Les technologies de l'information et de la communication ne représentent pas seulement une aubaine ou un moyen utile avec lequel les enfants peuvent s'amuser. Cet outil, notamment l'Internet, peut s'avérer très dangereux pour les enfants si ces derniers ne font pas attention. Les technologies de l'information et de la communication ne représentent pas seulement une aubaine ou un moyen utile avec lequel les enfants peuvent s'amuser. Cet outil, notamment l'Internet, peut s'avérer très dangereux pour les enfants si ces derniers ne font pas attention. Le recours à ce moyen a ses avantages mais aussi ses inconvénients. On ne le rappellera jamais assez aux parents : Internet est un danger permanent pour les enfants. Un rapport établi par l'Unicef (le Fonds des Nations unies pour l'enfance), publié dernièrement, expose les risques accrus de l'utilisation malsaine ou non contrôlée de ce moyen de communication. En surfant sur ce réseau mondial qu'est l'Internet, explique-t-on dans ce rapport intitulé : «La sécurité de l'enfant en ligne : Les stratégies et les enjeux mondiaux», les enfants sont confrontés à divers dangers, à savoir, la visualisation de contenus, photographies ou vidéos à caractère sexuels, ou encore l'intimidation sur Internet. La cyber intimidation, note l'organisation onusienne, «peut être particulièrement traumatisante en raison de son anonymat et de sa capacité d'intrusion permanente dans des lieux qui, normalement, devraient être sécuritaires pour les jeunes, et du fait qu'il s'agit souvent de lieux publics que leurs pairs peuvent voir». Selon ce même document, il existe actuellement plus de 16.000 pages web à l'échelle mondiale où sont affichées des millions de photographies, d'illustrations et de vidéos d'agressions commises sur des dizaines de milliers d'enfants très jeunes, sachant que 73 % d'entre eux sont âgés de moins de dix ans. Les enfants en Algérie ne sont pas écartés de ces dangers qui rodent sur la Toile. Une rencontre, organisée, durant deux jours, par le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et des communications, tente de sensibiliser davantage les parents contre cette menace. Cette rencontre à laquelle a participé également l'Union internationale des télécommunications, au niveau du Cyberparc de Sidi Abdellah à Alger, a apporté certains éléments susceptibles d'informer sur les moyens de lutter contre ces menaces. Des experts nationaux et étrangers ont pris part aux travaux de l'atelier régional de deux jours ayant pour thème : «L'aspect juridique de la protection de l'enfant des dangers liés à l'utilisation de l'Internet dans la région arabe». Les parents, estiment les intervenants à ces ateliers, «doivent s'inquiéter lorsque leurs enfants passent de longues heures à surfer sur le Net», et ce ajoute-t-on, "au détriment de leurs études". Ces enfants, dont il est question, affirment-ils, deviennent dépendants de cet outil, ce qui les amène à avoir des excès de colère une fois privés de ce moyen. Ils se sentent, par ailleurs, constamment fatigués et surmenés, devenant souvent incontrôlables. Le fait est, qu'aujourd'hui, hormis les campagnes de sensibilisation ciblées, il n'existe aucun moyen efficace et réel de lutte contre cette menace. Des mécanismes et des outils juridiques permettant de protéger cette catégorie sont nécessaires et doivent être mis en place avec le concours de tous les acteurs de la société, fait-on savoir. Mme Aïcha Bouzidi, conseillère au ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, a appelé dans son intervention, à «ouvrir un dialogue avec toutes les parties concernées dans la société en vue d'élaborer une stratégie de protection des enfants contre les dangers d'Internet». Elle a également proposé de mettre en place un plan d'action prévoyant des sessions de formation et des campagnes de sensibilisation en direction des parents et des enseignants. Le recours à ce moyen a ses avantages mais aussi ses inconvénients. On ne le rappellera jamais assez aux parents : Internet est un danger permanent pour les enfants. Un rapport établi par l'Unicef (le Fonds des Nations unies pour l'enfance), publié dernièrement, expose les risques accrus de l'utilisation malsaine ou non contrôlée de ce moyen de communication. En surfant sur ce réseau mondial qu'est l'Internet, explique-t-on dans ce rapport intitulé : «La sécurité de l'enfant en ligne : Les stratégies et les enjeux mondiaux», les enfants sont confrontés à divers dangers, à savoir, la visualisation de contenus, photographies ou vidéos à caractère sexuels, ou encore l'intimidation sur Internet. La cyber intimidation, note l'organisation onusienne, «peut être particulièrement traumatisante en raison de son anonymat et de sa capacité d'intrusion permanente dans des lieux qui, normalement, devraient être sécuritaires pour les jeunes, et du fait qu'il s'agit souvent de lieux publics que leurs pairs peuvent voir». Selon ce même document, il existe actuellement plus de 16.000 pages web à l'échelle mondiale où sont affichées des millions de photographies, d'illustrations et de vidéos d'agressions commises sur des dizaines de milliers d'enfants très jeunes, sachant que 73 % d'entre eux sont âgés de moins de dix ans. Les enfants en Algérie ne sont pas écartés de ces dangers qui rodent sur la Toile. Une rencontre, organisée, durant deux jours, par le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et des communications, tente de sensibiliser davantage les parents contre cette menace. Cette rencontre à laquelle a participé également l'Union internationale des télécommunications, au niveau du Cyberparc de Sidi Abdellah à Alger, a apporté certains éléments susceptibles d'informer sur les moyens de lutter contre ces menaces. Des experts nationaux et étrangers ont pris part aux travaux de l'atelier régional de deux jours ayant pour thème : «L'aspect juridique de la protection de l'enfant des dangers liés à l'utilisation de l'Internet dans la région arabe». Les parents, estiment les intervenants à ces ateliers, «doivent s'inquiéter lorsque leurs enfants passent de longues heures à surfer sur le Net», et ce ajoute-t-on, "au détriment de leurs études". Ces enfants, dont il est question, affirment-ils, deviennent dépendants de cet outil, ce qui les amène à avoir des excès de colère une fois privés de ce moyen. Ils se sentent, par ailleurs, constamment fatigués et surmenés, devenant souvent incontrôlables. Le fait est, qu'aujourd'hui, hormis les campagnes de sensibilisation ciblées, il n'existe aucun moyen efficace et réel de lutte contre cette menace. Des mécanismes et des outils juridiques permettant de protéger cette catégorie sont nécessaires et doivent être mis en place avec le concours de tous les acteurs de la société, fait-on savoir. Mme Aïcha Bouzidi, conseillère au ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, a appelé dans son intervention, à «ouvrir un dialogue avec toutes les parties concernées dans la société en vue d'élaborer une stratégie de protection des enfants contre les dangers d'Internet». Elle a également proposé de mettre en place un plan d'action prévoyant des sessions de formation et des campagnes de sensibilisation en direction des parents et des enseignants.