Un important groupe terroriste, dont le nombre est toujours inconnu, est actuellement encerclé au centre-ville de Boufarik, d'où des tirs nourris ont été entendus durant la nuit d'avant-hier, apprend-on de sources sûres. Un important groupe terroriste, dont le nombre est toujours inconnu, est actuellement encerclé au centre-ville de Boufarik, d'où des tirs nourris ont été entendus durant la nuit d'avant-hier, apprend-on de sources sûres. Les terroristes seraient cachés dans une casemate située en plein centre de Boufarik, là où il y a trois ans, un autre groupe s'était réfugié dans cette "grotte" avant d'être anéanti. Boufarik, l'ex-fief de l'ex-émir national du GIA, Antar Zouabri, abattu en février 2002, est toujours pris pour cible par des terroristes salafistes. Selon nos sources, le groupe terroriste en question a fait preuve d'une résistance farouche, ce qui présume que les terroristes encerclés sont fortement armés. Les habitants de Boufarik ont vécu, deux jours de suite et surtout la nuit d'avant-hier, des moments chauds. Des tirs nourris ont déchiré le silence de la nuit, cela a créé une véritable panique chez la population locale. Une panique qui nous renvoie à la décennie noire, où les Boufarikois se souviennent toujours des tragiques moments vécus. Ainsi, trois hélicoptères ont été appelés en renfort pour quadriller le dispositif sécuritaire tout en soutenant les forces de sécurité. Ces trois hélicos ont survolé la commune de Boufarik à la recherche des terroristes qui tentaient de prendre la fuite en tirant, de temps à autre, contre les forces de sécurité. Ces tirs faisaient aussitôt face aux ripostes des forces de l'ordre. Selon toujours les informations qui nous sont parvenues, les terroristes encerclés seraient envoyés par l'émir national de l'ex-GSPC pour relancer la sinistre machine des attentats terroristes. Pour y parvenir, les terroristes n'ont pas trouvé mieux que d'occuper une nouvelle fois, le vieux refuge, la casemate située en plein centre de Boufarik. C'était le cas il y a trois ans, lorsqu'un groupe terroriste, composé de quatre éléments dont deux femmes, avait trouvé refuge dans cette casemate. Toutefois, les quatre terroristes avaient fini par tomber dans les filets des forces de l'ordre, des ceintures bourrées de TNT ainsi qu'un lot d'armes automatiques avaient été saisis lors de cette opération. Trois ans après, les terroristes ont pensé que cette fois-ci serait la bonne en réinvestissant la casemate. Encore une fois, ils ont eu tort, car ils ont fini par être repérés par les forces de l'ordre. On croit savoir que leur localisation s'est faite suite à l'élimination, il y a près d'une semaine, d'un dangereux terroriste à la Mitidja, qui n'est autre que l'émir de Blida. Suite à ce coup de filet, les services de sécurité ont découvert des documents importants mentionnant la casemate en question. C'est à partir de là qu'une grande opération a été lancée pour encercler ladite casemate. À l'heure actuelle, les terroristes sont toujours encerclés à Boufarik. Selon les informations que nous avons pu récolter jusqu'à présent, deux terroristes auraient été capturés, alors que deux véhicules bourrés d'armes, abandonnés par les terroristes, ont été récupérés. L'émir national de l'ex-GSPC, Al Qaïda aujourd'hui, en l'occurrence Droukdel, tient à relancer l'activité terroriste dans la Mitidja, cela à l'approche du Ramadhan, période privilégiée par les fous de Dieu pour commettre leurs sinistres desseins. A l'heure où nous mettons sous presse, nous apprenons que les terroristes encerclés font preuve d'une résistance solide. Les armes leur permettant de résister à l'assaut des forces de sécurité peuvent avoir été introduites de Libye. Par ailleurs, il est important de rappeler que durant la nuit de mardi à mercredi, douze terroristes ont été abattus dans la région de Takhoukhth. Selon des sources sécuritaires, l'opération s'est déroulée à 21h quand un important groupe armé se préparait à attaquer le cantonnement militaire de Takhoukhth, situé à 25 km du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Les services de sécurité, au terme d'un violent combat, ont neutralisé ces sanguinaires qui ont semé la terreur dans la région des Ouacifs. L'un des groupes armés a été encerclé, suivi d'un accrochage de plusieurs heures avant que les éléments de l'Armée nationale populaire ne donnent l'assaut final aux environs de 2h du matin. Bilan : 12 terroristes éliminés et un lot d'armes à feu et d'armes blanches récupéré. Selon la même source, les corps des terroristes ont été transférés à Tizi-Ouzou pour identification. Ainsi, les opérations anti-terroristes battent leur plein cela à moins d'un mois, seulement, du mois sacré. Des