L'énergie éolienne demeure la source énergétique renouvelable "la plus prometteuse" pour la production d'électricité, a estimé lundi à Chlef la directrice de l'Unité de Bou Ismaïl (Tipasa) de développement de l'énergie solaire (UDES), Mme Rachida Kasbadji Merzoug. "Disponible et moins chère que toutes les autres énergies renouvelables, l'énergie éolienne peut répondre aisément aux besoins des unités de dessalement de l'eau de mer, grandes consommatrices d'électricité", a-t-elle indiqué a l'APS en marge des travaux d'une conférence sur l'eau et l'énergie organisée à l'université Hassiba-Ben Bouali de Chlef. Néanmoins, la concrétisation de tels projets nécessite une "adaptation" de la législation en vigueur et un "travail collectif" qui impliquera tous les ministères en plus d'une présence accrue du secteur de la recherche, a-t-elle expliqué. La formation est l'autre volet sur lequel elle a insisté. Estimant que ce volet est "fondamental" dans la maîtrise des technologies des énergies renouvelables, Mme Kasbadji a fait observer que "tout programme quelle que soit sa nature ne pourra aboutir à défaut d'un personnel disposant d'une formation adéquate". Dans ce contexte, elle considère que l'introduction d'un module sur les énergies renouvelables au sein des établissements universitaires comme dans les établissements de la formation professionnelle est "nécessaire, voire impérative", dans la mesure où "les énergies renouvelables sont appelées à occuper une place prépondérante dans le développement", a-t-elle expliqué. L'énergie éolienne demeure la source énergétique renouvelable "la plus prometteuse" pour la production d'électricité, a estimé lundi à Chlef la directrice de l'Unité de Bou Ismaïl (Tipasa) de développement de l'énergie solaire (UDES), Mme Rachida Kasbadji Merzoug. "Disponible et moins chère que toutes les autres énergies renouvelables, l'énergie éolienne peut répondre aisément aux besoins des unités de dessalement de l'eau de mer, grandes consommatrices d'électricité", a-t-elle indiqué a l'APS en marge des travaux d'une conférence sur l'eau et l'énergie organisée à l'université Hassiba-Ben Bouali de Chlef. Néanmoins, la concrétisation de tels projets nécessite une "adaptation" de la législation en vigueur et un "travail collectif" qui impliquera tous les ministères en plus d'une présence accrue du secteur de la recherche, a-t-elle expliqué. La formation est l'autre volet sur lequel elle a insisté. Estimant que ce volet est "fondamental" dans la maîtrise des technologies des énergies renouvelables, Mme Kasbadji a fait observer que "tout programme quelle que soit sa nature ne pourra aboutir à défaut d'un personnel disposant d'une formation adéquate". Dans ce contexte, elle considère que l'introduction d'un module sur les énergies renouvelables au sein des établissements universitaires comme dans les établissements de la formation professionnelle est "nécessaire, voire impérative", dans la mesure où "les énergies renouvelables sont appelées à occuper une place prépondérante dans le développement", a-t-elle expliqué.