De Tlemcen, le général-major, commandant de la Gendarmerie nationale, Ahmed Bousteilla, a exigé une guerre sans merci contre les réseaux de trafic de drogue. "Je veux le démantèlement des réseaux", dira le patron de la GN. Dans le cadre de la lutte contre le crime organisé, mais aussi sur le plan du renouveau des infrastructures de la Gendarmerie nationale, le général Bousteilla effectue, depuis hier, une visite importante dans la ville frontalière de Tlemcen. Ici, le général a inauguré de nouveaux sièges frontaliers au profit des gardes-frontières (GGF). Mais, par la même occasion, ce périple du premier responsable de la GN est fait suite aux saisies record et répétitifves de tonnes de drogue opérées par les hommes verts. Ici, au niveau des frontières algéro-marocaines, notamment à Tlemcen, Maghnia et Marsa Ben M'hidi, le général-major, a exigé plus de résultats à ses troupes face à la montée de la criminalité organisée. S'exprimant sur les derniers coups de filets opérés par les GGF et les brigades territoriales le général a dit, « Je veux les têtes coupées des réseaux de drogue. Je veux plus de résultats. En plus des saisies de cannabis, je veux le démantèlement des réseaux de trafic de kif», a exigé, hier, le général Bousteilla des officiers supérieurs de la Gendarmerie nationale de Tlemcen, lors de sa halte au 1er GGF de Maghnia. Le message de l'homme fort de la Gendarmerie nationale est clair. Non seulement les gendarmes ont réussi à saisir, au cours des cinq premiers mois, plus de 39 tonnes de kif traité, mais ces derniers sont appelés à fournir d'autres efforts considérables pour combattre les fléaux de la drogue. Ces fléaux qui tentent de ravager la partie ouest du pays avec des tonnes de cannabis semblent, eux aussi, déterminés à aller plus loin et ne pas renoncer à leurs activités. Conscient des menaces potentielles qui guettent la région de l'Ouest, Ahmed Bousteilla a recommandé, aussi, aux officiers supérieurs de la GN de s'adapter avec la nouvelle carte de la criminalité. Cela dit, Ahmed Bousteilla a inspecté les unités de la Gendarmerie nationale afin de s'enquérir de l'état des lieux, de la mobilisation des éléments de la GN et surtout des moyens disponibles pour lutter contre le crime organisé. Une criminalité qui menace l'économie nationale et qui diffuse, par la même occasion, une atmosphère d''insécurité et d'instabilité à nos frontières. Des caméras de télésurveillance sur les frontières : une première Par ailleurs, le premier responsable de la Gendarmerie nationale s'est déplacé dans les sièges des GGF (gardes-frontières) pour voir de plus près les conditions dans lesquelles les gendarmes travaillent. Il a, par la suite, inauguré plusieurs nouveaux sièges réalisés au profit des gendarmes de Tlemcen. Premier siège à être inauguré par Bousteilla, ce fut le Poste Avancé (PA) de Marsa Ben M'hidi, sise à la frontière qui fait partie du 1er GGF. Il s'agit d'un poste prototype dont la Gendarmerie nationale compte réaliser d'autres dans les prochaines années dans le cadre du renforcement du dispositif sécuritaire. Ce Poste Avancé est équipé de caméras de télésurveillance dont le but est de mieux surveiller les frontières Ouest. On appelle cela une surveillance électronique. Donc, l'Algérie se dirige vers la surveillance électronique de ses frontières ? Oui, répond le colonel Boukhbiza, commandant du Groupement de la Gendarmerie nationale de Tlemcen. Le deuxième siège inuaguré par Bousteilla est un second Poste Avancé, sis à Sidi Mahechour. Un poste frontalier avec le Maroc, qui est également équipé de caméras de télésurveillance afin de mieux cerner les trafiquants de drogue. «Aujourd'hui on est en train d' adapter nos troupes face aux nouveaux formes de la criminalité», dira le colonel Abdelhamid Kerroud, chargé de la cellule de communication au sein de la Gendarmerie nationale. Il était temps d'agir face aux réseaux de trafic de drogue, car ces derniers ont triplé leurs activités ciblant l'Algérie. Poursuivant son périple, le général Bousteilla a inauguré surtout quatre nouvelles cités de logements au profit des 19è, 25è, 6è et 1er GGF (gardes-frontières). Ces derniers peuvent enfin exercer leur dur métier dans de bonnes conditions, d'autant qu'ils auront, ainsi, la chance d'habiter devant leurs lieux de travail. De