La période des examens est passée. C'est l'heure des bilans. Comme il est de tradition, c'est l'examen de fin de cycle du primaire qui ouvre le bal. La période des examens est passée. C'est l'heure des bilans. Comme il est de tradition, c'est l'examen de fin de cycle du primaire qui ouvre le bal. «Le taux de réussite à l'examen de fin de cycle primaire, session mai 2012, a atteint 76% à l'échelle nationale, soit 452 388 d'admis sur un total de 595.281 inscrits à l'examen », a annoncé hier au cours d'une conférence de presse à Alger Brahim Abassi, directeur des enseignements primaire et secondaire au ministère de l'Education nationale. Il est en recul de 2,46% par rapport à la session de 2011. Selon ce responsable, la différence enregistrée entre la session 2012 et 2011 « ne signifie pas un recul dans les résultats de l'examen de fin de cycle primaire car l'essentiel » a-t-il souligné, « réside dans l'aspect qualitatif des résultats », mettant en exergue le taux d'admis avec mention qui est de 79,30%. Les candidats reçus à l'examen passeront automatiquement en 1ère année moyenne. Ce qu'il faut savoir, a-t-il précise, c'est qu'il y a les reçus à l'examen et les admis en 1ère année moyenne. Ceux qui n'ont pas été reçus à l'examen ont été admis en 1ère année moyenne. L'admission en 1ère année moyenne tient compte de la moyenne générale annuelle du contrôle continu pour les candidats non admis à l'examen. Ils sont 84.437 élèves admis en 1ère AM grâce au contrôle continu ce qui représente un taux de 14,18%. Une deuxième session est prévue pour les recalés de l'examen et du contrôle continu. Elle aura lieu le 26 juin 2012. Elle concerne 62.216 candidats. Auparavant du 17 au 25 juin, les candidats bénéficieront de cours de soutien et de rattrapage pour affronter les épreuves de l'examen. Trois matières : arabe, mathématiques et français sont au menu de l'examen de fin du cycle du primaire qui n'est pas un « obstacle qui entrave le parcours scolaire de l'élève », a soutenu Brahim Abassi qui insiste sur le fait que l'examen est un moyen pour avoir des données fiables sur l'assimilation des cours par l'élève et vérifier que l'élève a acquis des pré- requis dans la poursuite du cursus scolaire. Pour les amateurs de statistiques, il est à noter que les filles réussissent mieux que les garçons. Le taux de réussite pour les filles est de 78,94% alors que celui des garçons est de 73,25%, ce qui donne un taux de réussite par rapport à l'effectif global de 50,08% pour les filles et 49,92% pour les garçons. 24.447 candidats ont été reçus avec la mention « excellent » 90.894 se sont vus attribuer la mention « très bien » et 85 candidats ont eu une note « pleine » c'est-à-dire 10/10 en recul de 12 candidats par rapport à 2011 où ils étaient 93. Le directeur des enseignements primaire et secondaire a déclaré que les corrections de l'examen de fin du cycle primaire se font comme le mode opératoire pour le BEM ou le Bac. Elles se font dans des centres de regroupement, les correcteurs venant des autres wilayas que ceux dans lesquelles ils exercent, ceci pour « éviter » tout dérapage et donner plus de crédibilité à cet examen. Il faut savoir que le coût de cet examen est de 760 millions DA soit 16% du coût global, 47.500.000, 00 DA, des trois paliers. Pour cette session, le classement ne s'est pas fait par wilaya, explique Brahim Abassi qui estime que cet examen n'est pas « une compétition ». On s'intéresse plus à l'établissement qu'à la wilaya, a-t-il fait savoir insistant sur « l'évaluation critériée en objectifs » en termes de progrès pour les établissements et pour les wilayas, avant de s'étaler longuement sur la réforme de l'Enseignement, sur le soutien à la scolarité et le rôle positif que jouent les parents dans l'accompagnement de leurs enfants scolarisés. «Le taux de réussite à l'examen de fin de cycle primaire, session mai 2012, a atteint 76% à l'échelle nationale, soit 452 388 d'admis sur un total de 595.281 inscrits à l'examen », a annoncé hier au cours d'une conférence de presse à Alger Brahim Abassi, directeur des enseignements primaire et secondaire au ministère de l'Education nationale. Il est en recul de 2,46% par rapport à la session de 2011. Selon ce responsable, la différence enregistrée entre la session 2012 et 2011 « ne signifie pas un recul dans les résultats de l'examen de fin de cycle primaire car l'essentiel » a-t-il souligné, « réside dans l'aspect qualitatif des résultats », mettant en exergue le taux d'admis avec mention qui est de 79,30%. Les candidats reçus à l'examen passeront automatiquement en 1ère année moyenne. Ce qu'il faut savoir, a-t-il précise, c'est qu'il y a les reçus à l'examen et les admis en 1ère année moyenne. Ceux qui n'ont pas été reçus à l'examen ont été admis en 1ère année moyenne. L'admission en 1ère année moyenne tient compte de la moyenne générale annuelle du contrôle continu pour les candidats non admis à l'examen. Ils sont 84.437 élèves admis en 1ère AM grâce au contrôle continu ce qui représente un taux de 14,18%. Une deuxième session est prévue pour les recalés de l'examen et du contrôle continu. Elle aura lieu le 26 juin 2012. Elle concerne 62.216 candidats. Auparavant du 17 au 25 juin, les candidats bénéficieront de cours de soutien et de rattrapage pour affronter les épreuves de l'examen. Trois matières : arabe, mathématiques et français sont au menu de l'examen de fin du cycle du primaire qui n'est pas un « obstacle qui entrave le parcours scolaire de l'élève », a soutenu Brahim Abassi qui insiste sur le fait que l'examen est un moyen pour avoir des données fiables sur l'assimilation des cours par l'élève et vérifier que l'élève a acquis des pré- requis dans la poursuite du cursus scolaire. Pour les amateurs de statistiques, il est à noter que les filles réussissent mieux que les garçons. Le taux de réussite pour les filles est de 78,94% alors que celui des garçons est de 73,25%, ce qui donne un taux de réussite par rapport à l'effectif global de 50,08% pour les filles et 49,92% pour les garçons. 24.447 candidats ont été reçus avec la mention « excellent » 90.894 se sont vus attribuer la mention « très bien » et 85 candidats ont eu une note « pleine » c'est-à-dire 10/10 en recul de 12 candidats par rapport à 2011 où ils étaient 93. Le directeur des enseignements primaire et secondaire a déclaré que les corrections de l'examen de fin du cycle primaire se font comme le mode opératoire pour le BEM ou le Bac. Elles se font dans des centres de regroupement, les correcteurs venant des autres wilayas que ceux dans lesquelles ils exercent, ceci pour « éviter » tout dérapage et donner plus de crédibilité à cet examen. Il faut savoir que le coût de cet examen est de 760 millions DA soit 16% du coût global, 47.500.000, 00 DA, des trois paliers. Pour cette session, le classement ne s'est pas fait par wilaya, explique Brahim Abassi qui estime que cet examen n'est pas « une compétition ». On s'intéresse plus à l'établissement qu'à la wilaya, a-t-il fait savoir insistant sur « l'évaluation critériée en objectifs » en termes de progrès pour les établissements et pour les wilayas, avant de s'étaler longuement sur la réforme de l'Enseignement, sur le soutien à la scolarité et le rôle positif que jouent les parents dans l'accompagnement de leurs enfants scolarisés.