Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a plaidé lundi à Alger pour un partenariat qui vise "l'excellence" entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique dans le domaine de la biotechnologie médicale. Intervenant à l'ouverture d'un séminaire sur le partenariat algéro-américain dans le domaine de la santé et du médicament, M. Ould Abbès a insisté sur un partenariat visant "l'excellence", ajoutant que son département s'engage à accompagner matériellement et scientifiquement le projet de mise en place du pôle de biotechnologie prévu à Sidi Abdellah (Alger). Ce projet est l'un des plus importants scellés entre l'Algérie et les Etats-Unis dans le domaine de la santé. Le ministre s'exprimait en présence du doyen de la faculté de médecine de l'université de Harvard (Etats-Unis), le Dr William Chin Waiman, en visite de travail en Algérie dans le cadre du lancement du pôle biotechnologique de Sidi Abdellah. La première pierre de l'édification de ce pôle sera posée mardi par le ministre de la Santé et son invité de l'université de Harvard. Le pôle biotechnologique de Sidi Abdellah devrait être réceptionné en 2020 et sera le quatrième pôle mondial, après celui de Boston aux Etats-Unis, qui existe depuis 100 ans, d'Irlande (en Europe) et de Singapour (en Asie). "Ce pôle va nous permettre, à l'horizon 2020, de nous hisser à la hauteur des grandes nations dans le domaine de la santé, l'objectif étant d'émanciper l'Algérie et de ne pas demeurer un pays importateur et consommateur de médicaments", a souligné M. Ould Abbès dans son intervention."Outre les moyens humains, matériels et financiers qu'elle mobilise, l'Algérie affiche une volonté politique de sortir de la dépendance lourde de pays importateur-consommateur de médicaments pour devenir un pays tourné vers le développement de la recherche fondamentale", a ajouté le ministre de la Santé. De son côté, le doyen de la faculté de médecine de Harvard a indiqué que sa visite de travail et d'exploration permettra de renforcer le partenariat entre les deux pays. "Je suis ravi et émerveillé de la compétence des médecins algériens et de la volonté politique des autorités à mener à bien le projet du pôle biotechnologique", a affirmé le Dr Chin Waiman. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a plaidé lundi à Alger pour un partenariat qui vise "l'excellence" entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique dans le domaine de la biotechnologie médicale. Intervenant à l'ouverture d'un séminaire sur le partenariat algéro-américain dans le domaine de la santé et du médicament, M. Ould Abbès a insisté sur un partenariat visant "l'excellence", ajoutant que son département s'engage à accompagner matériellement et scientifiquement le projet de mise en place du pôle de biotechnologie prévu à Sidi Abdellah (Alger). Ce projet est l'un des plus importants scellés entre l'Algérie et les Etats-Unis dans le domaine de la santé. Le ministre s'exprimait en présence du doyen de la faculté de médecine de l'université de Harvard (Etats-Unis), le Dr William Chin Waiman, en visite de travail en Algérie dans le cadre du lancement du pôle biotechnologique de Sidi Abdellah. La première pierre de l'édification de ce pôle sera posée mardi par le ministre de la Santé et son invité de l'université de Harvard. Le pôle biotechnologique de Sidi Abdellah devrait être réceptionné en 2020 et sera le quatrième pôle mondial, après celui de Boston aux Etats-Unis, qui existe depuis 100 ans, d'Irlande (en Europe) et de Singapour (en Asie). "Ce pôle va nous permettre, à l'horizon 2020, de nous hisser à la hauteur des grandes nations dans le domaine de la santé, l'objectif étant d'émanciper l'Algérie et de ne pas demeurer un pays importateur et consommateur de médicaments", a souligné M. Ould Abbès dans son intervention."Outre les moyens humains, matériels et financiers qu'elle mobilise, l'Algérie affiche une volonté politique de sortir de la dépendance lourde de pays importateur-consommateur de médicaments pour devenir un pays tourné vers le développement de la recherche fondamentale", a ajouté le ministre de la Santé. De son côté, le doyen de la faculté de médecine de Harvard a indiqué que sa visite de travail et d'exploration permettra de renforcer le partenariat entre les deux pays. "Je suis ravi et émerveillé de la compétence des médecins algériens et de la volonté politique des autorités à mener à bien le projet du pôle biotechnologique", a affirmé le Dr Chin Waiman.