Tlemcen, le général-major, commandant de la Gendarmerie nationale, Ahmed Bousteilla, a exigé une guerre sans merci contre les réseaux de trafic de drogue. "Je veux le démantèlement des réseaux", dira le patron de la GN. Dans le cadre de la lutte contre le crime organisé, mais aussi sur le plan du renouveau des infrastructures de la Gendarmerie nationale, le général Bousteilla effectue, depuis hier, une visite importante dans la ville frontalière de Tlemcen. Ici, le général a inauguré de nouveaux sièges frontaliers au profit des gardes-frontières (GGF). Mais, par la même occasion, ce périple du premier responsable de la GN est fait suite aux saisies record et répétitifves de tonnes de drogue opérées par les hommes verts. Ici, au niveau des frontières algéro-marocaines, notamment à Tlemcen, Maghnia et Marsa Ben M'hidi, le général-major, a exigé plus de résultats à ses troupes face à la montée de la criminalité organisée. S'exprimant sur les derniers coups de filets opérés par les GGF et les brigades territoriales le général a dit, « Je veux les têtes coupées des réseaux de drogue. Je veux plus de résultats. En plus des saisies de cannabis, je veux le démantèlement des réseaux de trafic de kif», a exigé, hier, le général Bousteilla des officiers supérieurs de la Gendarmerie nationale de Tlemcen, lors de sa halte au 1er GGF de Maghnia. Le message de l'homme fort de la Gendarmerie nationale est clair. Non seulement les gendarmes ont réussi à saisir, au cours des cinq premiers mois, plus de 39 tonnes de kif traité, mais ces derniers sont appelés à fournir d'autres efforts considérables pour combattre les fléaux de la drogue. Ces fléaux qui tentent de ravager la partie ouest du pays avec des tonnes de cannabis semblent, eux aussi, déterminés à aller plus loin et ne pas renoncer à leurs activités. Conscient des menaces potentielles qui guettent la région de l'Ouest, Ahmed Bousteilla a recommandé, aussi, aux officiers supérieurs de la GN de s'adapter avec la nouvelle carte de la criminalité. Cela dit, Ahmed Bousteilla a inspecté les unités de la Gendarmerie nationale afin de s'enquérir de l'état des lieux, de la mobilisation des éléments de la GN et surtout des moyens disponibles pour lutter contre le crime organisé. Une criminalité qui menace l'économie nationale et qui diffuse, par la même occasion, une atmosphère d''insécurité et d'instabilité à nos frontières. Des caméras de télésurveillance sur les frontières : une première Par ailleurs, le premier responsable de la Gendarmerie nationale s'est déplacé dans les sièges des GGF (gardes-frontières) pour voir de plus près les conditions dans lesquelles les gendarmes travaillent. Il a, par la suite, inauguré plusieurs nouveaux sièges réalisés au profit des gendarmes de Tlemcen. Premier siège à être inauguré par Bousteilla, ce fut le Poste Avancé (PA) de Marsa Ben M'hidi, sise à la frontière qui fait partie du 1er GGF. Il s'agit d'un poste prototype dont la Gendarmerie nationale compte réaliser d'autres dans les prochaines années dans le cadre du renforcement du dispositif sécuritaire. Ce Poste Avancé est équipé de caméras de télésurveillance dont le but est de mieux surveiller les frontières Ouest. On appelle cela une surveillance électronique. Donc, l'Algérie se dirige vers la surveillance électronique de ses frontières ? Oui, répond le colonel Boukhbiza, commandant du Groupement de la Gendarmerie nationale de Tlemcen. Le deuxième siège inuaguré par Bousteilla est un second Poste Avancé, sis à Sidi Mahechour. Un poste frontalier avec le Maroc, qui est également équipé de caméras de télésurveillance afin de mieux cerner les trafiquants de drogue. «Aujourd'hui on est en train d' adapter nos troupes face aux nouveaux formes de la criminalité», dira le colonel Abdelhamid Kerroud, chargé de la cellule de communication au sein de la Gendarmerie nationale. Il était temps d'agir face aux réseaux de trafic de drogue, car ces derniers ont triplé leurs activités ciblant l'Algérie. Poursuivant son périple, le général Bousteilla a inauguré surtout quatre nouvelles cités de logements au profit des 19è, 25è, 6è et 1er GGF (gardes-frontières). Ces derniers peuvent enfin exercer leur dur métier dans de bonnes conditions, d'autant qu'ils auront, ainsi, la chance d'habiter devant leurs lieux de travail.