Selon un nouveau bilan de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d'Alger, rapporté par ls cellule de communication, au moins 287 vols de véhicules ont été enregistrés dans la capitale durant les six premiers mois de l'année en cours. Selon un nouveau bilan de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d'Alger, rapporté par ls cellule de communication, au moins 287 vols de véhicules ont été enregistrés dans la capitale durant les six premiers mois de l'année en cours. La plupart des véhicules volés sont de marque Renault Symbol, Logan, Accent, Atos et Chevrolet. Le vol de voitures a gagné du terrain à Alger en atteignant presque l'ensemble des communes. Autrefois, les réseaux de trafic ciblaient les voitures en stationnement idéal pour les voler, c'est-à-dire à proximité d'une route nationale, car en volant les véhicules, les trafiquants peuvent rapidement quitter Alger et regagner d'autres villes du pays. Par contre, durant les six mois passés, la tendance a changé et aujourd'hui les trafiquants ciblent tout véhicule à portée de leurs mains, que ce soit sur la RN ou au centre-ville ou même dans les quartiers populaires. Autre détail important, faut-il le souligner, la plupart des cas de vols de véhicules ont été perpétrés dans les communes d'Hussein Dey et Dar El-Beïda, selon une source sécuritaire. Pourquoi ces deux communes ? Tout simplement, nous répond la même source, parce qu'il s'agit de communes situées à proximité des routes nationales. Dès que les trafiquants arrivent à s'emparer les véhicules de leurs propriétaires, ces derniers regagnent la route nationale pour aller vers d'autres villes du pays et, ensuite, les acheminer vers les casses afin d'éviter leur localisation par les services de sécurité. Une technique très payante pour les réseaux de trafic de véhicules qui malgré le renforcement des dispositifs sécuritaires arrivent tout de même à voler autant de voitures. 1.694 affaires de drogue traitées en six mois à Alger Les unités de la police judiciaire relevant de la Sûreté nationale ont traité, de janvier à juin dernier, 1.694 affaires de drogue, souligne le communiqué de la cellule de communication de la sûreté d'Alger. Le même communiqué indique, aussi, que plus de 162 kg de cannabis et 11.272 comprimés de psychotropes ont été saisis au cours de la même période et des centaines de personnes ont été interpellées pour implication dans le trafic et consommation de kif traité. Sur le plan des drogues dures, la cellule de communication de la sûreté d'Alger parle de la saisie de 5,190kg d'héroïne, 5,575 kg de méthamphétamines, 4,327 kg de cocaïne et, enfin, 240 comprimés de Subitex par les brigades canine et anti-stups de la sûreté d'Alger. Des chiffres qui donnent des frissons surtout que c'est la première fois qu'autant de kilos de drogue dure sont saisis à Alger. Des saisies faites dans la plupart des cas à l'aéroport international d'Alger Houari- Boumediène où en six mois (janvier à juin), plus de dix trafiquants d'origine africaine et une d'Asie ont été interpellés en possession d'héroïne, cocaïne et de méthamphétamines, dissimulés sous formes de capsules dans leur estomac. Un phénomène nouveau qui indique le pire à l'avenir. Cela dit, Alger risque fort bien de devenir un "passage" absolu pour les trafiquants de drogue dure, sinon comment peut-on expliquer cette "vague", soudaine, des drogues dures saisies en quelques mois. 11.174 arrestations à Alger Toujours selon le bilan de la police judiciaire repris par la cellule de communication de la sûreté de la wilaya d'Alger, 11.174 personnes ont été interpellées au cours des six premiers mois 2012. parmi elles, 4.739 ont été placées sous mandat de dépôt pour différents délits ou crimes commis par ces dernières. Alors que 5.426 ont été convoquées à une citation directe, 222 ont été placées sous mandat de dépôt et, enfin, 787 autres ont bénéficié d'une libération provisoire. Par ailleurs, en matière d'atteinte aux personnes, la police d'Alger a enregistré 2.839 affaires de coups et blessures volontaires (CBV) en six mois. Cela dit, les affaires de CBV ont connu une hausse sensible durant les six premiers mois de l'année en cours, et ce à cause de la montée du phénomène du gangstérisme à Alger, à l'instar des autres villes algériennes. Plus de 12.000 retraits de permis à Alger Chaque année, la capitale est classée première en matière d' accidents routiers. Durant le premier semestre 2012, Alger est aussi, première ville où le plus grand taux des accidents de la circulation a été constaté par la police. En six mois, les unités de la police de la sécurité publique relevant de la sûreté d'Alger ont enregistré 693 accidents, provoquant la mort de 18 personnes et des blessures à 816 autres. Face à cette hécatombe Les services de police d'Alger (SWA) ont été contraints de passer à l'action, dans une opération préventive et dissuasive à la fois, à l'égard des conducteurs irresponsables. En six mois, 12.611 retraits de permis de