La musique andalouse, dans toutes ses déclinaisons, et le chant aïssaoua rythment les soirées du Ramadhan à Annaba, au grand bonheur des familles qui trouvent dans cet art ancestral aux accents mystiques une bonne façon de se délasser des pénibles journées de jeûne. Les mélodies langoureuses de la musique andalouse et les rythmes enflammés du chant aïssaoua fusent de partout et de toutes les scènes culturelles de la ville et des communes de la wilaya. Le théâtre Azzedine-Medjoubi, le palais de la culture Mohamed-Boudiaf, le théâtre de verdure de la ville, les centres culturels des communes, de même que les places publiques ont tous opté pour ces genres musicaux ancestraux pour agrémenter les veillées du mois sacré. Le bal a été ouvert par le théâtre Azzedine-Medjoubi qui accueille le Festival national de la musique citadine animé par quelque 20 artistes et qui fait la part belle au malouf. De grands maîtres de ce genre musical, avec à leur tête le doyen du malouf cheikh Mohamed Tahar Fergani et son fils et successeur Salim, Dib Layachi, Lakhdar Kisra et d'autres se sont succédés à cette occasion sur la scène du théâtre de la ville. Des concerts de châabi animés par de grands maîtres de cette musique ont également été donnés à cette occasion par Mohamed Tamache (fils de Mehdi), Sid-Ali Driss, Baba Aissa Abdelaziz et plusieurs autres. Le genre hawzi est également présent par les voix féminines de Lamia Maâdini et de Leïla Ben Merah. La même ambiance est vécue par le théâtre de verdure de la ville et les autres scènes des centres culturels des communes où l'Office communal de la culture et du tourisme, en collaboration le Comité des fêtes, l'association El Annab pour le tourisme et la détente, l'association aïssaoua des anciens de la ville d'Annaba, se sont entendus pour y programmer des soirées de musique andalouse, de chaâbi et de chant aissaoua animées par des troupes locales et tunisiennes. Outre l'animation culturelle de détente, le palais de la culture Mohamed-Boudiaf a pensé aux jeunes talents émergents auxquels elle a donné l'opportunité de se produire sur sa scène dans le cadre des soirées de Ramadhan afin de se faire connaître, aussi bien dans le domaine de la musique andalouse et aïssaoua que dans les autres genres de musique patrimoniale, folklorique et de variétés. Les autres communes de la wilaya, notamment Séraidi, Aïn el-Berda et El Bouni ne sont pas demeurées en reste de cette animation des soirées du Ramadhan et ont organisé, elles aussi, des spectacles de tous genres y compris des animations dédiées au rire et à l'humour qui ont drainé un public nombreux composé en majorité de familles. La musique andalouse, dans toutes ses déclinaisons, et le chant aïssaoua rythment les soirées du Ramadhan à Annaba, au grand bonheur des familles qui trouvent dans cet art ancestral aux accents mystiques une bonne façon de se délasser des pénibles journées de jeûne. Les mélodies langoureuses de la musique andalouse et les rythmes enflammés du chant aïssaoua fusent de partout et de toutes les scènes culturelles de la ville et des communes de la wilaya. Le théâtre Azzedine-Medjoubi, le palais de la culture Mohamed-Boudiaf, le théâtre de verdure de la ville, les centres culturels des communes, de même que les places publiques ont tous opté pour ces genres musicaux ancestraux pour agrémenter les veillées du mois sacré. Le bal a été ouvert par le théâtre Azzedine-Medjoubi qui accueille le Festival national de la musique citadine animé par quelque 20 artistes et qui fait la part belle au malouf. De grands maîtres de ce genre musical, avec à leur tête le doyen du malouf cheikh Mohamed Tahar Fergani et son fils et successeur Salim, Dib Layachi, Lakhdar Kisra et d'autres se sont succédés à cette occasion sur la scène du théâtre de la ville. Des concerts de châabi animés par de grands maîtres de cette musique ont également été donnés à cette occasion par Mohamed Tamache (fils de Mehdi), Sid-Ali Driss, Baba Aissa Abdelaziz et plusieurs autres. Le genre hawzi est également présent par les voix féminines de Lamia Maâdini et de Leïla Ben Merah. La même ambiance est vécue par le théâtre de verdure de la ville et les autres scènes des centres culturels des communes où l'Office communal de la culture et du tourisme, en collaboration le Comité des fêtes, l'association El Annab pour le tourisme et la détente, l'association aïssaoua des anciens de la ville d'Annaba, se sont entendus pour y programmer des soirées de musique andalouse, de chaâbi et de chant aissaoua animées par des troupes locales et tunisiennes. Outre l'animation culturelle de détente, le palais de la culture Mohamed-Boudiaf a pensé aux jeunes talents émergents auxquels elle a donné l'opportunité de se produire sur sa scène dans le cadre des soirées de Ramadhan afin de se faire connaître, aussi bien dans le domaine de la musique andalouse et aïssaoua que dans les autres genres de musique patrimoniale, folklorique et de variétés. Les autres communes de la wilaya, notamment Séraidi, Aïn el-Berda et El Bouni ne sont pas demeurées en reste de cette animation des soirées du Ramadhan et ont organisé, elles aussi, des spectacles de tous genres y compris des animations dédiées au rire et à l'humour qui ont drainé un public nombreux composé en majorité de familles.