Les relations bilatérales algéro-britanniques traversent une période faste. Nulle ombre ne vient les perturber. Les intérêts sont bien partagés. Les relations bilatérales algéro-britanniques traversent une période faste. Nulle ombre ne vient les perturber. Les intérêts sont bien partagés. Les échanges économiques vont en s'intensifiant et sur le plan politique, les avis d'Alger et de Londres se rejoignent sur bien des questions qui agitent le monde. Les échanges de visites de responsables politiques et économiques des deux pays sont inscrits dans le cadre du renforcement des relations qui existent, qualifiées d'«excellentes» aussi bien du côté algérien que britannique. Des relations qui demandent à être explorées encore, selon Bernhard Garside, l'ambassadeur adjoint du Royaume-Uni en Algérie qui souligne que l'Algérie dispose d'un grand potentiel qui lui permet de se développer davantage. Dans une déclaration à l'APS en marge d'un séminaire sur la formation en entreprise, organisé par la société britannique Evolia Training, le responsable politique britannique souligne que l'Algérie représente un pays «stable et crédible», assure que le Royaume- Uni veut apporter «sa contribution» à l'Algérie qui constitue aux yeux des Britanniques «un pays important pour la stabilité dans la région du Maghreb». Les souhaits des Britanniques sont déclinés par l'ambassadeur adjoint anglais qui assure que son pays table sur «un partenariat mutuellement rentable», s'inscrivant en faux contre l'idée que se font font certains pays du sens des «affaires». «Il y a des pays qui s'installent dans un pays et une fois leurs affaires terminées, ils plient bagages et s'en vont. Pour nous, par contre, nous envisageons de tisser un partenariat à long terme", a-t-il affirmé. Pour lui, les relations algéro-britanniques ont connu d'«énormes progrès», notamment ces deux dernières années, se caractérisant par l'amorce d'un vrai dynamisme depuis notamment la visite en octobre dernier du ministre britannique des Affaires étrangères en Algérie. Il assure que la Grande-Bretagne possède l'expertise, la technicité et le savoir-faire nécessaires qui permettent d'accompagner l'Algérie dans son développement, notamment dans le domaine des énergies renouvelables, la santé et l'éducation, notant que les relations entre les deux pays s'améliorent rapidement. «Nous pouvons construire des hôpitaux et fournir des équipements ultramodernes. Nous avons d'ailleurs soumis des propositions au ministère de la Santé qui en a manifesté de l'intérêt», a-t-il fait savoir, estimant, contrairement à d'autres partenaires de l'Algérie qu'il n'y avait pas d'obstacle à l'investissement en Algérie. Pour lui, il y avait plutôt une «concurrence accrue» entre les différents opérateurs présents en Algérie. Un environnement concurrentiel qui fait qu'il y a obligation, insiste-t-il, pour la partie britannique de se redéployer d'avantage pour démontrer que son expertise constitue «la meilleure pour apporter sa contribution à l'Algérie». Dans ce cadre, nous trouvons Evolia Training, un fournisseur de la formation en entreprise dans le marketing, la gestion, la finance et de la comptabilité, implanté en Algérie. Le responsable de la société Kevin Toch, en charge de la formation pour la formation en entreprise, explique que le choix de venir s'installer en Algérie est loin d'être fortuit, précisant que «c'est le premier pays, en dehors de l'Union européenne où nous nous installons». Le marché algérien offre, selon lui «des opportunités inestimables pour l'investissement». Il assure que «le climat des affaires est propice et stable», outre le fait que «l'Algérie, en plus du grand potentiel qu'elle recèle, possède une volonté de progrès réelle et une situation géographique stratégique en Afrique et au Maghreb», a-t-il soutenu. Pour lui, le développement des capacités individuelles est la clé du développement, soulignant la nécessité d'opter pour la formation de qualité pour être opérationnel sur le terrain, une fois la formation en question terminée. Rappelons que le ministre britannique aux Affaires étrangères chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, qui a entamé, hier, une visite en Algérie a affirmé à son arrivée à Alger que le partenariat entre l'Algérie et la Grande-Bretagne est «très fort» et que les deux pays développent une «très bonne» relation. «Nous avons de très bonnes relations et un partenariat très fort qui se reflètent à travers les échanges commerciaux ainsi que nos