Une pénurie d'eau potable sans précédent affecte depuis le début du mois de Ramadhan la commune de Seraïdi, dans la wilaya d'Annaba, a-t-on recueilli mardi des habitants de cette ville côtière. Cette situation a contraint la population à s'approvisionner en eau potable à partir des sources d'eau ou à acheter carrément des citernes d'eau à des prix qui ne sont pas souvent à la portée des bourses moyennes. Des habitants, contactés par l'APS, regrettent surtout l'absence d'une prise en charge de ce problème de la part des responsables concernés. "L'eau n'a pas coulé une seule fois dans nos robinets durant tout le mois de Ramadhan", déplore un chef de famille du chef-lieu de cette commune. "Je suis d'autant plus désorienté que je me trouve aujourd'hui dans l'impossibilité de continuer à acquérir l'eau potable pour de l'argent",a-t-il dit. Une citerne d'eau potable de 3.000 litres s'écoule à Seraïdi à 1.200 dinars, a-t-on constaté, en effet, en plusieurs points de la ville. Pour le président de l'Assemblée populaire communale (APC) de Seraïdi,Nasreddine Djemili, ces perturbations dans l'alimentation en eau potable (AEP) remontent déjà à plus d'une année à cause de la persistance des piquages illicites effectués par endroits sur le réseau entre Annaba et Seraïdi. La Société de l'eau et de l'assainissement d'Annaba et d'El Tarf (SEATA) a "pris acte" de ce problème, selon ses responsables et s'attèle à son règlement, mais les habitants et les élus affirment que cette entreprise ne s'est pas encore manifestée pour entamer des travaux de réhabilitation de la conduite d'eau entre Annaba et Seraïdi et par là même rétablir l'alimentation en eau potable des populations concernées. Une pénurie d'eau potable sans précédent affecte depuis le début du mois de Ramadhan la commune de Seraïdi, dans la wilaya d'Annaba, a-t-on recueilli mardi des habitants de cette ville côtière. Cette situation a contraint la population à s'approvisionner en eau potable à partir des sources d'eau ou à acheter carrément des citernes d'eau à des prix qui ne sont pas souvent à la portée des bourses moyennes. Des habitants, contactés par l'APS, regrettent surtout l'absence d'une prise en charge de ce problème de la part des responsables concernés. "L'eau n'a pas coulé une seule fois dans nos robinets durant tout le mois de Ramadhan", déplore un chef de famille du chef-lieu de cette commune. "Je suis d'autant plus désorienté que je me trouve aujourd'hui dans l'impossibilité de continuer à acquérir l'eau potable pour de l'argent",a-t-il dit. Une citerne d'eau potable de 3.000 litres s'écoule à Seraïdi à 1.200 dinars, a-t-on constaté, en effet, en plusieurs points de la ville. Pour le président de l'Assemblée populaire communale (APC) de Seraïdi,Nasreddine Djemili, ces perturbations dans l'alimentation en eau potable (AEP) remontent déjà à plus d'une année à cause de la persistance des piquages illicites effectués par endroits sur le réseau entre Annaba et Seraïdi. La Société de l'eau et de l'assainissement d'Annaba et d'El Tarf (SEATA) a "pris acte" de ce problème, selon ses responsables et s'attèle à son règlement, mais les habitants et les élus affirment que cette entreprise ne s'est pas encore manifestée pour entamer des travaux de réhabilitation de la conduite d'eau entre Annaba et Seraïdi et par là même rétablir l'alimentation en eau potable des populations concernées.