Les dirigeants européens vont tenter de convaincre Vladimir Poutine d'infléchir son soutien à Bachar al-Assad, alors que de violents combats se poursuivent dans le pays. Les dirigeants de l'Union européenne et le président russe, Vladimir Poutine, entament hier lundi ce sommet à Saint-Pétersbourg, au menu duquel devrait notamment être abordée la question syrienne. Outre la coopération énergétique, le président de l'UE, Herman Van Rompuy, et celui de la Commission européenne, José Manuel Barroso, comptent tenter à leur tour de convaincre Vladimir Poutine d'infléchir son soutien au président syrien Bachar al-Assad, et évoquer l'Iran. Le président russe est resté ferme sur ses positions lors de déplacements à Berlin et Paris vendredi, écartant de nouveau toute sanction de l'ONU contre le régime de Bachar al-Assad de même que le départ du dirigeant syrien. Poutine, Barroso et Van Rompuy se sont retrouvés dès dimanche soir à Saint-Pétersbourg pour de premiers entretiens lors d'un dîner informel. Hier matin de violents combats ont à nouveau éclaté à l'aube entre troupes du régime et rebelles dans la province syrienne d'Idleb, selon une ONG. Les affrontements ont eu lieu dans le district de Jabal al-Zawiya, au nord-ouest du pays, un bastion de la rébellion touché par des combats particulièrement violents. Des tanks, des lance-roquettes et des canons ont aussi bombardé plusieurs localités d'Idleb dans la nuit, a indiqué de son côté le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition rapporte Reuters. Bachar al-Assad, qui ne reconnaît pas l'ampleur de la contestation, a prévenu dimanche dernier dans un discours devant le Parlement qu'"il n'y aurait pas de compromis dans la lutte contre le terrorisme" et que la sécurité de la nation était une ligne rouge". Les dirigeants européens vont tenter de convaincre Vladimir Poutine d'infléchir son soutien à Bachar al-Assad, alors que de violents combats se poursuivent dans le pays. Les dirigeants de l'Union européenne et le président russe, Vladimir Poutine, entament hier lundi ce sommet à Saint-Pétersbourg, au menu duquel devrait notamment être abordée la question syrienne. Outre la coopération énergétique, le président de l'UE, Herman Van Rompuy, et celui de la Commission européenne, José Manuel Barroso, comptent tenter à leur tour de convaincre Vladimir Poutine d'infléchir son soutien au président syrien Bachar al-Assad, et évoquer l'Iran. Le président russe est resté ferme sur ses positions lors de déplacements à Berlin et Paris vendredi, écartant de nouveau toute sanction de l'ONU contre le régime de Bachar al-Assad de même que le départ du dirigeant syrien. Poutine, Barroso et Van Rompuy se sont retrouvés dès dimanche soir à Saint-Pétersbourg pour de premiers entretiens lors d'un dîner informel. Hier matin de violents combats ont à nouveau éclaté à l'aube entre troupes du régime et rebelles dans la province syrienne d'Idleb, selon une ONG. Les affrontements ont eu lieu dans le district de Jabal al-Zawiya, au nord-ouest du pays, un bastion de la rébellion touché par des combats particulièrement violents. Des tanks, des lance-roquettes et des canons ont aussi bombardé plusieurs localités d'Idleb dans la nuit, a indiqué de son côté le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition rapporte Reuters. Bachar al-Assad, qui ne reconnaît pas l'ampleur de la contestation, a prévenu dimanche dernier dans un discours devant le Parlement qu'"il n'y aurait pas de compromis dans la lutte contre le terrorisme" et que la sécurité de la nation était une ligne rouge".