Les étudiants résidant à la Cité universitaire «Bakhti Abdelmadjid» de Tlemcen sont sous le choc depuis l'explosion de gaz survenue le vendredi en début de soirée, au niveau du restaurant universitaire de ladite cité. Cette explosion est un véritable désastre humain puisque 7 personnes ont trouvé la mort dont 6 étudiants et une femme âgée de 57 ans, employée au sein de la cité universitaire, ainsi que 38 blessés, dont 4 dans un état grave. Les étudiants résidant à la Cité universitaire «Bakhti Abdelmadjid» de Tlemcen sont sous le choc depuis l'explosion de gaz survenue le vendredi en début de soirée, au niveau du restaurant universitaire de ladite cité. Cette explosion est un véritable désastre humain puisque 7 personnes ont trouvé la mort dont 6 étudiants et une femme âgée de 57 ans, employée au sein de la cité universitaire, ainsi que 38 blessés, dont 4 dans un état grave. Situé au quartier Imama au chef-lieu de la wilaya, la Cité universitaire «Bakhti Abdelmadjid» de Tlemcen a connu une déflagration qui a causé des dégâts humains, 7 morts et 38 blessés dont 4 dans un état grave, selon un bilan transmis à l'APS par la direction locale de la Protection civile. Les victimes, tous des étudiants, dînaient tranquillement, lorsqu'ils ont été surpris par l'explosion. Une panique a envahi la cité universitaire avant que les secours ne puissent venir en aide aux victimes. Selon le directeur des œuvres universitaires de la wilaya de Tlemcen, Rezgui Abderrahmane et le directeur de la Protection civile, Malek Kessal : «L'explosion a eu lieu à 19 h 50 et c'est le gaz qui en est la cause». Il est évident que la fuite de gaz est la cause de cet «incident» mortel, mais d'après un site d'information, un groupe d'étudiants avaient déjà auparavant signalé au directeur de l'établissement cette fuite quinze jours avant le drame. Vu l'état lamentable des universités et des résidences d'étudiants dans notre pays, les autorités en charge ne peuvent évidement pas fuir leur responsabilités et prévoir qu'un jour un drame devait survenir un jour ou l'autre, en raison des négligences et de mauvaise gestion des établissements. Pourtant la sécurité est l'un des premiers droits de ces étudiants et cette explosion peut facilement être assimilée à une négligence. Selon l'APS, les victimes, 6 étudiants, sont originaires de Tizi Ouzou, Bouira, Béjaïa, et Médéa et une dame résidente à Tlemcen. Pour faire face à ce drame ayant touché la communauté estudiantine à la veille des examens de LMD et de synthèse, 90 agents et quatre médecins ont été mobilisés par la Protection civile pour secourir les blessés sur les lieux avant de les évacuer au service des urgences du CHU de Tlemcen "Tidjani Damerdji. Essayant de diminuer les souffrances des blessés, la directrice du CHU de Tlemcen a assuré à l'APS que «tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour assurer les soins aux blessés, tout en relevant l'élan de solidarité des citoyens qui se sont spontanément présentés à l'hôpital pour faire don de leur sang». Un appel a été lancé par les UMC du CHU Damerdji pour le don de sang 0-, A- et A+. Quant à la présence des représentants du gouvernement, assurant l'intérim du ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hachemi Djiar s'est rendu sur les lieux du drame dans la nuit de vendredi à samedi. La cité Bakhti, où les étudiants ont vécu la pire soirée de leur vie, hébergeait, deux ans auparavant les filles. Puis elle est devenue une résidence pour garçons. Ce changement de sexe n'a certainement pas empêché le drame d'avoir lieu. Avec cette explosion qui a coûté à la communauté universitaire et à l'élite algérienne des pertes innombrables et inestimables de ses étudiants, nous espérons que les pouvoirs en charge de l'éducation et de l'enseignement supérieur prendront en charge l'amélioration des conditions de vie de l'avenir du pays : les étudiants. Car à ce jour, les étudiants se plaignent