Le front du refus monte au créneau. Un gouvernement d'union nationale. Un Parlement parallèle et l'édition d'un livre blanc sur la fraude électorale qui a entaché la crédibilité des élections législatives du 10 mai dernier. C'est en résumé le résultat auquel a abouti l'initiative du groupe des 20 partis qui contestent le résultat des législatives du 10 mai dernier. Le front du refus monte au créneau. Un gouvernement d'union nationale. Un Parlement parallèle et l'édition d'un livre blanc sur la fraude électorale qui a entaché la crédibilité des élections législatives du 10 mai dernier. C'est en résumé le résultat auquel a abouti l'initiative du groupe des 20 partis qui contestent le résultat des législatives du 10 mai dernier. Ce qui était annoncé comme une grande initiative des partis qui contestent les résultats des élections législatives du 10 mai dernier, s'est révélé en fait une initiative de courte portée. Les poids lourds qui étaient pressentis pour tirer la locomotive se sont abstenus. Le FFS, le MSP et le PT, pour des raisons qui leurs sont propres ont fait défection. Il ne restait que des partis qui n'ont aucune «prise» sur le cours des choses à engager le bras de fer avec le pouvoir. Le FJD, le Front de l'Algérie nouvelle (FAN), le Front de l'entente nationale (FEN), le Parti de la liberté et de la justice (PLJ), le parti El-Fedjr el-Djadid, le Front national démocratique, le Front national algérien (FNA), le Mouvement El-Infitah, le Front du changement, le Parti de la justice et du manifeste, le Mouvement de la jeunesse démocratique (MJD), le Mouvement national pour la nature et le développement, le Mouvement des nationalistes libres et le Front de la bonne gouvernance ont décidé, hier, à l'issue d'une réunion qui a regroupé les chefs de ces partis au siège du Front pour la justice et le développement (FJD, dirigé par Abdallah Djaballah), d'un rejet des résultats des élections législatives du 10 mai dernier. Les dirigeants de ces 14 formations politiques, qui, toutes réunies, disposent de 28 sièges sur les 462 que compte l'Assemblée populaire nationale (APN), ne se sont pas décidés à s'arrêter à cette décision de protestation. D'autres initiatives sont inscrites sur leur agenda politique, selon Djamel Benabdessalam, président du Front national algérien (FAN), porte-parole de ce groupe. Il s'agit d'actions qui se veulent spectaculaires : Le boycott du nouveau Parlement élu et de créer un «front politique pour la sauvegarde de la démocratie». Ils ont, de ce fait, décidé de boycotter les travaux de la nouvelle APN qualifiée d'«illégitime» et de ne pas reconnaître le gouvernement issu de cette assemblée. Ils ont décidé également de créer un parlement parallèle composé d'autant de membres que celui qui entre en fonction soit, 462. Les membres de ce «Parlement seront puisés dans les listes des candidats à la députation issus de ces partis». Autre action que le groupe de «mécontents» entend mettre en œuvre. La mise sur pied d'«un gouvernement d'union nationale pour gérer la transition jusqu'au retour d'un parlement pluraliste et une démocratie réelle», confie Djamel Benabdessalam qui insiste sur «la responsabilité du président de la République et des autorités sur la fraude électorale». Enfin il a été décidé de publier un «livre blanc» sur la fraude. Ce qui était annoncé comme une grande initiative des partis qui contestent les résultats des élections législatives du 10 mai dernier, s'est révélé en fait une initiative de courte portée. Les poids lourds qui étaient pressentis pour tirer la locomotive se sont abstenus. Le FFS, le MSP et le PT, pour des raisons qui leurs sont propres ont fait défection. Il ne restait que des partis qui n'ont aucune «prise» sur le cours des choses à engager le bras de fer avec le pouvoir. Le FJD, le Front de l'Algérie nouvelle (FAN), le Front de l'entente nationale (FEN), le Parti de la liberté et de la justice (PLJ), le parti El-Fedjr el-Djadid, le Front national démocratique, le Front national algérien (FNA), le Mouvement El-Infitah, le Front du changement, le Parti de la justice et du manifeste, le Mouvement de la jeunesse démocratique (MJD), le Mouvement national pour la nature et le développement, le Mouvement des nationalistes libres et le Front de la bonne gouvernance ont décidé, hier, à l'issue d'une réunion qui a regroupé les chefs de ces partis au siège du Front pour la justice et le développement (FJD, dirigé par Abdallah Djaballah), d'un rejet des résultats des élections législatives du 10 mai dernier. Les dirigeants de ces 14 formations politiques, qui, toutes réunies, disposent de 28 sièges sur les 462 que compte l'Assemblée populaire nationale (APN), ne se sont pas décidés à s'arrêter à cette décision de protestation. D'autres initiatives sont inscrites sur leur agenda politique, selon Djamel Benabdessalam, président du Front national algérien (FAN), porte-parole de ce groupe. Il s'agit d'actions qui se veulent spectaculaires : Le boycott du nouveau Parlement élu et de créer un «front politique pour la sauvegarde de la démocratie». Ils ont, de ce fait, décidé de boycotter les travaux de la nouvelle APN qualifiée d'«illégitime» et de ne pas reconnaître le gouvernement issu de cette assemblée. Ils ont décidé également de créer un parlement parallèle composé d'autant de membres que celui qui entre en fonction soit, 462. Les membres de ce «Parlement seront puisés dans les listes des candidats à la députation issus de ces partis». Autre action que le groupe de «mécontents» entend mettre en œuvre. La mise sur pied d'«un gouvernement d'union nationale pour gérer la transition jusqu'au retour d'un parlement pluraliste et une démocratie réelle», confie Djamel Benabdessalam qui insiste sur «la responsabilité du président de la République et des autorités sur la fraude électorale». Enfin il a été décidé de publier un «livre blanc» sur la fraude.