que tous ces partis réunis ne représentent qu'une infime partie des sièges obtenus par le Front de libération nationale (FLN) auxquels s'ajoutent ceux du Rassemblement national démocratique (RND), le Parti des travailleurs (PT), le Front des forces socialistes (FFS) qui n'adhérent pas à l'initiative du groupe des 20. Donc, quelle que soit l'option dégagée par ces contestataires, leur action ne sera qu'une tempête dans un verre d'eau. La démarcation du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et ses compères de l'Alliance de l'Algérie Verte (AAV) de cette initiative, en décidant finalement de siéger au nouveau Parlement désavantage encore plus le groupe des contestataires. En attendant que le Conseil constitutionnel statue définitivement sur les 165 recours formulés par plusieurs formations politiques, l'installation officielle de la nouvelle Assemblée a été reportée d'une semaine. Une façon de refroidir un peu la scène politique née de la proclamation des résultats des élections législatives, trancher tous les recours et amorcer une nouvelle législature dans de meilleures conditions. Un nouveau Parlement largement dominé par le courant nationaliste incarné par le FLN et son partenaire historique, le RND, ne laissant aucune place à la contestation pour les partis déçus de leur prestation électorale. Toutefois, si les partis formant le groupe des 20 venaient à entériner l'option de bouder la nouvelle Assemblée, ce sera un fait inédit dans les annales politiques du pays. En dépit de leur nombre de sièges insignifiant, cette protestation risque de perturber l'ouverture officielle de l'APN prévue dimanche prochain.