Le président de la Fédération algérienne d'athlétisme, Badreddine Belhadjoudja, répond au président du Comité olympique algérien (COA), Rachid Hanifi, en qualifiant ses déclarations de « mensongères et trompeuses », cela concernant le financement de l'athlète Taoufik Makhloufi pour sa préparation aux Jeux Olympiques de Londres. Le président de la Fédération algérienne d'athlétisme, Badreddine Belhadjoudja, répond au président du Comité olympique algérien (COA), Rachid Hanifi, en qualifiant ses déclarations de « mensongères et trompeuses », cela concernant le financement de l'athlète Taoufik Makhloufi pour sa préparation aux Jeux Olympiques de Londres. Le champion olympique de Londres du 1.500 m, Taoufik Makhloufi, selon l'instance nationale d'athlétisme, n'a bénéficié d'aucune forme d'aide financière ou de soutien de la part du Comité olympique algérien. « Une bourse olympique et financière est destinée à soutenir la préparation d'un athlète en vue d'un objectif. Or, le COA n'a contribué en rien dans le succès et la réussite de Taoufik Makhloufi qui n'a bénéficié d'aucune bourse, ni en dinars Algériens, ni en devises, de la part du COA. Dans le cas contraire, M. Hanifi est appelé à en apporter la preuve » a indiqué le président de la Fédération algérienne d'athlétisme dans un communiqué de presse. Concernant l'affaire de la disqualification temporaire de Taoufik Makhloufi après avoir abandonné le 800 m, le premier responsable de l'athlétisme algérien précise que le département du docteur Hanifi n'a rien fait pour régler quoi que ce soit « Concernant la disqualification de Makhloufi du 1.500m à Londres, le président du COA prétend avoir réglé le problème personnellement. Alors que ce sont le chef de mission, M. Azzoug, le DTN de la FAA, M. Boubrit, ainsi que le docteur Bensoltane et nous-mêmes qui avons œuvré et veillé à la résolution de ce faux problème » a-t-il précisé. Parlant de la performance de Taoufik Makhloufi, Badreddine Belhadjoudja confirme que le président du Comité olympique algérien ignore le travail effectué par la FAA, en parlant d'un « fruit du hasard ». « Ceci témoigne, dira-t-il, on ne peut plus clairement de sa méconnaissance totale et de son ignorance du travail qui se fait au sein des Fédérations Sportives Nationales, à moyen et long terme. De notre point de vue, cette lacune du COA n'est pas une surprise. Nous nous voulons pour preuve le fait qu'il n'y a eu aucune réunion de concertation, ni d'évaluation de nos programmes, d'une manière générale, depuis son élection, en 2009 », a-t-il dit. Dans le même communiqué, la Fédération algérienne d'athlétisme a présenté l'état de préparation de cet athlète depuis 2009 jusqu'aux Jeux Olympiques de Londres 2012. Actuellement, son instance, ajoute Belhadjoudja, « est d'ores et déjà en train de finaliser l'étude des programmes des stages de Taoufik Makhloufi, ainsi que de tous les athlètes de l'élite nationale d'athlétisme. Des programmes qui, comme chaque année, seront pris en charge et soutenus pour l'année 2012 et pour les années à venir » a conclu le communiqué de la fédération algérienne d'athlétisme (FAA). Cette réponse de Badreddine Belhadjoudja vient de compléter celle faite la semaine dernière par le président de la fédération algérienne de Boxe, Abdellah Bessalem qui a refusé catégoriquement de qualifier « d'erreur de jeunesse », des faits largement démentis, à savoir le vol des vélos par les pugilistes algérien à Londres. Le champion olympique de Londres du 1.500 m, Taoufik Makhloufi, selon l'instance nationale d'athlétisme, n'a bénéficié d'aucune forme d'aide financière ou de soutien de la part du Comité olympique algérien. « Une bourse olympique et financière est destinée à soutenir la préparation d'un athlète en vue d'un objectif. Or, le COA n'a contribué en rien dans le succès et la réussite de Taoufik Makhloufi qui n'a bénéficié d'aucune bourse, ni en dinars Algériens, ni en devises, de la part du COA. Dans le cas contraire, M. Hanifi est appelé à en apporter la preuve » a indiqué le président de la Fédération algérienne d'athlétisme dans un communiqué de presse. Concernant l'affaire de la disqualification temporaire de Taoufik Makhloufi après avoir abandonné le 800 m, le premier responsable de l'athlétisme algérien précise que le département du docteur Hanifi n'a rien fait pour régler quoi que ce soit « Concernant la disqualification de Makhloufi du 1.500m à Londres, le président du COA prétend avoir réglé le problème personnellement. Alors que ce sont le chef de mission, M. Azzoug, le DTN de la FAA, M. Boubrit, ainsi que le docteur Bensoltane et nous-mêmes qui avons œuvré et veillé à la résolution de ce faux problème » a-t-il précisé. Parlant de la performance de Taoufik Makhloufi, Badreddine Belhadjoudja confirme que le président du Comité olympique algérien ignore le travail effectué par la FAA, en parlant d'un « fruit du hasard ». « Ceci témoigne, dira-t-il, on ne peut plus clairement de sa méconnaissance totale et de son ignorance du travail qui se fait au sein des Fédérations Sportives Nationales, à moyen et long terme. De notre point de vue, cette lacune du COA n'est pas une surprise. Nous nous voulons pour preuve le fait qu'il n'y a eu aucune réunion de concertation, ni d'évaluation de nos programmes, d'une manière générale, depuis son élection, en 2009 », a-t-il dit. Dans le même communiqué, la Fédération algérienne d'athlétisme a présenté l'état de préparation de cet athlète depuis 2009 jusqu'aux Jeux Olympiques de Londres 2012. Actuellement, son instance, ajoute Belhadjoudja, « est d'ores et déjà en train de finaliser l'étude des programmes des stages de Taoufik Makhloufi, ainsi que de tous les athlètes de l'élite nationale d'athlétisme. Des programmes qui, comme chaque année, seront pris en charge et soutenus pour l'année 2012 et pour les années à venir » a conclu le communiqué de la fédération algérienne d'athlétisme (FAA). Cette réponse de Badreddine Belhadjoudja vient de compléter celle faite la semaine dernière par le président de la fédération algérienne de Boxe, Abdellah Bessalem qui a refusé catégoriquement de qualifier « d'erreur de jeunesse », des faits largement démentis, à savoir le vol des vélos par les pugilistes algérien à Londres.