Dans son discours d'ouverture, le nouveau président de l'Assemblée populaire nationale, Mohamed Larbi Ould Khalifa, n'est pas allé avec le dos de la cuillère pour fustiger ceux qui versent dans « la propagation de l'esprit de catastrophe, de l'amplification des lacunes, de la culture du désespoir, de l'alimentation du sentiment de désarroi et du complexe d'infériorité et de faire croire aux gens que tout ce qui se trouve sous d'autres cieux est meilleur que ce que nous avons ». Dans son discours d'ouverture, le nouveau président de l'Assemblée populaire nationale, Mohamed Larbi Ould Khalifa, n'est pas allé avec le dos de la cuillère pour fustiger ceux qui versent dans « la propagation de l'esprit de catastrophe, de l'amplification des lacunes, de la culture du désespoir, de l'alimentation du sentiment de désarroi et du complexe d'infériorité et de faire croire aux gens que tout ce qui se trouve sous d'autres cieux est meilleur que ce que nous avons ». Selon le président de l‘APN, « ces jugements sont rares dans notre environnement international proche et lointain car saper le moral de la nation est une sorte d‘arme de destruction massive qui impose la défaite de l‘intérieur». Dans son préambule, Mohamed Larbi Ould Khalifa considère que « comme d‘habitude, la session d‘automne coïncide avec la rentrée sociale et la reprise des activités dans différents secteurs ». Le président de l‘APN est conscient que cette reprise s‘est faite après une «hibernation» des activités durant de longs mois. Il affirme que « nous n‘accusons personne lorsque nous affirmons que ce rythme était à son plus bas et que certains estiment que l‘hibernation à des raisons objectives », qui ne sont pas propres à l‘Algérie et que aucun juge "qu‘elle ne concerne pas uniquement notre pays et ne reflète pas la réalité de l‘activité politique, culturelle et économique après que l‘Algérie ait dépassé avec succès les tempêtes qui ont frappé notre région en menaçant d‘autres pays d‘effondrement et de faillite ». Il poursuit sur le même contexte et souligne que « d‘aucuns, au sein de la classe politique et de l‘opinion publique, pensent que la faiblesse ayant caractérisé le rythme de l‘action institutionnelle et des différents secteurs d‘activités connexes a entraîné la généralisation du laisser-aller dans le secteur public, la faiblesse du contrôle, tout en comptant sur le partage de la rente et en revendiquant la plus grande part de celle-ci sans effort ni mérite. Il estime dans ce cadre que si « la différence dans l‘évaluation et le diagnostic de l‘action des institutions de l‘Etat et la libre expression des opinions constituent un phénomène sain », elle diffère cependant « complètement de la propagation de l‘esprit de catastrophe », avant d‘affirmer que les enjeux et les défis auxquels fait face l‘Algérie « exigent l‘approfondissement du dialogue entre les différentes formations politiques représentées à l‘Assemblée ». Le président de l‘APN indique qu‘ « un programme de travail comprenant de nombreux projets », citant celui du projet de loi de finances 2013, celui portant règlement budgétaire pour 2010, l‘examen du projet de loi portant organisation de la profession d‘avocat, le projet de loi modifiant et complétant la loi d‘avril 2005 relative aux hydrocarbures, le projet de loi complétant et modifiant la loi de 2004 relatives aux conditions d‘exercice des activités commerciales, ainsi que d‘autres projets de loi relatifs à l‘organisation et au développement de la formation et des activités physiques et sportives. Il annonce aussi la création de commissions d‘enquête et de suivi relatives à l‘action de certains secteurs gouvernementaux. Il cite aussi, le projet de la nouvelle Constitution. Le président du sénat, Mohamed Bensalah, quant à lui, a mis en exergue le contexte particulier dans lequel s‘ouvre cette session d‘automne, la septième du genre et décline les grands axes des travaux de l‘institution. Le texte fondamental qui est programmé pour cette session souligne le président du sénat « est la loi de Finances 2013 » qui trace les grands axes des politiques du pays sur les plans, politique, économique et social. Le président du sénat décline le programme des travaux inscrits à l‘ordre de cette session, notamment celui du projet de loi portant règlement budgétaire pour lequel il demande au gouvernement qu‘il soit accessible et compréhensif aux parlementaires. Il