Laurent Fabius, chef de la diplomatie française se rendra à Alger "à brève échéance" a indiqué hier l'APS qui cite son ministère. Cette visite du ministre des Affaires étrangères, la première, sous Hollande, est prévue à la mi-juillet est-il précisé. Lors d'un point de presse, Bernard Valero, porte-parole du ministère, a indiqué que «le ministre des Affaires étrangères a bien l'intention d'effectuer, à brève échéance, un déplacement en Algérie, à une date qui sera annoncée en liaison avec nos partenaires algériens". Laurent Fabius, chef de la diplomatie française se rendra à Alger "à brève échéance" a indiqué hier l'APS qui cite son ministère. Cette visite du ministre des Affaires étrangères, la première, sous Hollande, est prévue à la mi-juillet est-il précisé. Lors d'un point de presse, Bernard Valero, porte-parole du ministère, a indiqué que «le ministre des Affaires étrangères a bien l'intention d'effectuer, à brève échéance, un déplacement en Algérie, à une date qui sera annoncée en liaison avec nos partenaires algériens". Bernard Valero a rappelé que les présidents français et algérien ont décidé de donner une nouvelle impulsion à la relation bilatérale franco-algérienne. Pour le porte-parole français des Affaires étrangères la relation entre Alger et Paris s'appuie sur une assise «exceptionnelle à bien des égards.» et d'ajouter : «Elle est marquée par une histoire commune et par des liens humains très denses. Le moment est particulièrement favorable à cette nouvelle impulsion. La France et l'Algérie a-t-il ajouté, sont décidées à avancer de concert pour développer leurs relations bilatérales». Par ailleurs l'ex-Premier ministre français, Dominique de Villepin, dans une tribune parue mercredi dans le quotidien français Le Monde s'est dit convaincu «que la clé d'une nouvelle politique arabe de la France» devrait reposer sur «une nouvelle relation de la France et de l'Algérie fondée sur une réconciliation historique comme nous l'avons fait avec l'Allemagne». Dominique de Villepin a plaidé pour la délivrance envers les autorités algériennes «de signaux forts», l'un de ces signaux devrait selon lui être «une visite du chef de l'Etat chez nos partenaires de la région, pour montrer que nous sommes aux côtés des peuples». «Il faut aussi, a ajouté de Villepin, même si c'est difficile par ces temps de disette budgétaire, pouvoir mettre autour d'une table des investisseurs privés européens et des bailleurs de fonds publics pour lancer de grands projets pour la relance économique essentielle à la stabilité politique de la région». Selon l'ex-Premier ministre, «c'est aux peuples de faire leur histoire, sans notre ingérence». «Je veux, a-t-il ajouté, que nous assumions aussi l'originalité de notre message et de notre relation avec le monde arabe, qui doit nous conduire à exprimer à la fois notre amitié et nos inquiétudes. Assumons enfin, et c'est le plus difficile, notre histoire, même quand elle est douloureuse", a-t-il conclu Bernard Valero a rappelé que les présidents français et algérien ont décidé de donner une nouvelle impulsion à la relation bilatérale franco-algérienne. Pour le porte-parole français des Affaires étrangères la relation entre Alger et Paris s'appuie sur une assise «exceptionnelle à bien des égards.» et d'ajouter : «Elle est marquée par une histoire commune et par des liens humains très denses. Le moment est particulièrement favorable à cette nouvelle impulsion. La France et l'Algérie a-t-il ajouté, sont décidées à avancer de concert pour développer leurs relations bilatérales». Par ailleurs l'ex-Premier ministre français, Dominique de Villepin, dans une tribune parue mercredi dans le quotidien français Le Monde s'est dit convaincu «que la clé d'une nouvelle politique arabe de la France» devrait reposer sur «une nouvelle relation de la France et de l'Algérie fondée sur une réconciliation historique comme nous l'avons fait avec l'Allemagne». Dominique de Villepin a plaidé pour la délivrance envers les autorités algériennes «de signaux forts», l'un de ces signaux devrait selon lui être «une visite du chef de l'Etat chez nos partenaires de la région, pour montrer que nous sommes aux côtés des peuples». «Il faut aussi, a ajouté de Villepin, même si c'est difficile par ces temps de disette budgétaire, pouvoir mettre autour d'une table des investisseurs privés européens et des bailleurs de fonds publics pour lancer de grands projets pour la relance économique essentielle à la stabilité politique de la région». Selon l'ex-Premier ministre, «c'est aux peuples de faire leur histoire, sans notre ingérence». «Je veux, a-t-il ajouté, que nous assumions aussi l'originalité de notre message et de notre relation avec le monde arabe, qui doit nous conduire à exprimer à la fois notre amitié et nos inquiétudes. Assumons enfin, et c'est le plus difficile, notre histoire, même quand elle est douloureuse", a-t-il conclu