Le "Plan Delphine", entré en vigueur, à travers les 14 villes côtières algériennes, et ce, depuis le 1er juin passé sous le patronage de la Gendarmerie nationale, spécialement pour la saison estivale et dont le but est de mieux sécuriser les estivants. C'est le cas à Oran, où nous étions en tournée en compagnie des gendarmes de Aïn Turk. Une ville côtière par excellence où plus de deux millions d'Algériens et d'étrangers visitent cette somptueuse perle de l'Ouest. Récit d'une tournée à Aïn Turk. Le "Plan Delphine", entré en vigueur, à travers les 14 villes côtières algériennes, et ce, depuis le 1er juin passé sous le patronage de la Gendarmerie nationale, spécialement pour la saison estivale et dont le but est de mieux sécuriser les estivants. C'est le cas à Oran, où nous étions en tournée en compagnie des gendarmes de Aïn Turk. Une ville côtière par excellence où plus de deux millions d'Algériens et d'étrangers visitent cette somptueuse perle de l'Ouest. Récit d'une tournée à Aïn Turk. Ain Turk, le 25 juin. On est déjà sur place à l'intérieur du siège de la Compagnie de la Gendarmerie nationale d'Ain Turk, où le commandant Abderrezak Nasri nous attendait pour faire une tournée en compagnie de plusieurs patrouilles dont des unités de la Section de Sécurité et d'Intervention (SSI). 14h pile, c'est le départ pour une tournée de plusieurs heures à travers plusieurs plages et stations balnéaires de la ville d'Ain Turk. Un cortège de plus de six véhicules de type 4X4 nous attendait dans lequel nous avons visité plusieurs points sensibles d'Ain Turk. face à la vague humaine des estivants, la Gendarmerie nationale a pris toutes les dispositions nécessaires afin d'assurer une bonne couverture sécuritaire, nous disait d'emblée le commandant Nasri. "Des mesures qui se traduisent par un renforcement de taille où près de 2.500 gendarmes sont déjà à Oran pour renforcer les rangs des hommes verts", explique-t-il. Dans un jour très ensoleillé, la ville d'El Bahia, semble bien préparéer pour accueillir les millions d'estivants, venus de différents horizons. Mais une ville qui paraît très sécurisée avec un dispositif sécuritaire bien encadré de la Gendarmerie nationale, là où il y a trois jours le général Ahmed Bousteilla s'est déplacé pour une visite d'inspection. Notre périple a commencé au siège de la compagnie de la Gendarmerie nationale de Aïn Turk, là où le commandant Abderrezak Nasri nous attendait pour superviser le dispositif sécuritaire mis en place par la GN dans le cadre du Plan Delphine. Un plan saisonnier qui permet, non seulement une parfaite sécurité des estivants, mais surtout, et le plus important, de lutter contre la criminalité sous toutes ses formes. Ainsi, notre petite escale a pris le départ à Ain Turk. Première halte : le poste de surveillance de Bomo jonchant une plage paradisiaque où des milliers d'estivants viennent, chaque jour, y passer des bons moments. Ici, le poste de surveillance comporte 15 gendarmes, dont ceux de la cellule de protection de l'environnement, de la cellule des mineurs et de la brigade cynophile. Cela sans oublier les unités de la Section de Sécurité et d'Intervention (SSI), qui font souventdes patrouilles afin de mieux sécuriser les estivants. Ce dispositif prototype existe dans l'ensemble des plages de Aïn Turk à l'instar des autres plages du pays. Grâce à cette forte présence des gendarmes aucun incident n'a été signalé depuis le début de la saison estivale, selon le colonel Nasri. En plus de ce résultat positif, les gendarmes ont anticipé les criminels en arrêtant les auteurs d' actes d'agressions et de vols qui ont eu avant le 1er juin passé. En continuant notre chemin, nous arrivons au second poste de surveillance qui lui se trouve à Bomo. Jouxtant la plage de Bousfer, ce poste de surveillance est qualifié de très important, car ici, ce lieu est réputé par une mauvaise image où, d'habitude, des agressions avec armes blanches se produisent assez souvent ciblant les usagers de la route. Toutefois, les éléments de la Gendarmerie nationale sont passés à l'action en réussissant à occuper le terrain et pourchasser la criminalité. La preuve : depuis le début du mois de juin, 8 personnes, impliquées dans des affaires de vol, d'agression et de port d'armes blanches ont été arrêtées et écrouées, selon le chef du poste de surveillance de Bousfer. Trois parmi ces personnes interpellées sont accusées dans des affaires de coups et blessures volontaires (CBV), tandis qu'un auteur de vol de téléphone portable a été à son tour arrêté et un autre impliqué dans le vol d'un cabas appartenant à un estivant a été appréhendé. Répondant à notre question sur le nombre de