Le management moderne d'entreprise, l'esprit d'innovation et l'entreprenariat social seront au centre des discussions lors des deux conférences qui seront animées par AHK et CARE dans l'optique d'inculquer une culture de la performance et de la rentabilité au sein de l'entreprise algérienne. Le management moderne d'entreprise, l'esprit d'innovation et l'entreprenariat social seront au centre des discussions lors des deux conférences qui seront animées par AHK et CARE dans l'optique d'inculquer une culture de la performance et de la rentabilité au sein de l'entreprise algérienne. La Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie (AHK Algérie) et la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté (FNF) organisent, aujourd'hui, au niveau de son siège, une nouvelle session de leur Club des Journalistes sous le thème «L'entreprenariat social : défis et perspectives pour l'Algérie». Le conférencier, Tarik Ghezali, ingénieur de formation (Centrale de Paris) active dans le conseil en management puis dans l'accompagnement des start-up, avant de s'investir en France dans le développement de l'économe solidaire. «L'entreprenariat social est un mouvement de fond international, en plein essor. Partout dans le monde, des dizaines de milliers d'entrepreneurs sociaux démontrent au quotidien qu'il est possible de réconcilier efficacité économique et utilité sociale, sens et performance», affirme cet ancien délégué général du mouvement des entrepreneurs sociaux qui activent notamment en France. Tarik Ghezali, né à Alger en 1977, est co-auteur de Démocratiser l'économie, publié chez l'éditeur Grasset en 2010. Et il se consacre désormais à des projets d'entreprenariat responsable, liés à l'Algérie et à la Méditerranée. Cet expert algérien qui vit entre les deux rives de la Méditerranée considère que ce mouvement est plus que jamais d'actualité, au moment où les crises financières, sociales et écologiques imposent, dit-il, de «réinventer notre vision du marché, de l'Etat et de l'intérêt général». L'entreprenariat social ouvre, selon lui, une voie nouvelle, celle d'un «new deal» entre pouvoirs publics, entreprises et citoyens pour mieux répondre aux défis de la société. Lors de cette conférence, l'auteur de l'essai, Un rêve algérien, Chronique d'un changement attendu, qui vient d'être publié récemment chez les éditions de l'Aube, va s'interroger sur un certain nombre de questions comme, notamment : quelles sont les spécificités de l'entreprenariat social ? Ses atouts, ses défis, ses perspectives de développement ? Cette autre façon d'entreprendre est-elle pertinente pour l'Algérie ? Quelles priorités pour les entreprises sociales qui activent en Algérie, comme entre autres, la création d'emplois pour les jeunes, les femmes, le recyclage des déchets, le tourisme éco solidaire, les coopératives et le commerce bio et équitable. Quels enseignements des expériences internationales capitalisées en Algérie pour développer ces initiatives ? Tous ces questionnements d'intérêt capital pour l'économie nationale ne manqueront pas de déboucher sur des initiatives claires pour répondre aux enjeux économiques par des projets sociaux conciliant la logique économique avec la logique sociale qui ne sont plus antinomiques, selon Tarik Ghezali qui s'intéresse de près à l'entreprenariat social en Algérie. Et c'est ainsi qu'il sera aussi l'invité du Cercle d'action et de réflexion autour de l'entreprise (CARE) qui a organisé durant la matinée, à l'hôtel Sofitel, une conférence sur cette même question de l'entreprenariat social et les opportunités de son développement en Algérie. Tout concourt à dire que ce nouveau modèle de la croissance économique et sociale qui tient en échec le libéralisme pur qui exclut le côté humain de la concurrence. Et c'est pourquoi il s'adapte mieux à la nouvelle politique algérienne de développement national harmonieux et sans exclusion sociale ainsi qu'aux grandes questions inhérentes au développement durable et au développement humain et des compétences en matière de marketing management. La Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie (AHK Algérie) et la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté (FNF) organisent, aujourd'hui, au niveau de son siège, une nouvelle session de leur Club des Journalistes sous le thème «L'entreprenariat social : défis et perspectives pour l'Algérie». Le conférencier, Tarik Ghezali, ingénieur de formation (Centrale de Paris) active dans le conseil en management puis dans l'accompagnement des start-up, avant de s'investir en France dans le développement de l'économe solidaire. «L'entreprenariat social est un mouvement de fond international, en plein essor. Partout dans le monde, des dizaines de milliers d'entrepreneurs sociaux démontrent au quotidien qu'il est possible de réconcilier efficacité économique et utilité sociale, sens et performance», affirme cet ancien délégué général du mouvement des entrepreneurs sociaux qui activent notamment en France. Tarik Ghezali, né à Alger en 1977, est co-auteur de Démocratiser l'économie, publié chez l'éditeur Grasset en 2010. Et il se consacre désormais à des projets d'entreprenariat responsable, liés à l'Algérie et à la Méditerranée. Cet expert algérien qui vit entre les deux rives de la Méditerranée considère que ce mouvement est plus que jamais d'actualité, au moment où les crises financières, sociales et écologiques imposent, dit-il, de «réinventer notre vision du marché, de l'Etat et de l'intérêt général». L'entreprenariat social ouvre, selon lui, une voie nouvelle, celle d'un «new deal» entre pouvoirs publics, entreprises et citoyens pour mieux répondre aux défis de la société. Lors de cette conférence, l'auteur de l'essai, Un rêve algérien, Chronique d'un changement attendu, qui vient d'être publié récemment chez les éditions de l'Aube, va s'interroger sur un certain nombre de questions comme, notamment : quelles sont les spécificités de l'entreprenariat social ? Ses atouts, ses défis, ses perspectives de développement ? Cette autre façon d'entreprendre est-elle pertinente pour l'Algérie ? Quelles priorités pour les entreprises sociales qui activent en Algérie, comme entre autres, la création d'emplois pour les jeunes, les femmes, le recyclage des déchets, le tourisme éco solidaire, les coopératives et le commerce bio et équitable. Quels enseignements des expériences internationales capitalisées en Algérie pour développer ces initiatives ? Tous ces questionnements d'intérêt capital pour l'économie nationale ne manqueront pas de déboucher sur des initiatives claires pour répondre aux enjeux économiques par des projets sociaux conciliant la logique économique avec la logique sociale qui ne sont plus antinomiques, selon Tarik Ghezali qui s'intéresse de près à l'entreprenariat social en Algérie. Et c'est ainsi qu'il sera aussi l'invité du Cercle d'action et de réflexion autour de l'entreprise (CARE) qui a organisé durant la matinée, à l'hôtel Sofitel, une conférence sur cette même question de l'entreprenariat social et les opportunités de son développement en Algérie. Tout concourt à dire que ce nouveau modèle de la croissance économique et sociale qui tient en échec le libéralisme pur qui exclut le côté humain de la concurrence. Et c'est pourquoi il s'adapte mieux à la nouvelle politique algérienne de développement national harmonieux et sans exclusion sociale ainsi qu'aux grandes questions inhérentes au développement durable et au développement humain et des compétences en matière de marketing management.