est à souligner que les mêmes programmes de projets de loi seront examinés par les deux Chambres. Enfin, Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation a exprimé sa solidarité, au nom de tous les membres de l‘APN et de tous les Algériens avec les familles des diplomates algériens enlevés en avril dernier dans le nord du Mali souhaitant voir ces otages retourner à leurs siens sains et saufs, louant les efforts de la diplomatie algérienne pour parvenir à cet objectif Selon le président de l‘APN, « ces jugements sont rares dans notre environnement international proche et lointain car saper le moral de la nation est une sorte d‘arme de destruction massive qui impose la défaite de l‘intérieur». Dans son préambule, Mohamed Larbi Ould Khalifa considère que « comme d‘habitude, la session d‘automne coïncide avec la rentrée sociale et la reprise des activités dans différents secteurs ». Le président de l‘APN est conscient que cette reprise s‘est faite après une «hibernation» des activités durant de longs mois. Il affirme que « nous n‘accusons personne lorsque nous affirmons que ce rythme était à son plus bas et que certains estiment que l‘hibernation à des raisons objectives », qui ne sont pas propres à l‘Algérie et que aucun juge "qu‘elle ne concerne pas uniquement notre pays et ne reflète pas la réalité de l‘activité politique, culturelle et économique après que l‘Algérie ait dépassé avec succès les tempêtes qui ont frappé notre région en menaçant d‘autres pays d‘effondrement et de faillite ». Il poursuit sur le même contexte et souligne que « d‘aucuns, au sein de la classe politique et de l‘opinion publique, pensent que la faiblesse ayant caractérisé le rythme de l‘action institutionnelle et des différents secteurs d‘activités connexes a entraîné la généralisation du laisser-aller dans le secteur public, la faiblesse du contrôle, tout en comptant sur le partage de la rente et en revendiquant la plus grande part de celle-ci sans effort ni mérite. Il estime dans ce cadre que si « la différence dans l‘évaluation et le diagnostic de l‘action des institutions de l‘Etat et la libre expression des opinions constituent un phénomène sain », elle diffère cependant « complètement de la propagation de l‘esprit de catastrophe », avant d‘affirmer que les enjeux et les défis auxquels fait face l‘Algérie « exigent l‘approfondissement du dialogue entre les différentes formations politiques représentées à l‘Assemblée ». Le président de l‘APN indique qu‘ « un programme de travail comprenant de nombreux projets », citant celui du projet de loi de finances 2013, celui portant règlement budgétaire pour 2010, l‘examen du projet de loi portant organisation de la profession d‘avocat, le projet de loi modifiant et complétant la loi d‘avril 2005 relative aux hydrocarbures, le projet de loi complétant et modifiant la loi de 2004 relatives aux conditions d‘exercice des activités commerciales, ainsi que d‘autres projets de loi relatifs à l‘organisation et au développement de la formation et des activités physiques et sportives. Il annonce aussi la création de commissions d‘enquête et de suivi relatives à l‘action de certains secteurs gouvernementaux. Il cite aussi, le projet de la nouvelle Constitution. Le président du sénat, Mohamed Bensalah, quant à lui, a mis en exergue le contexte particulier dans lequel s‘ouvre cette session d‘automne, la septième du genre et décline les grands axes des travaux de l‘institution. Le texte fondamental qui est programmé pour cette session souligne le président du sénat « est la loi de Finances 2013 » qui trace les grands axes des politiques du pays sur les plans, politique, économique et social. Le président du sénat décline le programme des travaux inscrits à l‘ordre de cette session, notamment celui du projet de loi portant règlement budgétaire pour lequel il demande au gouvernement qu‘il soit accessible et compréhensif aux parlementaires. Il est à souligner que les mêmes programmes de projets de loi seront examinés par les deux Chambres. Enfin, Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation a exprimé sa solidarité, au nom de tous les membres de l‘APN et de tous les Algériens avec les familles des diplomates algériens enlevés en avril dernier dans le nord du Mali souhaitant voir ces otages retourner à leurs siens sains et saufs, louant les efforts de la diplomatie algérienne pour parvenir à cet objectif