Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a plaidé pour le renforcement des relations bilatérales avec l'Algérie dans tous les secteurs d'activité économiques. En visite dans notre pays depuis hier dans le cadre d'une visite de travail, à l'invitation de son homologue algérien, le chef de la diplomatie belge a mis l'accent sur la volonté de son pays de « renforcer les relations sur les plans économique, politique et culturel avec l'Algérie ». Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a plaidé pour le renforcement des relations bilatérales avec l'Algérie dans tous les secteurs d'activité économiques. En visite dans notre pays depuis hier dans le cadre d'une visite de travail, à l'invitation de son homologue algérien, le chef de la diplomatie belge a mis l'accent sur la volonté de son pays de « renforcer les relations sur les plans économique, politique et culturel avec l'Algérie ». Lors d'une conférence conjointe, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué que «les relations algéro-belges ont été marquées, ces dernières années, par une coopération intense et de qualité», ajoutant que cette coopération est appelé, durant les prochains mois, à gagner en intensité et diversité. Et à M. Medelci de poursuivre : « Nos relations bilatérales se sont caractérisées par une coopération de qualité qui s'est confirmée au fil du temps et devraient gagner en intensité à la faveur de prochaines visites de membres du gouvernement et d'hommes d'affaires belges pour découvrir le vaste champ d'investissements que représente l'Algérie». Côté belge, M. Reynders a rappelé la volonté de son pays de diversifier les domaines de la coopération bilatérale, en insistant, entre autres, sur la nécessité, dit-il, «de passer en revue l'évolution des relations de l'Union européenne avec, d'une part l'Algérie, et, d'autre part, toute la région du Maghreb». Sur ce point, il dira que : «Nous souhaitons que les relations entre l'Algérie et l'Union européenne puissent se renforcer davantage de manière à couvrir tous les secteurs car il y a énormément de choses à faire ensemble». M. Reynders a fait savoir l'intention de son pays de faire bénéficier notre pays de l'expérience belge acquise dans divers secteurs. «Nous disposons d'une grande expérience en matière de construction des hôpitaux d'où notre volonté de faire bénéficier l'Algérie de l'expertise développée en Belgique», a-t-il affirmé. Il évoquera également le traitement des déchets et l'urbanisation comme domaines qui intéressent particulièrement les investisseurs belges, en plus des énergies renouvelables. Le marché algérien, en constante évolution, intéresse de plus en plus les investisseurs belges, en particulier en ce qui concerne les énergies, les transports, la construction des hôpitaux ou encore la transformation du gaz liquide. Le chef de la diplomatie belge a annoncé la tenue, courant de ce mois-ci, d'un forum économique algéro-belge où il pour discuter du renforcement des relations des deux pays. S'agissant des questions d'ordre international, notamment la situation qui prévaut actuellement au Nord-Mali, M. Reynders a estimé que «l'Algérie peut faciliter un processus politique». L'Algérie, dit-il, qui est le premier partenaire économique de la Belgique en Afrique du Nord, «a un rôle moteur dans la région du Maghreb». Les échanges commerciaux, entre les deux pays, a indiqué M. Medelci, ont atteint un (01) milliard de dollars. L'un des secteurs phares qui a connu une évolution est celui des échanges de services qui ont représenté en 2011 plus de 150 millions de dollars, a-t-il ajouté. Lors d'une conférence conjointe, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué que «les relations algéro-belges ont été marquées, ces dernières années, par une coopération intense et de qualité», ajoutant que cette coopération est appelé, durant les prochains mois, à gagner en intensité et diversité. Et à M. Medelci de poursuivre : « Nos relations bilatérales se sont caractérisées par une coopération de qualité qui s'est confirmée au fil du temps et devraient gagner en intensité à la faveur de prochaines visites de membres du gouvernement et d'hommes d'affaires belges pour découvrir le vaste champ d'investissements que représente l'Algérie». Côté belge, M. Reynders a rappelé la volonté de son pays de diversifier les domaines de la coopération bilatérale, en insistant, entre autres, sur la nécessité, dit-il, «de passer en revue l'évolution des relations de l'Union européenne avec, d'une part l'Algérie, et, d'autre part, toute la région du Maghreb». Sur ce point, il dira que : «Nous souhaitons que les relations entre l'Algérie et l'Union européenne puissent se renforcer davantage de manière à couvrir tous les secteurs car il y a énormément de choses à faire ensemble». M. Reynders a fait savoir l'intention de son pays de faire bénéficier notre pays de l'expérience belge acquise dans divers secteurs. «Nous disposons d'une grande expérience en matière de construction des hôpitaux d'où notre volonté de faire bénéficier l'Algérie de l'expertise développée en Belgique», a-t-il affirmé. Il évoquera également le traitement des déchets et l'urbanisation comme domaines qui intéressent particulièrement les investisseurs belges, en plus des énergies renouvelables. Le marché algérien, en constante évolution, intéresse de plus en plus les investisseurs belges, en particulier en ce qui concerne les énergies, les transports, la construction des hôpitaux ou encore la transformation du gaz liquide. Le chef de la diplomatie belge a annoncé la tenue, courant de ce mois-ci, d'un forum économique algéro-belge où il pour discuter du renforcement des relations des deux pays. S'agissant des questions d'ordre international, notamment la situation qui prévaut actuellement au Nord-Mali, M. Reynders a estimé que «l'Algérie peut faciliter un processus politique». L'Algérie, dit-il, qui est le premier partenaire économique de la Belgique en Afrique du Nord, «a un rôle moteur dans la région du Maghreb». Les échanges commerciaux, entre les deux pays, a indiqué M. Medelci, ont atteint un (01) milliard de dollars. L'un des secteurs phares qui a connu une évolution est celui des échanges de services qui ont représenté en 2011 plus de 150 millions de dollars, a-t-il ajouté.