des conditions désastreuses d'hébergement, avec notamment l'absence d'hygiène à l'intérieur et à l'extérieur des pavillons, de l'absence de chauffage, de l'humidité, des égouts à ciel ouvert et des odeurs nauséabondes, ainsi que l'état délabré des sanitaires, sans compter les problèmes liés au transport et à l'insécurité aux abords des résidences. Un lot quotidien qu'ils vivent pour arracher un diplôme et se trouver au chômage dit de «luxe». Situé au quartier Imama au chef-lieu de la wilaya, la Cité universitaire «Bakhti Abdelmadjid» de Tlemcen a connu une déflagration qui a causé des dégâts humains, 7 morts et 38 blessés dont 4 dans un état grave, selon un bilan transmis à l'APS par la direction locale de la Protection civile. Les victimes, tous des étudiants, dînaient tranquillement, lorsqu'ils ont été surpris par l'explosion. Une panique a envahi la cité universitaire avant que les secours ne puissent venir en aide aux victimes. Selon le directeur des œuvres universitaires de la wilaya de Tlemcen, Rezgui Abderrahmane et le directeur de la Protection civile, Malek Kessal : «L'explosion a eu lieu à 19 h 50 et c'est le gaz qui en est la cause». Il est évident que la fuite de gaz est la cause de cet «incident» mortel, mais d'après un site d'information, un groupe d'étudiants avaient déjà auparavant signalé au directeur de l'établissement cette fuite quinze jours avant le drame. Vu l'état lamentable des universités et des résidences d'étudiants dans notre pays, les autorités en charge ne peuvent évidement pas fuir leur responsabilités et prévoir qu'un jour un drame devait survenir un jour ou l'autre, en raison des négligences et de mauvaise gestion des établissements. Pourtant la sécurité est l'un des premiers droits de ces étudiants et cette explosion peut facilement être assimilée à une négligence. Selon l'APS, les victimes, 6 étudiants, sont originaires de Tizi Ouzou, Bouira, Béjaïa, et Médéa et une dame résidente à Tlemcen. Pour faire face à ce drame ayant touché la communauté estudiantine à la veille des examens de LMD et de synthèse, 90 agents et quatre médecins ont été mobilisés par la Protection civile pour secourir les blessés sur les lieux avant de les évacuer au service des urgences du CHU de Tlemcen "Tidjani Damerdji. Essayant de diminuer les souffrances des blessés, la directrice du CHU de Tlemcen a assuré à l'APS que «tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour assurer les soins aux blessés, tout en relevant l'élan de solidarité des citoyens qui se sont spontanément présentés à l'hôpital pour faire don de leur sang». Un appel a été lancé par les UMC du CHU Damerdji pour le don de sang 0-, A- et A+. Quant à la présence des représentants du gouvernement, assurant l'intérim du ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hachemi Djiar s'est rendu sur les lieux du drame dans la nuit de vendredi à samedi. La cité Bakhti, où les étudiants ont vécu la pire soirée de leur vie, hébergeait, deux ans auparavant les filles. Puis elle est devenue une résidence pour garçons. Ce changement de sexe n'a certainement pas empêché le drame d'avoir lieu. Avec cette explosion qui a coûté à la communauté universitaire et à l'élite algérienne des pertes innombrables et inestimables de ses étudiants, nous espérons que les pouvoirs en charge de l'éducation et de l'enseignement supérieur prendront en charge l'amélioration des conditions de vie de l'avenir du pays : les étudiants. Car à ce jour, les étudiants se plaignent des conditions désastreuses d'hébergement, avec notamment l'absence d'hygiène à l'intérieur et à l'extérieur des pavillons, de l'absence de chauffage, de l'humidité, des égouts à ciel ouvert et des odeurs nauséabondes, ainsi que l'état délabré des sanitaires, sans compter les problèmes liés au transport et à l'insécurité aux abords des résidences. Un lot quotidien qu'ils vivent pour arracher un diplôme et se trouver au chômage dit de «luxe».