Les étudiants de 2ème et 3ème années de l'Institut des hydrocarbures de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès protestent depuis avant-hier, devant le siège du rectorat de l'université, pour exprimer leur colère contre le durcissement des mesures de passage au Master du système LMD. Ils sont passés à l'action en passant la nuit, lundi dernier, devant le rectorat pour faire entendre leur cri et réclamer la suppression des mesures d'accès à l'année supérieure. Hier, des centaines d‘entre-eux ont observé un rassemblement devant l'établissement en question et plusieurs autres étudiants des autres spécialités se sont joints à ce mouvement de grève qui risque de perturber les examens de fin d'année. Selon des sources, la décision de durcissement des conditions de passage au Master est motivée par le manque de places pédagogiques. Mais les étudiants ne restent pas les bras croisés et réclament l'application de la réglementation stipulant qu'un étudiant ayant obtenu 180 de crédits aura la possibilité d'accéder au Master. Ils menacent d'inscrire leur mouvement dans la durée et menacent de recourir à d'autres formes de protestations afin de faire valoir leurs droits. Les étudiants de 2ème et 3ème années de l'Institut des hydrocarbures de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès protestent depuis avant-hier, devant le siège du rectorat de l'université, pour exprimer leur colère contre le durcissement des mesures de passage au Master du système LMD. Ils sont passés à l'action en passant la nuit, lundi dernier, devant le rectorat pour faire entendre leur cri et réclamer la suppression des mesures d'accès à l'année supérieure. Hier, des centaines d‘entre-eux ont observé un rassemblement devant l'établissement en question et plusieurs autres étudiants des autres spécialités se sont joints à ce mouvement de grève qui risque de perturber les examens de fin d'année. Selon des sources, la décision de durcissement des conditions de passage au Master est motivée par le manque de places pédagogiques. Mais les étudiants ne restent pas les bras croisés et réclament l'application de la réglementation stipulant qu'un étudiant ayant obtenu 180 de crédits aura la possibilité d'accéder au Master. Ils menacent d'inscrire leur mouvement dans la durée et menacent de recourir à d'autres formes de protestations afin de faire valoir leurs droits.