Un atelier sur la gestion des risques agricoles a été organisé à Alger par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, annonce un communiqué du ministère. Cet atelier, organisé en collaboration avec la Banque mondiale, a examiné et a soumis à débat un document réalisé par le ministère qui dresse «un diagnostic précis des différents risques auxquels sont soumis les agriculteurs et les éleveurs», ajoute le communiqué. Le document précise aussi «les mécanismes et le cadre de gestion stratégiques des risques agricoles comme base de prise de décision et de planification à moyens et long termes», ajoute la même source. Il passe également en revue les expériences internationales dans la gestion des risques agricoles et les confronte à la situation algérienne, tout en mettant l'accent sur des exemples de partenariats public-privé, le rôle de l'Etat et des compagnies d'assurances et de la réassurance. Par ailleurs, le ministère de l'Agriculture indique que ses différents programmes intégraient «un éventail d'actions qui prennent en charge des risques hors de portée des agriculteurs, des éleveurs et des opérateurs économiques et qui viennent compléter les mesures prises par les agriculteurs et les éleveurs». «Il s'agit, notamment, du soutien à l'irrigation d'appoint des céréales pour lutter contre la sécheresse, des traitements préventifs contre les ennemis des cultures et les maladies contagieuses et le dédommagement des abattages pour les maladies des animaux domestiques à déclaration obligatoire», précise le ministère. Il s'agit également du système de régulation des produits de large consommation (Syrpalac), qui permet de préserver le revenu des agriculteurs en cas de baisse des prix à la production, des stocks de sécurité des produits de large consommation, de l'obligation d'assurance des bénéficiaires du crédit de campagne ou d'exploitation R'fig. Un atelier sur la gestion des risques agricoles a été organisé à Alger par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, annonce un communiqué du ministère. Cet atelier, organisé en collaboration avec la Banque mondiale, a examiné et a soumis à débat un document réalisé par le ministère qui dresse «un diagnostic précis des différents risques auxquels sont soumis les agriculteurs et les éleveurs», ajoute le communiqué. Le document précise aussi «les mécanismes et le cadre de gestion stratégiques des risques agricoles comme base de prise de décision et de planification à moyens et long termes», ajoute la même source. Il passe également en revue les expériences internationales dans la gestion des risques agricoles et les confronte à la situation algérienne, tout en mettant l'accent sur des exemples de partenariats public-privé, le rôle de l'Etat et des compagnies d'assurances et de la réassurance. Par ailleurs, le ministère de l'Agriculture indique que ses différents programmes intégraient «un éventail d'actions qui prennent en charge des risques hors de portée des agriculteurs, des éleveurs et des opérateurs économiques et qui viennent compléter les mesures prises par les agriculteurs et les éleveurs». «Il s'agit, notamment, du soutien à l'irrigation d'appoint des céréales pour lutter contre la sécheresse, des traitements préventifs contre les ennemis des cultures et les maladies contagieuses et le dédommagement des abattages pour les maladies des animaux domestiques à déclaration obligatoire», précise le ministère. Il s'agit également du système de régulation des produits de large consommation (Syrpalac), qui permet de préserver le revenu des agriculteurs en cas de baisse des prix à la production, des stocks de sécurité des produits de large consommation, de l'obligation d'assurance des bénéficiaires du crédit de campagne ou d'exploitation R'fig.