Le congrès ordinaire du Front nationale algérien (FNA) se tiendra le 21 juin prochain, a affirmé son président. M. Moussa Touati, qui a animé une conférence de presse au siège de son parti, hier à Alger, a déclaré que le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales n'a toujours pas donné suite à la demande d'autorisation de son parti. Cette demande, a-t-il dit, a été déposé en date du 3 juin dernier. « Nous n'avons toujours pas reçu la réponse du ministère de l'Intérieur mais nous prenons ce silence pour un consentement », a dit M. Touati, avant d'ajouter que « je ne mets pas en doute la parole du ministre de l'Intérieur s'agissant de cette question car nous avons le droit de tenir ce congrès et les autorités ne peuvent pas nous y empêcher eu égard à nos statuts ». Selon Moussa Touati, les militants au nombre de deux milles (2.000) prendront part à ce congrès dont l'objectif est de revoir les statuts et y apporter des modifications, notamment en remplissant les vides qui, a-t-il expliqué, ont permis à certaines personnes de se révolter contre le parti. Lors de cette conférence, le président du FNA a tenu à apporter certaines clarifications sur certains points, qui a-t-il dit, ont mal été interprété par les journaux algériens. Il s'agit, entre autre, des personnes qui composent le mouvement de fronde qu'il a tenu à pointer du doigt. Il dira, à ce propos, que ces mêmes personnes à l'origine de cette « insurrection » sont ceux qui n'ont jamais payé leur cotisations. Il a, par ailleurs, évoqué la rencontre qu'ont tenue ses opposants (des députés et des membres du bureau national) à Djelfa dernièrement, en précisant qu'ils étaient seulement 180 personnes contrairement aux chiffres annoncés par certaines publications de la presse nationale. Dans le Conseil national, a-t-il ajouté, il reste 117 membres, dont 11 seulement ont réglé leurs cotisations. M. Touati a tenu à mettre en exergue le fait que ses opposants ne défendent que leurs propres intérêts. « Ils ne veulent que défendre leurs intérêts », a-t-il lancé. Rappelons les détracteurs au sein du FNA veulent reprendre les rênes du parti et demandent à M. Touati de restituer les fonds versés par les candidats dans le cadre des élections législatives du 10 mai dernier. Le congrès ordinaire du Front nationale algérien (FNA) se tiendra le 21 juin prochain, a affirmé son président. M. Moussa Touati, qui a animé une conférence de presse au siège de son parti, hier à Alger, a déclaré que le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales n'a toujours pas donné suite à la demande d'autorisation de son parti. Cette demande, a-t-il dit, a été déposé en date du 3 juin dernier. « Nous n'avons toujours pas reçu la réponse du ministère de l'Intérieur mais nous prenons ce silence pour un consentement », a dit M. Touati, avant d'ajouter que « je ne mets pas en doute la parole du ministre de l'Intérieur s'agissant de cette question car nous avons le droit de tenir ce congrès et les autorités ne peuvent pas nous y empêcher eu égard à nos statuts ». Selon Moussa Touati, les militants au nombre de deux milles (2.000) prendront part à ce congrès dont l'objectif est de revoir les statuts et y apporter des modifications, notamment en remplissant les vides qui, a-t-il expliqué, ont permis à certaines personnes de se révolter contre le parti. Lors de cette conférence, le président du FNA a tenu à apporter certaines clarifications sur certains points, qui a-t-il dit, ont mal été interprété par les journaux algériens. Il s'agit, entre autre, des personnes qui composent le mouvement de fronde qu'il a tenu à pointer du doigt. Il dira, à ce propos, que ces mêmes personnes à l'origine de cette « insurrection » sont ceux qui n'ont jamais payé leur cotisations. Il a, par ailleurs, évoqué la rencontre qu'ont tenue ses opposants (des députés et des membres du bureau national) à Djelfa dernièrement, en précisant qu'ils étaient seulement 180 personnes contrairement aux chiffres annoncés par certaines publications de la presse nationale. Dans le Conseil national, a-t-il ajouté, il reste 117 membres, dont 11 seulement ont réglé leurs cotisations. M. Touati a tenu à mettre en exergue le fait que ses opposants ne défendent que leurs propres intérêts. « Ils ne veulent que défendre leurs intérêts », a-t-il lancé. Rappelons les détracteurs au sein du FNA veulent reprendre les rênes du parti et demandent à M. Touati de restituer les fonds versés par les candidats dans le cadre des élections législatives du 10 mai dernier.