conduire ont été exécutés par les policiers en mission de contrôle des routes et ce, contre les automobilistes ayant commis des fautes. En plus des retraits de permis, la police algéroise a, également, introduit 63.950 infractions (code de la route). La plupart des véhicules volés sont de marque Renault Symbol, Logan, Accent, Atos et Chevrolet. Le vol de voitures a gagné du terrain à Alger en atteignant presque l'ensemble des communes. Autrefois, les réseaux de trafic ciblaient les voitures en stationnement idéal pour les voler, c'est-à-dire à proximité d'une route nationale, car en volant les véhicules, les trafiquants peuvent rapidement quitter Alger et regagner d'autres villes du pays. Par contre, durant les six mois passés, la tendance a changé et aujourd'hui les trafiquants ciblent tout véhicule à portée de leurs mains, que ce soit sur la RN ou au centre-ville ou même dans les quartiers populaires. Autre détail important, faut-il le souligner, la plupart des cas de vols de véhicules ont été perpétrés dans les communes d'Hussein Dey et Dar El-Beïda, selon une source sécuritaire. Pourquoi ces deux communes ? Tout simplement, nous répond la même source, parce qu'il s'agit de communes situées à proximité des routes nationales. Dès que les trafiquants arrivent à s'emparer les véhicules de leurs propriétaires, ces derniers regagnent la route nationale pour aller vers d'autres villes du pays et, ensuite, les acheminer vers les casses afin d'éviter leur localisation par les services de sécurité. Une technique très payante pour les réseaux de trafic de véhicules qui malgré le renforcement des dispositifs sécuritaires arrivent tout de même à voler autant de voitures. 1.694 affaires de drogue traitées en six mois à Alger Les unités de la police judiciaire relevant de la Sûreté nationale ont traité, de janvier à juin dernier, 1.694 affaires de drogue, souligne le communiqué de la cellule de communication de la sûreté d'Alger. Le même communiqué indique, aussi, que plus de 162 kg de cannabis et 11.272 comprimés de psychotropes ont été saisis au cours de la même période et des centaines de personnes ont été interpellées pour implication dans le trafic et consommation de kif traité. Sur le plan des drogues dures, la cellule de communication de la sûreté d'Alger parle de la saisie de 5,190kg d'héroïne, 5,575 kg de méthamphétamines, 4,327 kg de cocaïne et, enfin, 240 comprimés de Subitex par les brigades canine et anti-stups de la sûreté d'Alger. Des chiffres qui donnent des frissons surtout que c'est la première fois qu'autant de kilos de drogue dure sont saisis à Alger. Des saisies faites dans la plupart des cas à l'aéroport international d'Alger Houari- Boumediène où en six mois (janvier à juin), plus de dix trafiquants d'origine africaine et une d'Asie ont été interpellés en possession d'héroïne, cocaïne et de méthamphétamines, dissimulés sous formes de capsules dans leur estomac. Un phénomène nouveau qui indique le pire à l'avenir. Cela dit, Alger risque fort bien de devenir un "passage" absolu pour les trafiquants de drogue dure, sinon comment peut-on expliquer cette "vague", soudaine, des drogues dures saisies en quelques mois. 11.174 arrestations à Alger Toujours selon le bilan de la police judiciaire repris par la cellule de communication de la sûreté de la wilaya d'Alger, 11.174 personnes ont été interpellées au cours des six premiers mois 2012. parmi elles, 4.739 ont été placées sous mandat de dépôt pour différents délits ou crimes commis par ces dernières. Alors que 5.426 ont été convoquées à une citation directe, 222 ont été placées sous mandat de dépôt et, enfin, 787 autres ont bénéficié d'une libération provisoire. Par ailleurs, en matière d'atteinte aux personnes, la police d'Alger a enregistré 2.839 affaires de coups et blessures volontaires (CBV) en six mois. Cela dit, les affaires de CBV ont connu une hausse sensible durant les six premiers mois de l'année en cours, et ce à cause de la montée du phénomène du gangstérisme à Alger, à l'instar des autres villes algériennes. Plus de 12.000 retraits de permis à Alger Chaque année, la capitale est classée première en matière d' accidents routiers. Durant le premier semestre 2012, Alger est aussi, première ville où le plus grand taux des accidents de la circulation a été constaté par la police. En six mois, les unités de la police de la sécurité publique relevant de la sûreté d'Alger ont enregistré 693 accidents, provoquant la mort de 18 personnes et des blessures à 816 autres. Face à cette hécatombe Les services de police d'Alger (SWA) ont été contraints de passer à l'action, dans une opération préventive et dissuasive à la fois, à l'égard des conducteurs irresponsables. En six mois, 12.611 retraits de permis de conduire ont été exécutés par les policiers en mission de contrôle des routes et ce, contre les automobilistes ayant commis des fautes. En plus des retraits de permis, la police algéroise a, également, introduit 63.950 infractions (code de la route).