Les forces de sécurité notamment l'ANP ont réussi, durant la période allant de début de l'année en cours au mois de juillet dernier, à mettre hors d'état de nuire une quarantaine de terroristes de l'ex-GSPC,dans plusieurs opérations militaires menées à travers les maquis de cette partie du pays, considérée comme une zone de repli pour les hordes sanguinaires qui n'hésitent pas à saisir toute occasion pour cibler les forces de sécurité et d'y faire des victimes. L'armée, à elle seule, a déployé d'importants moyens matériels, logistiques et mobilisé plusieurs soldats, afin de venir à bout des résidus de terroristes écumant les maquis de Boumerdès notamment ceux du Sud et du Sud-est. Les forces de sécurité notamment l'ANP ont réussi, durant la période allant de début de l'année en cours au mois de juillet dernier, à mettre hors d'état de nuire une quarantaine de terroristes de l'ex-GSPC,dans plusieurs opérations militaires menées à travers les maquis de cette partie du pays, considérée comme une zone de repli pour les hordes sanguinaires qui n'hésitent pas à saisir toute occasion pour cibler les forces de sécurité et d'y faire des victimes. L'armée, à elle seule, a déployé d'importants moyens matériels, logistiques et mobilisé plusieurs soldats, afin de venir à bout des résidus de terroristes écumant les maquis de Boumerdès notamment ceux du Sud et du Sud-est. Et depuis, même l'activité terroriste a notablement repris, en raison de la pression exercée dans les maquis par les forces de sécurité. Cette reprise est caractérisée par l'exécution d'attentats sanglants contre les forces de sécurité à l'exemple de ceux commis sur la RN 12 à hauteur de la commune de Si Mustapha ou celui de Bordj Ménaïel ou bien celui perpétré au lieudit La carrière tuant un militaire en civil et deux autres citoyens dont une étudiante qui étaient à bord d'un bus de transport de voyageurs assurant la ligne Tizi Ouzou-Blida. La plus importante opération à être lancée dans les maquis de Boumerdès contre les acolytes de Droukdel affiliés à AQMI c'était celle enclenchée en février dernier dans les massifs forestiers d'Aït Khelifa sur les hauteurs de la commune de Béni Amrane. Au cours de cette opération, les soldats de l'ANP avaient réussi à éliminer une quinzaine de terroristes et capturer certains d'entre eux vivants, lesquels ont fourni d'importantes informations sur les ramifications des groupes armés dans la région s'étendant jusqu'aux limites frontalières de la wilaya de Bouira. Cette zone est utilisée comme un passage sécurisé du fait de la densité des bois pour les terroristes désirant rejoindre par exemple Bouira ou Tizi Ouzou. Outre cela, les forces de l'armée ont éliminé au cours de cette période plusieurs émirs de l'ex-GSPC. Le dernier à être abattu était l'émir de la sériate Legata, Tadjer Zouheir alias Handhala et son lieutenant dans une embuscade dans les maquis de Legata. Egalement, l'émir de la sériate de Cap Djenet, Hamid Tikili, qui avait rejoint les rangs du GIA de Hassan Hattab au le début des années 90, a été éliminé en compagnie de son adjoint dans une embuscade militaire au lieudit Thouara dans la commune balnéaire de Cap Djenet. Par ailleurs, l'émir de la sériate de Bordj Ménaïel, Mohamed Azzazeni alias Mouadh, a été capturé vivant au cours d'une embuscade militaire qui lui a été tendue près du village Tizi N' Ali N' Slimane. Ce dernier aurait fourni d'importantes informations concernant le mouvement et le déplacement des groupes terroristes de l'ex-GSPC dans la région qui tente de s'organiser notamment après les coups de boutoir que leur ont assenés les forces de sécurité. Et depuis, même l'activité terroriste a notablement repris, en raison de la pression exercée dans les maquis par les forces de sécurité. Cette reprise est caractérisée par l'exécution d'attentats sanglants contre les forces de sécurité à l'exemple de ceux commis sur la RN 12 à hauteur de la commune de Si Mustapha ou celui de Bordj Ménaïel ou bien celui perpétré au lieudit La carrière tuant un militaire en civil et deux autres citoyens dont une étudiante qui étaient à bord d'un bus de transport de voyageurs assurant la ligne Tizi Ouzou-Blida. La plus importante opération à être lancée dans les maquis de Boumerdès contre les acolytes de Droukdel affiliés à AQMI c'était celle enclenchée en février dernier dans les massifs forestiers d'Aït Khelifa sur les hauteurs de la commune de Béni Amrane. Au cours de cette opération, les soldats de l'ANP avaient réussi à éliminer une quinzaine de terroristes et capturer certains d'entre eux vivants, lesquels ont fourni d'importantes informations sur les ramifications des groupes armés dans la région s'étendant jusqu'aux limites frontalières de la wilaya de Bouira. Cette zone est utilisée comme un passage sécurisé du fait de la densité des bois pour les terroristes désirant rejoindre par exemple Bouira ou Tizi Ouzou. Outre cela, les forces de l'armée ont éliminé au cours de cette période plusieurs émirs de l'ex-GSPC. Le dernier à être abattu était l'émir de la sériate Legata, Tadjer Zouheir alias Handhala et son lieutenant dans une embuscade dans les maquis de Legata. Egalement, l'émir de la sériate de Cap Djenet, Hamid Tikili, qui avait rejoint les rangs du GIA de Hassan Hattab au le début des années 90, a été éliminé en compagnie de son adjoint dans une embuscade militaire au lieudit Thouara dans la commune balnéaire de Cap Djenet. Par ailleurs, l'émir de la sériate de Bordj Ménaïel, Mohamed Azzazeni alias Mouadh, a été capturé vivant au cours d'une embuscade militaire qui lui a été tendue près du village Tizi N' Ali N' Slimane. Ce dernier aurait fourni d'importantes informations concernant le mouvement et le déplacement des groupes terroristes de l'ex-GSPC dans la région qui tente de s'organiser notamment après les coups de boutoir que leur ont assenés les forces de sécurité.