Voyager par voie maritime est devenu un véritable calvaire pour les passagers avec une attente interminable en arrivant aux ports d'Algérie. Une galère qui devient de plus en plus perceptible durant l'été, où le record est atteint avec l'arrivée en masse des émigrés algériens établis à l'étranger, surtout ces dernières années où le mois de Ramadhan coïncide avec la saison estivale. Mais pour remédier à ces désagréments, le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah, a annoncé avant-hier qu'au lieu de 7 à 8 heures, le temps de traitement global d'un passager au niveau de l'ensemble des ports d'Algérie a été fixé à 3 heures maximum. Voyager par voie maritime est devenu un véritable calvaire pour les passagers avec une attente interminable en arrivant aux ports d'Algérie. Une galère qui devient de plus en plus perceptible durant l'été, où le record est atteint avec l'arrivée en masse des émigrés algériens établis à l'étranger, surtout ces dernières années où le mois de Ramadhan coïncide avec la saison estivale. Mais pour remédier à ces désagréments, le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah, a annoncé avant-hier qu'au lieu de 7 à 8 heures, le temps de traitement global d'un passager au niveau de l'ensemble des ports d'Algérie a été fixé à 3 heures maximum. Pour arriver à ce genre de résultat, les différents ports d'Algérie avaient d'ores et déjà déployé, par le passé, toutes leurs capacités pour faire face à l'augmentation du nombre de voyageurs qui visitent l'Algérie durant cette saison (juin, juillet et août). Le souhait de Halim Benatallah est d'arriver à «uniformiser le temps de traitement global des passagers». Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a trouvé que ce temps de traitement était différent d'un port à l'autre, soit oscillant entre 2 heures 30 et 8 heures, le trouvant «anormal», alors que les conditions sont semblables : même bateau, même escale et le même nombre de passagers et de véhicules. Reste que les déclarations Halim Benatallah, lors de la réunion du comité national de facilitation de l'accueil des Algériens établis à l'étranger, sont choquantes, lorsqu'il évoque le vol et les agressions que subissent quelques passagers au sein des aéroports. Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a indiqué que «les vols de bagages au niveau de l'aéroport d'Alger se déroulent au vu et au su de tout le monde». Une déclaration qui interpelle les différents services concernés par le traitement des bagages mais surtout les services de sécurité chargés du bien-être des voyageurs. Halim Benatallah annonce que pour remédier à ces pratiques «des mesures particulières vont être prises cette année pour mettre définitivement un terme au phénomène du vol de bagages et d'objets appartenant aux passagers notamment au niveau de l'aéroport d'Alger». «Excessif» et «surréaliste», c'est ainsi qu'à qualifié M. Benatallah, la durée du traitement d'un passager, qui d'après lui est la première cause à engendrer des conséquences négatives pour l'Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV). Ajoutant que «selon les statistiques, en dehors des problèmes purement structurels de la compagnie maritime, l'Entreprise nationale a enregistré une baisse de trafic de passagers depuis 2 à 3 ans». Il a notamment affirmé que la baisse du trafic est liée à la crainte de nos compatriotes de prendre le bateau en raison du temps de traitement de 7 à 8 heures. Soulignant par la même occasion que «la compagnie commence à en payer le prix. Car il y a une conséquence directe entre la baisse du trafic de voyageurs et le temps de traitement par passager». Baisser les prix, d'après M. Halim Benatallah, n'est pas envisageable car «la compagnie, mise en difficulté, ne peut, en aucun cas recourir à cela en raison des risques de tomber en faillite comme ce fût le cas de compagnies dans des pays voisins». Enfin, durant cette réunion, M. Benatallah a informé qu'un guide «conseils et infos» est d'ores et déjà mis à la disposition des membres de la communauté nationale à l'étranger au niveau des consulats, ports et aéroports. Pour arriver à ce genre de résultat, les différents ports d'Algérie avaient d'ores et déjà déployé, par le passé, toutes leurs capacités pour faire face à l'augmentation du nombre de voyageurs qui visitent l'Algérie durant cette saison (juin, juillet et août). Le souhait de Halim Benatallah est d'arriver à «uniformiser le temps de traitement global des passagers». Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a trouvé que ce temps de traitement était différent d'un port à l'autre, soit oscillant entre 2 heures 30 et 8 heures, le trouvant «anormal», alors que les conditions sont semblables : même bateau, même escale et le même nombre de passagers et de véhicules. Reste que les déclarations Halim Benatallah, lors de la réunion du comité national de facilitation de l'accueil des Algériens établis à l'étranger, sont choquantes, lorsqu'il évoque le vol et les agressions que subissent quelques passagers au sein des aéroports. Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger a indiqué que «les vols de bagages au niveau de l'aéroport d'Alger se déroulent au vu et au su de tout le monde». Une déclaration qui interpelle les différents services concernés par le traitement des bagages mais surtout les services de sécurité chargés du bien-être des voyageurs. Halim Benatallah annonce que pour remédier à ces pratiques «des mesures particulières vont être prises cette année pour mettre définitivement un terme au phénomène du vol de bagages et d'objets appartenant aux passagers notamment au niveau de l'aéroport d'Alger». «Excessif» et «surréaliste», c'est ainsi qu'à qualifié M. Benatallah, la durée du traitement d'un passager, qui d'après lui est la première cause à engendrer des conséquences négatives pour l'Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV). Ajoutant que «selon les statistiques, en dehors des problèmes purement structurels de la compagnie maritime, l'Entreprise nationale a enregistré une baisse de trafic de passagers depuis 2 à 3 ans». Il a notamment affirmé que la baisse du trafic est liée à la crainte de nos compatriotes de prendre le bateau en raison du temps de traitement de 7 à 8 heures. Soulignant par la même occasion que «la compagnie commence à en payer le prix. Car il y a une conséquence directe entre la baisse du trafic de voyageurs et le temps de traitement par passager». Baisser les prix, d'après M. Halim Benatallah, n'est pas envisageable car «la compagnie, mise en difficulté, ne peut, en aucun cas recourir à cela en raison des risques de tomber en faillite comme ce fût le cas de compagnies dans des pays voisins». Enfin, durant cette réunion, M. Benatallah a informé qu'un guide «conseils et infos» est d'ores et déjà mis à la disposition des membres de la communauté nationale à l'étranger au niveau des consulats, ports et aéroports.