postes de surveillance mis en place sur les plages par la gendarmerie à Oran, le commandant Nasri nous donne le chiffre. "Il y a neuf postes de surveillance qui sont implantés sur les plages d'Oran", explique-t-il. Avant d'ajouter les noms des neuf plages qui sont sous contrôle des gendarmes. "Il y a les plages de Djawhara, Bomo, Cap Falcon, l'Etoile, Cap Blanc connue surtout par le nom de Madagh 1 et il y a aussi la plage de Madagh 2, puis on contrôle aussi les deux plages des Andalouses 1 et 2"». Ain Turk, le 25 juin. On est déjà sur place à l'intérieur du siège de la Compagnie de la Gendarmerie nationale d'Ain Turk, où le commandant Abderrezak Nasri nous attendait pour faire une tournée en compagnie de plusieurs patrouilles dont des unités de la Section de Sécurité et d'Intervention (SSI). 14h pile, c'est le départ pour une tournée de plusieurs heures à travers plusieurs plages et stations balnéaires de la ville d'Ain Turk. Un cortège de plus de six véhicules de type 4X4 nous attendait dans lequel nous avons visité plusieurs points sensibles d'Ain Turk. face à la vague humaine des estivants, la Gendarmerie nationale a pris toutes les dispositions nécessaires afin d'assurer une bonne couverture sécuritaire, nous disait d'emblée le commandant Nasri. "Des mesures qui se traduisent par un renforcement de taille où près de 2.500 gendarmes sont déjà à Oran pour renforcer les rangs des hommes verts", explique-t-il. Dans un jour très ensoleillé, la ville d'El Bahia, semble bien préparéer pour accueillir les millions d'estivants, venus de différents horizons. Mais une ville qui paraît très sécurisée avec un dispositif sécuritaire bien encadré de la Gendarmerie nationale, là où il y a trois jours le général Ahmed Bousteilla s'est déplacé pour une visite d'inspection. Notre périple a commencé au siège de la compagnie de la Gendarmerie nationale de Aïn Turk, là où le commandant Abderrezak Nasri nous attendait pour superviser le dispositif sécuritaire mis en place par la GN dans le cadre du Plan Delphine. Un plan saisonnier qui permet, non seulement une parfaite sécurité des estivants, mais surtout, et le plus important, de lutter contre la criminalité sous toutes ses formes. Ainsi, notre petite escale a pris le départ à Ain Turk. Première halte : le poste de surveillance de Bomo jonchant une plage paradisiaque où des milliers d'estivants viennent, chaque jour, y passer des bons moments. Ici, le poste de surveillance comporte 15 gendarmes, dont ceux de la cellule de protection de l'environnement, de la cellule des mineurs et de la brigade cynophile. Cela sans oublier les unités de la Section de Sécurité et d'Intervention (SSI), qui font souventdes patrouilles afin de mieux sécuriser les estivants. Ce dispositif prototype existe dans l'ensemble des plages de Aïn Turk à l'instar des autres plages du pays. Grâce à cette forte présence des gendarmes aucun incident n'a été signalé depuis le début de la saison estivale, selon le colonel Nasri. En plus de ce résultat positif, les gendarmes ont anticipé les criminels en arrêtant les auteurs d' actes d'agressions et de vols qui ont eu avant le 1er juin passé. En continuant notre chemin, nous arrivons au second poste de surveillance qui lui se trouve à Bomo. Jouxtant la plage de Bousfer, ce poste de surveillance est qualifié de très important, car ici, ce lieu est réputé par une mauvaise image où, d'habitude, des agressions avec armes blanches se produisent assez souvent ciblant les usagers de la route. Toutefois, les éléments de la Gendarmerie nationale sont passés à l'action en réussissant à occuper le terrain et pourchasser la criminalité. La preuve : depuis le début du mois de juin, 8 personnes, impliquées dans des affaires de vol, d'agression et de port d'armes blanches ont été arrêtées et écrouées, selon le chef du poste de surveillance de Bousfer. Trois parmi ces personnes interpellées sont accusées dans des affaires de coups et blessures volontaires (CBV), tandis qu'un auteur de vol de téléphone portable a été à son tour arrêté et un autre impliqué dans le vol d'un cabas appartenant à un estivant a été appréhendé. Répondant à notre question sur le nombre de postes de surveillance mis en place sur les plages par la gendarmerie à Oran, le commandant Nasri nous donne le chiffre. "Il y a neuf postes de surveillance qui sont implantés sur les plages d'Oran", explique-t-il. Avant d'ajouter les noms des neuf plages qui sont sous contrôle des gendarmes. "Il y a les plages de Djawhara, Bomo, Cap Falcon, l'Etoile, Cap Blanc connue surtout par le nom de Madagh 1 et il y a aussi la plage de Madagh 2, puis on contrôle aussi les deux plages des Andalouses 1 et 2"».