discussions sur la sécurité dans la région», a indiqué M. Alistair dans une déclaration à la presse à son arrivée à l'aéroport Houari- Boumediene. Les échanges économiques vont en s'intensifiant et sur le plan politique, les avis d'Alger et de Londres se rejoignent sur bien des questions qui agitent le monde. Les échanges de visites de responsables politiques et économiques des deux pays sont inscrits dans le cadre du renforcement des relations qui existent, qualifiées d'«excellentes» aussi bien du côté algérien que britannique. Des relations qui demandent à être explorées encore, selon Bernhard Garside, l'ambassadeur adjoint du Royaume-Uni en Algérie qui souligne que l'Algérie dispose d'un grand potentiel qui lui permet de se développer davantage. Dans une déclaration à l'APS en marge d'un séminaire sur la formation en entreprise, organisé par la société britannique Evolia Training, le responsable politique britannique souligne que l'Algérie représente un pays «stable et crédible», assure que le Royaume- Uni veut apporter «sa contribution» à l'Algérie qui constitue aux yeux des Britanniques «un pays important pour la stabilité dans la région du Maghreb». Les souhaits des Britanniques sont déclinés par l'ambassadeur adjoint anglais qui assure que son pays table sur «un partenariat mutuellement rentable», s'inscrivant en faux contre l'idée que se font font certains pays du sens des «affaires». «Il y a des pays qui s'installent dans un pays et une fois leurs affaires terminées, ils plient bagages et s'en vont. Pour nous, par contre, nous envisageons de tisser un partenariat à long terme", a-t-il affirmé. Pour lui, les relations algéro-britanniques ont connu d'«énormes progrès», notamment ces deux dernières années, se caractérisant par l'amorce d'un vrai dynamisme depuis notamment la visite en octobre dernier du ministre britannique des Affaires étrangères en Algérie. Il assure que la Grande-Bretagne possède l'expertise, la technicité et le savoir-faire nécessaires qui permettent d'accompagner l'Algérie dans son développement, notamment dans le domaine des énergies renouvelables, la santé et l'éducation, notant que les relations entre les deux pays s'améliorent rapidement. «Nous pouvons construire des hôpitaux et fournir des équipements ultramodernes. Nous avons d'ailleurs soumis des propositions au ministère de la Santé qui en a manifesté de l'intérêt», a-t-il fait savoir, estimant, contrairement à d'autres partenaires de l'Algérie qu'il n'y avait pas d'obstacle à l'investissement en Algérie. Pour lui, il y avait plutôt une «concurrence accrue» entre les différents opérateurs présents en Algérie. Un environnement concurrentiel qui fait qu'il y a obligation, insiste-t-il, pour la partie britannique de se redéployer d'avantage pour démontrer que son expertise constitue «la meilleure pour apporter sa contribution à l'Algérie». Dans ce cadre, nous trouvons Evolia Training, un fournisseur de la formation en entreprise dans le marketing, la gestion, la finance et de la comptabilité, implanté en Algérie. Le responsable de la société Kevin Toch, en charge de la formation pour la formation en entreprise, explique que le choix de venir s'installer en Algérie est loin d'être fortuit, précisant que «c'est le premier pays, en dehors de l'Union européenne où nous nous installons». Le marché algérien offre, selon lui «des opportunités inestimables pour l'investissement». Il assure que «le climat des affaires est propice et stable», outre le fait que «l'Algérie, en plus du grand potentiel qu'elle recèle, possède une volonté de progrès réelle et une situation géographique stratégique en Afrique et au Maghreb», a-t-il soutenu. Pour lui, le développement des capacités individuelles est la clé du développement, soulignant la nécessité d'opter pour la formation de qualité pour être opérationnel sur le terrain, une fois la formation en question terminée. Rappelons que le ministre britannique aux Affaires étrangères chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, qui a entamé, hier, une visite en Algérie a affirmé à son arrivée à Alger que le partenariat entre l'Algérie et la Grande-Bretagne est «très fort» et que les deux pays développent une «très bonne» relation. «Nous avons de très bonnes relations et un partenariat très fort qui se reflètent à travers les échanges commerciaux ainsi que nos discussions sur la sécurité dans la région», a indiqué M. Alistair dans une déclaration à la presse à son arrivée à l'aéroport Houari- Boumediene.