opérations qui expliquent l'anticipation des forces de l'ordre à frapper la bête avant que celle-ci ne frappe à son tour et comme à son accoutumée en prenant le mois du Ramadhan comme une référence pour son activité. Les terroristes seraient cachés dans une casemate située en plein centre de Boufarik, là où il y a trois ans, un autre groupe s'était réfugié dans cette "grotte" avant d'être anéanti. Boufarik, l'ex-fief de l'ex-émir national du GIA, Antar Zouabri, abattu en février 2002, est toujours pris pour cible par des terroristes salafistes. Selon nos sources, le groupe terroriste en question a fait preuve d'une résistance farouche, ce qui présume que les terroristes encerclés sont fortement armés. Les habitants de Boufarik ont vécu, deux jours de suite et surtout la nuit d'avant-hier, des moments chauds. Des tirs nourris ont déchiré le silence de la nuit, cela a créé une véritable panique chez la population locale. Une panique qui nous renvoie à la décennie noire, où les Boufarikois se souviennent toujours des tragiques moments vécus. Ainsi, trois hélicoptères ont été appelés en renfort pour quadriller le dispositif sécuritaire tout en soutenant les forces de sécurité. Ces trois hélicos ont survolé la commune de Boufarik à la recherche des terroristes qui tentaient de prendre la fuite en tirant, de temps à autre, contre les forces de sécurité. Ces tirs faisaient aussitôt face aux ripostes des forces de l'ordre. Selon toujours les informations qui nous sont parvenues, les terroristes encerclés seraient envoyés par l'émir national de l'ex-GSPC pour relancer la sinistre machine des attentats terroristes. Pour y parvenir, les terroristes n'ont pas trouvé mieux que d'occuper une nouvelle fois, le vieux refuge, la casemate située en plein centre de Boufarik. C'était le cas il y a trois ans, lorsqu'un groupe terroriste, composé de quatre éléments dont deux femmes, avait trouvé refuge dans cette casemate. Toutefois, les quatre terroristes avaient fini par tomber dans les filets des forces de l'ordre, des ceintures bourrées de TNT ainsi qu'un lot d'armes automatiques avaient été saisis lors de cette opération. Trois ans après, les terroristes ont pensé que cette fois-ci serait la bonne en réinvestissant la casemate. Encore une fois, ils ont eu tort, car ils ont fini par être repérés par les forces de l'ordre. On croit savoir que leur localisation s'est faite suite à l'élimination, il y a près d'une semaine, d'un dangereux terroriste à la Mitidja, qui n'est autre que l'émir de Blida. Suite à ce coup de filet, les services de sécurité ont découvert des documents importants mentionnant la casemate en question. C'est à partir de là qu'une grande opération a été lancée pour encercler ladite casemate. À l'heure actuelle, les terroristes sont toujours encerclés à Boufarik. Selon les informations que nous avons pu récolter jusqu'à présent, deux terroristes auraient été capturés, alors que deux véhicules bourrés d'armes, abandonnés par les terroristes, ont été récupérés. L'émir national de l'ex-GSPC, Al Qaïda aujourd'hui, en l'occurrence Droukdel, tient à relancer l'activité terroriste dans la Mitidja, cela à l'approche du Ramadhan, période privilégiée par les fous de Dieu pour commettre leurs sinistres desseins. A l'heure où nous mettons sous presse, nous apprenons que les terroristes encerclés font preuve d'une résistance solide. Les armes leur permettant de résister à l'assaut des forces de sécurité peuvent avoir été introduites de Libye. Par ailleurs, il est important de rappeler que durant la nuit de mardi à mercredi, douze terroristes ont été abattus dans la région de Takhoukhth. Selon des sources sécuritaires, l'opération s'est déroulée à 21h quand un important groupe armé se préparait à attaquer le cantonnement militaire de Takhoukhth, situé à 25 km du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Les services de sécurité, au terme d'un violent combat, ont neutralisé ces sanguinaires qui ont semé la terreur dans la région des Ouacifs. L'un des groupes armés a été encerclé, suivi d'un accrochage de plusieurs heures avant que les éléments de l'Armée nationale populaire ne donnent l'assaut final aux environs de 2h du matin. Bilan : 12 terroristes éliminés et un lot d'armes à feu et d'armes blanches récupéré. Selon la même source, les corps des terroristes ont été transférés à Tizi-Ouzou pour identification. Ainsi, les opérations anti-terroristes battent leur plein cela à moins d'un mois, seulement, du mois sacré. Des opérations qui expliquent l'anticipation des forces de l'ordre à frapper la bête avant que celle-ci ne frappe à son tour et comme à son accoutumée en prenant le mois du Ramadhan comme une référence pour son activité.