Le rendement à l`hectare et l`atteinte des objectifs en termes de performances, tel que le club des 50, ainsi que la productivité accrue sont les maîtres mots de la nouvelle politique agricole qui compte désormais sur l`utilisation efficiente et permanente des engins et des matériels mécaniques pour assurer une rentabilité meilleure. Le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa, a annoncé lundi que des mesures seront prises prochainement pour réhabiliter la mécanisation du secteur agricole pour répondre à une forte demande des agriculteurs et des éleveurs en matériels de production. «Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du renouveau agricole et rural, le ministère s'est attelé à redynamiser et à réhabiliter la filière mécanisation agricole, nécessaire à l'intensification de la production», a rappelé le ministre lors d'une réunion avec les différents acteurs concernés par le programme de mécanisation agricole. Ainsi, pour répondre à une demande de plus en plus forte des agriculteurs et des éleveurs et atteindre les objectifs en termes d'intensification de la production, les pouvoirs publics ont décidé de prendre certaines mesures dont la relance des ex-EDIMAT (entreprises de distribution et de maintenance du matériel agricole) en difficulté et la réhabilitation des coopératives de machinisme agricole. «Certaines Edimat vivent dans des situations difficiles et leur reprise s'inscrira dans le cadre de la mise en oeuvre des différents programmes du secteur dont celui de la mécanisation et l'irrigation d'appoint», a expliqué Benaïssa à l'APS. Les Edimat sont nées après la dissolution de l'Office national du matériel agricole (ONAMA) en 1987 dont beaucoup ont d'importantes difficultés financières, alors que d'autre ont cessé d'exister.L'autre proposition retenue lors de cette réunion est la réactivation du groupement d'intérêt commun, gelé pendant plusieurs années, pour qu'il joue un rôle de mutualisation des acteurs agricoles. En outre, des ateliers régionaux se tiendront incessamment à Blida, Chlef, Guelma et Touggourt ''pour préparer un dossier complet'' sur les actions à prendre pour la relance des activités des GIC et leur intégration dans les programmes du secteur afin de bénéficier de financements.«Ces réunions devraient aboutir à des prises de mesures et de décisions intéressantes avant la fin du mois du Ramadhan», a affirmé Benaïssa. Ces entreprises devraient également participer à l'accélération de la mise en oeuvre du programme d'irrigation d'appoint qui table sur un accroissement de la superficie irriguée de plus de 700.000 ha à l'horizon 2014. La superficie agricole irriguée devrait passer de 1,1 million d'ha actuellement à 1,6 million d'ha à l'horizon 2014. Ce programme prévoit également de reconvertir 50% de la sole irriguée actuellement en système gravitaire estimée à 557.300 ha en système économiseur d'eau. Néanmoins, l'avancement de ce programme ne se fait pas au rythme souhaité par le secteur. «Donc, l'implication de tous les équipementiers, dans un partage de risque entre des organismes fédérateurs et les SGP concernées, devrait accélérer la mise en œuvre de ce programme», estime le ministre. Le rendement à l`hectare et l`atteinte des objectifs en termes de performances, tel que le club des 50, ainsi que la productivité accrue sont les maîtres mots de la nouvelle politique agricole qui compte désormais sur l`utilisation efficiente et permanente des engins et des matériels mécaniques pour assurer une rentabilité meilleure. Le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa, a annoncé lundi que des mesures seront prises prochainement pour réhabiliter la mécanisation du secteur agricole pour répondre à une forte demande des agriculteurs et des éleveurs en matériels de production. «Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du renouveau agricole et rural, le ministère s'est attelé à redynamiser et à réhabiliter la filière mécanisation agricole, nécessaire à l'intensification de la production», a rappelé le ministre lors d'une réunion avec les différents acteurs concernés par le programme de mécanisation agricole. Ainsi, pour répondre à une demande de plus en plus forte des agriculteurs et des éleveurs et atteindre les objectifs en termes d'intensification de la production, les pouvoirs publics ont décidé de prendre certaines mesures dont la relance des ex-EDIMAT (entreprises de distribution et de maintenance du matériel agricole) en difficulté et la réhabilitation des coopératives de machinisme agricole. «Certaines Edimat vivent dans des situations difficiles et leur reprise s'inscrira dans le cadre de la mise en oeuvre des différents programmes du secteur dont celui de la mécanisation et l'irrigation d'appoint», a expliqué Benaïssa à l'APS. Les Edimat sont nées après la dissolution de l'Office national du matériel agricole (ONAMA) en 1987 dont beaucoup ont d'importantes difficultés financières, alors que d'autre ont cessé d'exister.L'autre proposition retenue lors de cette réunion est la réactivation du groupement d'intérêt commun, gelé pendant plusieurs années, pour qu'il joue un rôle de mutualisation des acteurs agricoles. En outre, des ateliers régionaux se tiendront incessamment à Blida, Chlef, Guelma et Touggourt ''pour préparer un dossier complet'' sur les actions à prendre pour la relance des activités des GIC et leur intégration dans les programmes du secteur afin de bénéficier de financements.«Ces réunions devraient aboutir à des prises de mesures et de décisions intéressantes avant la fin du mois du Ramadhan», a affirmé Benaïssa. Ces entreprises devraient également participer à l'accélération de la mise en oeuvre du programme d'irrigation d'appoint qui table sur un accroissement de la superficie irriguée de plus de 700.000 ha à l'horizon 2014. La superficie agricole irriguée devrait passer de 1,1 million d'ha actuellement à 1,6 million d'ha à l'horizon 2014. Ce programme prévoit également de reconvertir 50% de la sole irriguée actuellement en système gravitaire estimée à 557.300 ha en système économiseur d'eau. Néanmoins, l'avancement de ce programme ne se fait pas au rythme souhaité par le secteur. «Donc, l'implication de tous les équipementiers, dans un partage de risque entre des organismes fédérateurs et les SGP concernées, devrait accélérer la mise en œuvre de ce programme», estime le ministre.