Les élèves, qui ont passé l'épreuve d'éducation islamique pour le Brevet d'enseignement moyen session 2012, se sont plaint de la complexité du sujet et que celui-ci ne figurait pas au programme. La première réaction à chaud de la tutelle a été de préciser que le système de notation n'a pas été encore défini. Le soulagement n'aura été que de courte durée puisque le directeur de l'Office national des examens et concours (Onec), Ali Salhi, a tenu à souligner hier que le cours relatif à la question de l'épreuve d'éducation islamique du BEM session 2012, portant sur les versets de la sourate Foussilat "figurait bel et bien dans le programme scolaire et avait été dispensé par la plupart des établissements scolaires". Le directeur de l'Onec, dans une déclaration à la chaîne I de la Radio nationale, a confirmé que le cours concernant cette question était "effectivement" prévu dans le programme officiel de cette matière. Cette déclaration fait réponse aux contestations des élèves et des enseignants de 6 centres d'examen de 3 wilayas qui, eux, prétendent, à leur tour, que la sourate en question ne figure pas dans le programme de 4ème année moyenne. Le directeur de l'Onec invite élèves et enseignants à se référer aux pages 25 et 26 du livre scolaire et ajoute que le cours en question portant sur "El Istiqama" (la droiture) et que le verset coranique est cité intégralement à la page 4. M. Salhi a tenu à préciser que les enseignants et inspecteurs de l'enseignement ont bien confirmé que les "versets coraniques sont bien inscrits dans le programme et que le cours y afférent a été ou aurait dû être dispensé aux élèves". Reste à espérer que le barème de notation concernant cette épreuve ne pénalisera pas trop les élèves qui n'ont pas potassé les versets de la sourate Foussilat. La commission de préparation des examens risque d'être montrée du doigt. Les élèves, qui ont passé l'épreuve d'éducation islamique pour le Brevet d'enseignement moyen session 2012, se sont plaint de la complexité du sujet et que celui-ci ne figurait pas au programme. La première réaction à chaud de la tutelle a été de préciser que le système de notation n'a pas été encore défini. Le soulagement n'aura été que de courte durée puisque le directeur de l'Office national des examens et concours (Onec), Ali Salhi, a tenu à souligner hier que le cours relatif à la question de l'épreuve d'éducation islamique du BEM session 2012, portant sur les versets de la sourate Foussilat "figurait bel et bien dans le programme scolaire et avait été dispensé par la plupart des établissements scolaires". Le directeur de l'Onec, dans une déclaration à la chaîne I de la Radio nationale, a confirmé que le cours concernant cette question était "effectivement" prévu dans le programme officiel de cette matière. Cette déclaration fait réponse aux contestations des élèves et des enseignants de 6 centres d'examen de 3 wilayas qui, eux, prétendent, à leur tour, que la sourate en question ne figure pas dans le programme de 4ème année moyenne. Le directeur de l'Onec invite élèves et enseignants à se référer aux pages 25 et 26 du livre scolaire et ajoute que le cours en question portant sur "El Istiqama" (la droiture) et que le verset coranique est cité intégralement à la page 4. M. Salhi a tenu à préciser que les enseignants et inspecteurs de l'enseignement ont bien confirmé que les "versets coraniques sont bien inscrits dans le programme et que le cours y afférent a été ou aurait dû être dispensé aux élèves". Reste à espérer que le barème de notation concernant cette épreuve ne pénalisera pas trop les élèves qui n'ont pas potassé les versets de la sourate Foussilat. La commission de préparation des examens risque d'être montrée du doigt.