C'est hier qu'a démarré dans la commune de Maâkas, wilaya de Tizi-Ouzou, la troisième édition du Festival culturel local de la poterie de Maâtkas qui s'étalera jusqu'au 1er juillet prochain. La manifestation est organisée, cette fois-ci, dans le cadre du cinquantenaire de l'Indépendance, précise les organisateurs que sont : le Commissariat du festival culturel local de la poterie de Maâtkas et les Assemblées populaires communales de Maâtkas et de Souk El-Thenine. C'est hier qu'a démarré dans la commune de Maâkas, wilaya de Tizi-Ouzou, la troisième édition du Festival culturel local de la poterie de Maâtkas qui s'étalera jusqu'au 1er juillet prochain. La manifestation est organisée, cette fois-ci, dans le cadre du cinquantenaire de l'Indépendance, précise les organisateurs que sont : le Commissariat du festival culturel local de la poterie de Maâtkas et les Assemblées populaires communales de Maâtkas et de Souk El-Thenine. Le festival se tiendra, pour rappel, sous le haut patronage de la ministre de la Culture, Khalida Toumi. Le site principal retenu pour la tenue du festival est le Centre de formation professionnelle et d'apprentissage de Maâtkas. Les activités de ce festival se focaliseront autour de l'exposition-vente de divers objets et produits traditionnels. Il est aussi question de lancement d'ateliers de poterie. Plusieurs conférences sont annoncées dans le but de promouvoir cette activité dont celle qui sera donnée par Mohamed Dahmani, enseignant à l'université de Tizi-Ouzou sur la résistance culturelle des potières et celle de Youcef Sahel et Rabah Isaoun sur la résistance culturelle des peuples de l'Afrique du Nord de l'Antiquité à la période contemporaine. Une autre communication sera donnée par Aziza Amamra sur la résistance culturelle des potières. Pour créer de l'animation artistique et de la gaité autour de l'activité principale du festival, deux célébrités de la chanson locale seront à Maâtkas pour y chanter Il s'agit de Rabah Asma et Ali Amrane. Une cérémonie de clôture est prévue pour dimanche prochain au cours de laquelle des cadeaux seront remis à l'ensemble des participants. Au sujet de ce festival, ses initiateurs rappellent que Maâtkas, ville à tradition potière, est devenue, avec ce festival, terre d'accueil pour la création contemporaine des arts de la poterie. Les organisateurs présentent aux visiteurs un vaste panorama d'activités, des expositions avec lesquels ils pourront découvrir, s'émerveiller, apprendre, participer et s'initier aux métiers de la terre. Les organisateurs mettent en scène les arts de la terre comme un spectacle vivant dont les exposants et les visiteurs sont les acteurs. Les objectifs en sont de promouvoir, auprès du public, dans une optique pédagogique et culturelle le travail de l'argile, transmettre et partager les compétences, défendre le professionnalisme des potiers ainsi que la qualité et la diversité des œuvres exposées et, enfin, valoriser les jeunes potiers. Faut-il rappeler qu'en tant que support d'écriture, la poterie modelée faite à la main constitue la mémoire d'un savoir-faire féminin ancestral. Répandue en Afrique du Nord, elle résiste un peu mieux en Algérie et plus particulièrement en Grande Kabylie (Maâtkas). A titre illustratif, les symboles décoratifs de la poterie de Maâtkas remontent à la Préhistoire et sont à l'origine des écritures alphabétiques méditerranéennes, dont Tifinagh. Le festival se tiendra, pour rappel, sous le haut patronage de la ministre de la Culture, Khalida Toumi. Le site principal retenu pour la tenue du festival est le Centre de formation professionnelle et d'apprentissage de Maâtkas. Les activités de ce festival se focaliseront autour de l'exposition-vente de divers objets et produits traditionnels. Il est aussi question de lancement d'ateliers de poterie. Plusieurs conférences sont annoncées dans le but de promouvoir cette activité dont celle qui sera donnée par Mohamed Dahmani, enseignant à l'université de Tizi-Ouzou sur la résistance culturelle des potières et celle de Youcef Sahel et Rabah Isaoun sur la résistance culturelle des peuples de l'Afrique du Nord de l'Antiquité à la période contemporaine. Une autre communication sera donnée par Aziza Amamra sur la résistance culturelle des potières. Pour créer de l'animation artistique et de la gaité autour de l'activité principale du festival, deux célébrités de la chanson locale seront à Maâtkas pour y chanter Il s'agit de Rabah Asma et Ali Amrane. Une cérémonie de clôture est prévue pour dimanche prochain au cours de laquelle des cadeaux seront remis à l'ensemble des participants. Au sujet de ce festival, ses initiateurs rappellent que Maâtkas, ville à tradition potière, est devenue, avec ce festival, terre d'accueil pour la création contemporaine des arts de la poterie. Les organisateurs présentent aux visiteurs un vaste panorama d'activités, des expositions avec lesquels ils pourront découvrir, s'émerveiller, apprendre, participer et s'initier aux métiers de la terre. Les organisateurs mettent en scène les arts de la terre comme un spectacle vivant dont les exposants et les visiteurs sont les acteurs. Les objectifs en sont de promouvoir, auprès du public, dans une optique pédagogique et culturelle le travail de l'argile, transmettre et partager les compétences, défendre le professionnalisme des potiers ainsi que la qualité et la diversité des œuvres exposées et, enfin, valoriser les jeunes potiers. Faut-il rappeler qu'en tant que support d'écriture, la poterie modelée faite à la main constitue la mémoire d'un savoir-faire féminin ancestral. Répandue en Afrique du Nord, elle résiste un peu mieux en Algérie et plus particulièrement en Grande Kabylie (Maâtkas). A titre illustratif, les symboles décoratifs de la poterie de Maâtkas remontent à la Préhistoire et sont à l'origine des écritures alphabétiques méditerranéennes, dont Tifinagh.