Dans son dernier rapport, publié dernièrement, l'Unicef (le Fonds des Nations unies pour l'enfance), expose les risques accrus auxquels les enfants sont confrontés en surfant sur Internet. Dans ce même document, l'organisation onusienne, propose également des stratégies optimales visant à protéger les enfants en ligne. Le rapport en question, intitulé, « Child Safety Online : Global challenges and strategies » (La sécurité de l'enfant en ligne : Les stratégies et les enjeux mondiaux) explique que les activités en ligne des enfants sont de plus en plus prisées et fréquentes. Cette recrudescence de l'activité de cette frange sur la Toile est, principalement, due aux téléphones intelligents qui, aujourd'hui, ont réussi à supplanter l'ordinateur en tant qu'outil de navigation le plus utilisé sur le Web. Le rapport souligne, entre autres, un des cas remarqués ces dernières semaines, à savoir, le recours à l'intimidation sur Internet. La cyber intimidation, note l'Unicef, peut être « particulièrement traumatisante en raison de son anonymat et de sa capacité d'intrusion permanente dans des lieux qui, normalement, devraient être sécuritaires pour les jeunes, et du fait qu'il s'agit souvent de lieux publics que leurs pairs peuvent voir ». Le rapport pointe du doigt, notamment, cette nouvelle forme de messages contenant des photographies ou vidéos à caractère sexuel que s'échangent les jeunes, à savoir, les sextos. Selon ce document, plus de 16.000 pages Web à l'échelle mondiale affichent des millions de photographies, d'illustrations et de vidéos d'agressions commises sur des dizaines de milliers d'enfants très jeunes, sachant que 73 % d'entre eux sont âgés de moins de dix ans. Pour protéger les enfants de toutes sortes de dérives et minimiser les risques, le rapport indique qu'il faudrait s'assurer que « les enfants reçoivent une information qui leur est destinée et qui est adaptée à leur âge. Les enfants doivent mesurer les risques auxquels ils s'exposent et effectuer des choix éclairés et responsables lorsqu'ils utilisent les médias numériques.» Il recommande, par ailleurs, que soit mise en place, une législation qui ferait figure d'un élément de réponse à cette problématique. Le rôle des parents, du personnel enseignant, des décideurs mais aussi du secteur privé, est important dans ce processus de sensibilisation, ajoute-t-on. Le rapport explique, cependant, qu'« il est impossible d'éliminer tous les risques en ligne auxquels les enfants sont exposés. De nombreuses stratégies permettent cependant d'atténuer efficacement ces risques tout en respectant les droits de l'enfant et en s'assurant que les jeunes mettent à profit les possibilités intéressantes que la technologie toujours en évolution peut leur offrir ». Dans son dernier rapport, publié dernièrement, l'Unicef (le Fonds des Nations unies pour l'enfance), expose les risques accrus auxquels les enfants sont confrontés en surfant sur Internet. Dans ce même document, l'organisation onusienne, propose également des stratégies optimales visant à protéger les enfants en ligne. Le rapport en question, intitulé, « Child Safety Online : Global challenges and strategies » (La sécurité de l'enfant en ligne : Les stratégies et les enjeux mondiaux) explique que les activités en ligne des enfants sont de plus en plus prisées et fréquentes. Cette recrudescence de l'activité de cette frange sur la Toile est, principalement, due aux téléphones intelligents qui, aujourd'hui, ont réussi à supplanter l'ordinateur en tant qu'outil de navigation le plus utilisé sur le Web. Le rapport souligne, entre autres, un des cas remarqués ces dernières semaines, à savoir, le recours à l'intimidation sur Internet. La cyber intimidation, note l'Unicef, peut être « particulièrement traumatisante en raison de son anonymat et de sa capacité d'intrusion permanente dans des lieux qui, normalement, devraient être sécuritaires pour les jeunes, et du fait qu'il s'agit souvent de lieux publics que leurs pairs peuvent voir ». Le rapport pointe du doigt, notamment, cette nouvelle forme de messages contenant des photographies ou vidéos à caractère sexuel que s'échangent les jeunes, à savoir, les sextos. Selon ce document, plus de 16.000 pages Web à l'échelle mondiale affichent des millions de photographies, d'illustrations et de vidéos d'agressions commises sur des dizaines de milliers d'enfants très jeunes, sachant que 73 % d'entre eux sont âgés de moins de dix ans. Pour protéger les enfants de toutes sortes de dérives et minimiser les risques, le rapport indique qu'il faudrait s'assurer que « les enfants reçoivent une information qui leur est destinée et qui est adaptée à leur âge. Les enfants doivent mesurer les risques auxquels ils s'exposent et effectuer des choix éclairés et responsables lorsqu'ils utilisent les médias numériques.» Il recommande, par ailleurs, que soit mise en place, une législation qui ferait figure d'un élément de réponse à cette problématique. Le rôle des parents, du personnel enseignant, des décideurs mais aussi du secteur privé, est important dans ce processus de sensibilisation, ajoute-t-on. Le rapport explique, cependant, qu'« il est impossible d'éliminer tous les risques en ligne auxquels les enfants sont exposés. De nombreuses stratégies permettent cependant d'atténuer efficacement ces risques tout en respectant les droits de l'enfant et en s'assurant que les jeunes mettent à profit les possibilités intéressantes que la technologie toujours en évolution peut leur offrir ».