L'Espagne, vainqueur facilement de l'Irlande (4-0) est bien partie pour passer aux quarts de finale, alors que l'Italie, tenue en échec par la Croatie (1-1) n'est pas totalement maîtresse de son destin, après la deuxième journée du groupe C comptant pour l'Euro de football abrité conjointement par la Pologne et l'Ukraine. L'Espagne, vainqueur facilement de l'Irlande (4-0) est bien partie pour passer aux quarts de finale, alors que l'Italie, tenue en échec par la Croatie (1-1) n'est pas totalement maîtresse de son destin, après la deuxième journée du groupe C comptant pour l'Euro de football abrité conjointement par la Pologne et l'Ukraine. Jeudi soir, l'Espagne est définitivement entrée dans son Euro. Etrillant l'Irlande (4-0), les Espagnols reviennent à hauteur de la Croatie qu'ils affronteront lors de la dernière journée du premier tour. La première période voit les Espagnols mettre comme à leur habitude le pied sur le ballon. Mais à la différence du match contre l'Italie (1-1), Torres, titularisé cette fois, apporte de la profondeur au jeu offensif de la Furia Roja. Cela paie dès le début de la rencontre. Xavi lance Silva en profondeur. Le joueur de City se fait bien contrer par Dunne, mais Torres rode. Après un crochet, l'ancien joueur de l'Atlético Madrid fusille Given et inscrit son premier but de la compétition (1-0, 4e). Le reste de la première période ne va être qu'un attaque défense, où Torres à nouveau (8e), Arberloa (44e) et Iniesta (45+2) butent sur le portier d'Aston Villa. Les Irlandais défendent vaillamment leur cage, et ne rentrent aux vestiaires qu'avec un seul but contre eux. Un moindre mal au vu de la domination sans partage des joueurs de Del Bosque. La deuxième période débute comme la première. Et David Silva ne met que quatre minutes à aggraver la marque, suite à un petit slalom au cúur de la défense irlandaise (2-0, 49e). Torres revient à la 70e pour inscrire son deuxième but dans le match et le troisième pour son équipe. Et le score n'en reste pas là : Fabregas, entré en jeu quelques minutes auparavant, sur un corner intelligemment joué, trompe Given dans un angle presque fermé (4-0, 83e). Les champions du monde et d'Europe étaient en démonstration et s'affirment sans conteste comme favoris à leur propre succession. Quelques heures auparavant, l'Italie affrontait la Croatie à Poznan. La Squadra Azzura rate le coche et se met en danger avec un nouveau match nul (1-1). Les Italiens ont dominé les débats en première période, mais ils ont parfois manqué de précision dans leurs frappes. Si les Croates ont relevé la tête après 20 minutes de jeu, ils n'ont pas réussi à trouver la faille face à une sélection italienne jouant les coups à fond en attaque. Marchisio aurait même pu donner l'avantage aux siens sans une double parade de Pletikosa (37e). Dans la foulée, Pirlo ouvrait tout de même la marque avec sa patte droite sur un coup franc excentré à gauche à 25 mètres (1-0, 39e). Après la pause, la Croatie a eu un peu plus la maîtrise du ballon face à une formation italienne bien appliquée en défense et procédant en contre-attaque. Le travail finissait tout de même par payer pour les Croates qui réduisaient la marque par Mandzukevic (1-1, 72e). Le score en reste là, au grand dam des Italiens qui se compliquent la tâche de poursuivre leur aventure dans ce tournoi. Les Transalpins devront s'imposer face à l'Irlande pour arriver au total de 5 points, et espérer un vainqueur dans le choc entre l'Espagne et la Croatie. En cas de match nul, un score de 0-0 qualifierait les Transalpins ainsi que les Espagnols. Un 1-1 permettrait à l'Espagne de passer ainsi que l'Italie si jamais elle faisait mieux qu'une victoire 3-1 sur l'Irlande. En revanche, en raison de l'égalité à trois et des buts marqués dans les confrontations directes, un 2-2 (ou 3-3, 4-4 etcà) entre l'Espagne et la Croatie dans la dernière journée éliminerait automatiquement l'Italie, quel que soit son résultat face à l'Irlande. Jeudi soir, l'Espagne est définitivement entrée dans son Euro. Etrillant l'Irlande (4-0), les Espagnols reviennent à hauteur de la Croatie qu'ils affronteront lors de la dernière journée du premier tour. La première période voit les Espagnols mettre comme à leur habitude le pied sur le ballon. Mais à la différence du match contre l'Italie (1-1), Torres, titularisé cette fois, apporte de la profondeur au jeu offensif de la Furia Roja. Cela paie dès le début de la rencontre. Xavi lance Silva en profondeur. Le joueur de City se fait bien contrer par Dunne, mais Torres rode. Après un crochet, l'ancien joueur de l'Atlético Madrid fusille Given et inscrit son premier but de la compétition (1-0, 4e). Le reste de la première période ne va être qu'un attaque défense, où Torres à nouveau (8e), Arberloa (44e) et Iniesta (45+2) butent sur le portier d'Aston Villa. Les Irlandais défendent vaillamment leur cage, et ne rentrent aux vestiaires qu'avec un seul but contre eux. Un moindre mal au vu de la domination sans partage des joueurs de Del Bosque. La deuxième période débute comme la première. Et David Silva ne met que quatre minutes à aggraver la marque, suite à un petit slalom au cúur de la défense irlandaise (2-0, 49e). Torres revient à la 70e pour inscrire son deuxième but dans le match et le troisième pour son équipe. Et le score n'en reste pas là : Fabregas, entré en jeu quelques minutes auparavant, sur un corner intelligemment joué, trompe Given dans un angle presque fermé (4-0, 83e). Les champions du monde et d'Europe étaient en démonstration et s'affirment sans conteste comme favoris à leur propre succession. Quelques heures auparavant, l'Italie affrontait la Croatie à Poznan. La Squadra Azzura rate le coche et se met en danger avec un nouveau match nul (1-1). Les Italiens ont dominé les débats en première période, mais ils ont parfois manqué de précision dans leurs frappes. Si les Croates ont relevé la tête après 20 minutes de jeu, ils n'ont pas réussi à trouver la faille face à une sélection italienne jouant les coups à fond en attaque. Marchisio aurait même pu donner l'avantage aux siens sans une double parade de Pletikosa (37e). Dans la foulée, Pirlo ouvrait tout de même la marque avec sa patte droite sur un coup franc excentré à gauche à 25 mètres (1-0, 39e). Après la pause, la Croatie a eu un peu plus la maîtrise du ballon face à une formation italienne bien appliquée en défense et procédant en contre-attaque. Le travail finissait tout de même par payer pour les Croates qui réduisaient la marque par Mandzukevic (1-1, 72e). Le score en reste là, au grand dam des Italiens qui se compliquent la tâche de poursuivre leur aventure dans ce tournoi. Les Transalpins devront s'imposer face à l'Irlande pour arriver au total de 5 points, et espérer un vainqueur dans le choc entre l'Espagne et la Croatie. En cas de match nul, un score de 0-0 qualifierait les Transalpins ainsi que les Espagnols. Un 1-1 permettrait à l'Espagne de passer ainsi que l'Italie si jamais elle faisait mieux qu'une victoire 3-1 sur l'Irlande. En revanche, en raison de l'égalité à trois et des buts marqués dans les confrontations directes, un 2-2 (ou 3-3, 4-4 etcà) entre l'Espagne et la Croatie dans la dernière journée éliminerait automatiquement l'Italie, quel que soit son résultat face à l'Irlande.
