En dépit du fait qu'elles croient en l'au-delà, certaines personnes ne méditent pas profondément sur la question. Elles disent ignorer qu'elles se retrouveront face à tout ce qu'elles auront accompli dans ce monde. Elles se trompent en interprétant l'au-delà, le jour du Jugement, le paradis et l'enfer à leur manière au lieu de se référer à ce que Dieu nous en dit dans le Coran. Dieu nous décrit l'Au-delà dans les détails, le moment du Jugement, ceux qui iront au paradis et ceux qui seront envoyés en enfer. Le jour du Jugement, chaque homme se tiendra seul devant Dieu et fera un compte-rendu de l'ensemble de sa vie sur terre. Dieu accordera le paradis éternel ainsi que des faveurs en abondance à ceux qui se sont efforcés de lui plaire. En revanche, ceux qui ne se sont guère souciés de l'au-delà connaîtront les tourments, à moins d'une miséricorde de Dieu. Se trompent également ceux qui comptent accéder au paradis grâce à la miséricorde divine en toute circonstance, ceux qui affirment ne pas avoir nui à autrui, ou encore ceux qui limitaient leur pratique religieuse à quelques actes sporadiques. Dieu attire notre attention sur ces hommes qui, même conscients de la vérité, continuent à se fabriquer des excuses: ‘‘Vers ton Seigneur sera, ce jour-là, le retour. L'homme sera informé ce jour-là de ce qu'il aura avancé et de ce qu'il aura remis à plus tard. Mais l'homme sera un témoin perspicace contre lui-même, quand même il présenterait ses excuses. (Sourate El-Qiyama verset 12-15). Comme l'indique ce verset du Coran, l'homme est un témoin contre lui-même. Chacun sait la vérité, aussi quel sens y a-t-il à se chercher des excuses? Se cacher derrière le vice des autres ne sauvera personne le jour du Jugement. Si l'on s'est gardé de plaire à Dieu, des parents ou des grands-parents religieux ne seront d'aucun secours, ni le fait d'avoir nourri des pauvres, ni le fait de se dire musulman. Chacun est responsable de ses propres actes. Nous nous présenterons seuls devant Dieu et nous serons jugés seuls. Aucune excuse ne tient face au devoir que nous avons de plaire à Dieu. Peu importe que vous soyez très occupés, que vous deviez travailler dur pour vos enfants, que vous occupiez de postes dédiés à l'amélioration des conditions de vie de l'humanité, vous devez avant toute chose rechercher le plaisir de Dieu. Il est important de se rappeler que toutes ces déclarations relèvent de notre propre point de vue et non de celui du Coran car cela ne nous sauvera nullement d'une fin désastreuse. Sans aucun doute, le Coran est la meilleure source qui peut nous fournir l'information nécessaire pour atteindre le paradis. Aucun prétexte ne sera suffisamment convaincant pour sauver de l'au-delà ceux qui embrassent des modes de vie autres que ceux loués dans le Coran, ceux qui se tournent vers la religion dans leurs dernières années, ceux qui se trompent eux-mêmes ainsi que les autres. Ceux-là ne seront pas autorisés à parler le jour du Jugement. Dieu n'acceptera pas les mensonges. Ils regretteront sincèrement d'avoir abusé des bontés de Dieu et de ne pas avoir obéi à Ses commandements. (Suivra) En dépit du fait qu'elles croient en l'au-delà, certaines personnes ne méditent pas profondément sur la question. Elles disent ignorer qu'elles se retrouveront face à tout ce qu'elles auront accompli dans ce monde. Elles se trompent en interprétant l'au-delà, le jour du Jugement, le paradis et l'enfer à leur manière au lieu de se référer à ce que Dieu nous en dit dans le Coran. Dieu nous décrit l'Au-delà dans les détails, le moment du Jugement, ceux qui iront au paradis et ceux qui seront envoyés en enfer. Le jour du Jugement, chaque homme se tiendra seul devant Dieu et fera un compte-rendu de l'ensemble de sa vie sur terre. Dieu accordera le paradis éternel ainsi que des faveurs en abondance à ceux qui se sont efforcés de lui plaire. En revanche, ceux qui ne se sont guère souciés de l'au-delà connaîtront les tourments, à moins d'une miséricorde de Dieu. Se trompent également ceux qui comptent accéder au paradis grâce à la miséricorde divine en toute circonstance, ceux qui affirment ne pas avoir nui à autrui, ou encore ceux qui limitaient leur pratique religieuse à quelques actes sporadiques. Dieu attire notre attention sur ces hommes qui, même conscients de la vérité, continuent à se fabriquer des excuses: ‘‘Vers ton Seigneur sera, ce jour-là, le retour. L'homme sera informé ce jour-là de ce qu'il aura avancé et de ce qu'il aura remis à plus tard. Mais l'homme sera un témoin perspicace contre lui-même, quand même il présenterait ses excuses. (Sourate El-Qiyama verset 12-15). Comme l'indique ce verset du Coran, l'homme est un témoin contre lui-même. Chacun sait la vérité, aussi quel sens y a-t-il à se chercher des excuses? Se cacher derrière le vice des autres ne sauvera personne le jour du Jugement. Si l'on s'est gardé de plaire à Dieu, des parents ou des grands-parents religieux ne seront d'aucun secours, ni le fait d'avoir nourri des pauvres, ni le fait de se dire musulman. Chacun est responsable de ses propres actes. Nous nous présenterons seuls devant Dieu et nous serons jugés seuls. Aucune excuse ne tient face au devoir que nous avons de plaire à Dieu. Peu importe que vous soyez très occupés, que vous deviez travailler dur pour vos enfants, que vous occupiez de postes dédiés à l'amélioration des conditions de vie de l'humanité, vous devez avant toute chose rechercher le plaisir de Dieu. Il est important de se rappeler que toutes ces déclarations relèvent de notre propre point de vue et non de celui du Coran car cela ne nous sauvera nullement d'une fin désastreuse. Sans aucun doute, le Coran est la meilleure source qui peut nous fournir l'information nécessaire pour atteindre le paradis. Aucun prétexte ne sera suffisamment convaincant pour sauver de l'au-delà ceux qui embrassent des modes de vie autres que ceux loués dans le Coran, ceux qui se tournent vers la religion dans leurs dernières années, ceux qui se trompent eux-mêmes ainsi que les autres. Ceux-là ne seront pas autorisés à parler le jour du Jugement. Dieu n'acceptera pas les mensonges. Ils regretteront sincèrement d'avoir abusé des bontés de Dieu et de ne pas avoir obéi à Ses commandements. (Suivra)